Noël est devenu une fête commerciale, l’anti-racisme aussi.
Le racisme et l’antiracisme sont un fonds de commerce qui permet
de faire les plateaux TV, pour vendre des bouquins, des films ou
autres, ou pour se donner une posture politique. Il suffit qu’une
gamine agite une banane devant Taubira, et Hop, toute la machine à
faire du fric et du prosélytisme s’emballe dans les médias.
En 2012, les associations dépendant de la mission « Intégration
et accès à la nationalité française » ont vu leurs
subventions de 11,5 millions à 42 millions €, celles affectées
aux associations dépendant de la mission « Développement
solidaire et immigration » ont progressé de 50% en passant de
6,9 millions à 9,3 millions €.
S.O.S.
racisme est utilisé
par le parti socialiste afin de garantir des emplois aux socialistes
que le parti n’a pas réussi à caser ailleurs.
Dans
le même temps 1700 condamnations pour délits ou crimes racistes :
on peut donc dire qu’il n’y a pas de racisme en France. Alors,
il faut bien s’efforcer
à trouver
beaucoup de racismes n’importe
où,
même dans les fêtes de Noël, pour justifier ces subvenions...