• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de luklamainfroide

sur Belgique : la mondialisation à l'assaut de l'Etat nation


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

luklamainfroide 16 octobre 2007 12:58

Merci a l’auteur pour son article et qu’il ce rassure rien n’est parfait c’est ce qui fais je crois le sel de la vie !

L’église catholique avait un secret pour imposer ces vues sur le monde d’alors c’était celui ci , divisé pour règner ! la recette fut tellement bonne que plus tard on s’en servis contre elle et ci éfficasse qu’elle reste en aplication jusq’à nos jours ,toute l’europe va y passée ceci est prévut depuis longue date l’URRS a un peu retarder les choses mais les gens qui ont penser la transnational son obstinés et ont malheureusement pour nous, les moyens de leur folie !je me permet de joindre a ce commentaire un poeme Shiller qui inspira Beethoven !

Friedrich Schiller - Poésie

Ode à la joie Ode à la joie (Schiller 1)

Ô Joie, belle étincelle divine, Fille de l’Elysée, Nous entrons ivres d’enthousiasme, Ô Déesse, dans ton sanctuaire. Tes charmes réunissent Ce que la mode sépare ; Tous les hommes deviennent frères Là où tes douces ailes reposent.

Chœur

Soyez unis êtres par million ! Qu’un seul baiser enlace l’univers ! Frères, au-dessus du pavillon des étoiles Doit résider un père bien-aimé !

Que celui qui a l’inestimable bonheur D’être l’ami d’un ami, Que celui qui a conquis une douce femme Unisse sa joie à la nôtre ! Et aussi celui qui n’a qu’une âme Sur la terre ; Et celui qui n’a jamais connu cela s’éloigne En pleurant de notre cercle !

Chœur

Que tout ce qui habite le globe Rende hommage à la sympathie ! Jusqu’aux étoiles ils aspirent, Où l’inconnu trône.

Tous les êtres puisent la joie Aux seins de la nature ; Tous, bons et méchants, Suivent ses traces de rose. Elle nous donne les baisers Et la vigne, l’ami, fidèle jusqu’à la mort ; Le vermisseau lui-même connait la volupté Et le Chérubin est devant Dieu.

Chœur

Vous vous prosternez, millions d’êtres ? Monde, pressens-tu ton créateur ? Cherche-le au-dessus de la voûte des étoiles, C’est au-dessus des étoiles qu’il doit habiter.

La joie est le moteur puissant Dans l’éternelle nature. La joie, la joie fait tourner les rouages Dans la grande horloge du monde. Elle fait sortir les fleurs de leurs germes, Briller le soleil au firmament, Rouler dans l’espace les sphères Que l’astronome ne connaît pas.

Chœur

Joyeux comme le soleil qui vole À travers les splendides plaines du ciel, Courrez, frères, votre carrière, Heureux comme le héros qui court à la victoire.

Du miroir étincelant de la vérité La joie sourit à celui qui la cherche. Sur le sentier escarpé de la vertu Elle soutient les pas du malheureux. Sur les hauteurs rayonnantes de la foi On voit flotter sa bannière, À travers l’ouverture des sépulcres brisés Elle se tient dans le chœur des anges.

Chœur

Souffrez avec courage millions d’êtres ! Souffrez pour un monde meilleur ! Là haut, au-delà de la voûte étoilée Un Dieu puissant vous récompensera.

On ne peut récompenser les Dieux, Il est beau de leur ressembler. Que les pauvres et les affligés se mêlent, Et se réjouissent avec les joyeux. Que la haine et la colère soient oubliées, Que notre ennemi mortel soit pardonné, Que nulle larme ne fatigue ses yeux, Que nul remords ne le ronge.

Chœur

Anéantissons le souvenir des offenses ! Que le monde entier soit réconcilié ! Frères, au-dessus du dôme des étoiles, Dieu juge comme nous jugeons.

La joie pétille dans les verres, Dans les flots dorés de la vigne, Les Cannibales puisent la douceur, Le désespoir y puise du courage. Frères, levez-vous de vos sièges Quand le verre rempli circulera, Laissez l’écume de la boisson enivrante jaillir vers le ciel : Offrez ce verre au bon génie.

Chœur

À celui que les astres célèbrent, À celui que chante l’hymne du Séraphin ! Ce verre au bon génie Au-dessus de la voûte des étoiles !

Courage et fermeté dans les souffrances ! Secours à l’innocent qui pleure, Éternité de serments, Vérité envers l’ami et l’ennemi, Virile fierté devant les trônes des rois, Frère ce qu’il faut sacrifier nos biens et notre vie, - Au devoir accompli sa couronne, Le malheur au mensonge !

Chœur

Fermez le cercle sacré, Jurez par ce vin doré : Être fidèle à vos serments, Jurez-le par le souverain céleste.

Affranchissement des chaînes de la tyrannie, Générosité envers le méchant, Espoir sur le lit de mort, Grâce sur l’échafaud ! Que les morts vivent aussi ! Buvez, frères, et répétez à la fois Que tous les péchés soient pardonnés, Et que l’enfer ne soit plus !

Chœur

Une douce gaieté à la dernière heure ! Un doux sommeil dans le tombeau ! Frère, une sentence de paix Sur les lèvres de Celui qui juge les morts !

Shiller .


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès