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Commentaire de egos

sur La théorie du genre : le dernier bastion identitaire ?


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egos 10 février 2014 22:37

@ l’auteur

« cette nouvelle église avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, se nouvelles tables de la loi » extraitintervention Vincent Peillon
reconnaisons ds ce propos tous les caractères d’une mâle assurance, le ridicule des parades gendrées , lorsqu’il s’agit de prendre en charge le sort de la condition féminine .


L’acquisition du droit de vote, à disposer de son corps et de ses sentiments, à l’avortement, la contraception, l’accès aux études universitaires, le développement professionnel,

 

Des progrès dus à l’opiniâtreté d’ardents défenseurs du sexe faible, nul doute du genre ( à définir celui la) des gvts présent et passé.

 

Ces droits pour lesquels les féministes eurent à affronter toute la rigueur et le mépris du genre dominant et des appareils d’état entre ses mains , sans autres vertus que leur condition, volonté et  éthique.

 

Les religions et la science, une longue et tragique histoire, plus encore quand la première, fut elle idéologie, s’empare(a) de sa rivale.

 

Il est plaisant de s’attarder sur le bref rappel servant de plaidoyer à l’auteur :

la genèse des gender studies … initiées par des groupes d’individus intetsexués en quête de reconnaissance juridique de leur condition revendiquée comme état (gender) et non pathologie.

 

Pas plus qu’il n’est négligeable de relever le lien indétermination sexuelle- variation génétique des chromosomes sexuels,

au même titre  que d’autres variations expliquent divers  troubles du développement : Trisomie, Autisme (selon toutes probabilités) maladies auto-immunes …

 

Livrant un esprit mal intentionné à une interprétation fallacieuse, la science révisée

Elargit les marges morales de la normalité, y intégrant les minorités sexuelles dont les femmes

D’où le questionnement la condition féminine répond elle au critère de désordre génétique (cf Le Concile de Macon pour ne retenir que la réligion concernée)

 

Le lien intersexuation-études de genre n’est pas avéré, bien au contraire http://fr.wikipedia.org/wiki/Genre_(sciences_sociales)

 

A l’origine de ce concept une école de pensée prônant l’analyse des rapports sociaux sous le prisme du genre (sexué)

fort éloigné d’une récupération de théories fondées sur les progrès de la biologie génétique au nom de disciplines dites transversales, plus prosaïquement une tautologie des thèmes récurrents propres au nwo, modelage de comportements et d’affects infifférenciés, in-déterminés, neutralisés, une âmes libérée des affres de la chair, disponible aux bienfaits d’une existence marchandisée (merci Pierré Bergé)

Belle perspective à la location des ventres, négoce d’organes et au clonagehumain si ce n’est déjà le cas.

 

En conclusion, sans plus de commentaire, le timing d’introduction de mesures pédagogiques (retenues par la précédente majorité) choisi par le gvt ne manque pas de surprendre,

Quant aux individus regroupés sous le terme de minorités de genre ( le domaine est extensible)

qu’auraient ils, selon vous, à gagner à rentrer dans la normalité si ce n’est une vie juste ordinaire, à moins que vs ne pensiez pourvoir à leur bonheur …

 

les inquisiteurs avaient cette prétention par l’accomplissement de rédemption, l’Eglise par le commerce des indulgences,

 

Affaire de vocation, n’est ce pas ?


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