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Commentaire de Hervé Hum

sur Comment vos dépôts bancaires vont disparaître...


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Hervé Hum Hervé Hum 16 janvier 2016 12:19

faudrait d’abord réaliser que l’épargne en elle même est du vol, que l’intérêt démultiplie.

Entre voleur, où est le vol ? Le petit voleur se plaint du gros ? Bah, c’est de bonne guerre entre voleurs. Surtout quand le petit voleur à la tire se croit aussi important que le parrain de la mafia. La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le boeuf finit par exploser non ?!

Vous ne me croyez pas ?

Mais pour qui donc croyez vous que l’épargne est conçu ? Pour le patron ou le salarié ?L’épargne est faites pour permettre au profit tiré de la plus-valu tiré de l’exploitation des salariés, de ne pas devoir revenir systématiquement dans l’économie réelle, tout en continuant à produire de la plus-value via les intérêts. Le but étant de vivre sur l’intérêt du capital, sauf que c’est réservé aux rentiers, c’est à dire, aux riches et aux retraités. Ce qu’on appelle, le beurre et l’argent du beurre, que le salarié aimerait bien aussi pour lui (vive la retraite !), mais le problème est de savoir qui fera le beurre à la place du salarié ? La vache peut être si on lui apprend ? Il y a certes la robotisation, mais y a encore des progrès à faire. Sinon, reste les salariés des pays pauvres, le problème, c’est que leurs propriétaires veulent eux aussi toucher le profit et les intérêts. ce qu’il faudrait, c’est que dans les pays pauvres, il n’y ait que les salariés qui acceptent de vivre comme des esclaves et que ce soit les salariés des pays dit riche qui tire le profit et non la dette... Mais c’est pas possible... Leurs exploiteurs ne sont pas d’accord et les notre non plus !

 Bref, le petit épargnant avec son petit intérêt, pense pouvoir lui aussi exploiter les autres, mais il s’exploite surtout lui même, il arrive même qu’il investisse dans sa propre perte de revenu via son emploi, mais dans ce dernier cas, il préfère ne pas le voir, d’autant que c’est pas son banquier qui va le lui dire. Lui, il lui fait croire qu’il peut être aussi gros qu’un boeuf.

Alors, comme le dit Bossuet "Dieu se rit de ceux qui vénèrent les causes dont ils déplorent les conséquences" Il doit se tordre de rire actuellement !


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