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Commentaire de christophe nicolas

sur Un 25 mai en France, vu du Far-West


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christophe nicolas christophe nicolas 27 mai 2014 08:28

Très bonne plume. Je vais vous expliquer la réponse de Hollande.

C’est un enfoiré qui a pris une jolie fille par la main et veut la corrompre, alors il lui explique qu’il ne faut pas avoir peur de ses copains qu’il a connu à l’étranger s’ils lui mettent la main aux fesses pendant la soirée...quand à la partouze mondiale, ce sera le bouquet final.

Il n’a pas tout à fait compris que les jolies filles veulent faire des beaux enfants et que les vieux porcs peuvent aller se défouler chez Conchita Wurts. On s’en tape de ses explication psy, quand une jolie fille voit le piège, elle met une claque dans la tronche du vieux pervers qui veut lui expliquer qu’il ne faut pas avoir peur d’enlever sa culotte devant les passants.

Nous, on veut juste que la France retrouve sa dignité et qu’il ne doit pas manquer de confiance en soi, qu’il faut compter sur ses propres forces et que cela ne rapporte rien de se confier à des étrangers qui n’ont pas particulièrement envie d’aider la France. Hollande doit avoir un petit problème de confiance en lui et dans son pays, typique des impudiques...

Voila la réponse du ciel : « Ne rien attendre du poteau de boue »

L’heure de Dieu n’est pas loin, dit 
Saint Michel, cette terreur profonde fera ressortir le triomphe de la 
nouvelle France. Mais ce triomphe ne peut venir avant que la Justice ne 
se soit appesantie sur cette terre gâtée. 

N’attendez rien de celui qui règne comme 
roi et qui, aujourd’hui, est assis dans le même fauteuil que les autres 
- fauteuil qui ne porte aucune marque d’un pouvoir spécial et plus 
grand. 

Sa pensée est accordée à la pensée des 
autres, sa parole à leur parole, sa volonté à leur volonté. Sa puissance 
et ses pouvoirs ne sont pas plus que ceux de celui qui est le dernier. 
N’attendez rien de ce côté : il ne mérite pas plus de respect que tout 
le reste. 

Dans la tempête, sa voix criera aussi 
fort que les autres, contre tout ce que Dieu a établi... Il n’y a pas de 
fermeté en lui : ils l’ont mené ; ils l’ont dirigé. Voilà le portrait de 
cet homme : c’est un poteau de boue. Plaignons-le, mais 
n’y pensons guère. 

- Je n’y pense point, bon Saint Michel.

- Pour ramener le Roi choisi et destiné 
par Dieu, il faut que tous ceux qui sont à présent soient balayés.
(29 septembre 1878)



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