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Robert Bibeau

Robert Bibeau

Canadien vivant à Montréal.
Ex-formateur en perfectionnement des adultes
Enseignant d'économie et d'histoire au secondaire (Québec-Canada)
Journaliste et analyste en économie politique.
[email protected]

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  • Premier article le 10/01/2011
  • Modérateur depuis le 08/02/2011
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Derniers commentaires



  • Robert Bibeau Robert Bibeau 15 mars 2021 16:40

    @CN46400

    VOUS CN46400 et ceux qui renchérissent derrière vous avez RAISON.

    Mais vous oubliez les contingences économiques  et sociales —.

    Les États-Unis ex-hégémoniques ont trois choix pour enrayer leur descente aux enfers de l’effondrement :

    1. détruire les capacités productives (moyens de production forces ouvrières productives) de la CHINE et alors la Chine n’aura d’autres choix que de riposter aux attaques de l’OTAN.
    2. Gagner la guerre commerciale qu’elle a entamée contre la Chine. Les USA sont incapables de gagner cette guerre commerciale comme TRUMP l’a démontré...et que Biden le démontrera pendant les 4 ans à venir.
    3. Accepter d’être déclassée (comme le Royaume-Uni et la France l’ont accepté en 1945) et devenir le majordome de l’Empire chinois hégémonique.

    Seul la 3e option nous évitera une guerre mondiale qui pourrait bien avoir commencé avec cette étrange « pandémie » mondialisée.

    Robert Bibeau



  • Robert Bibeau Robert Bibeau 15 mars 2021 16:22

    @Séraphin Lampion

    Je vous assure que je n’ai ni tenté d’esquiver ni tenté de « sophismer » je n’avais tout simplement rien compris à votre post à ce que je constate. Donnez SVP la chance au coureur.

    La question de la classe prolétarienne internationaliste et internationale  versus la classe grande bourgeoisie = BIG CAPITAL mondialiste et mondiale. Là je crois avoir compris.

    C’est LA question de l’heure qui amène les forces révolutionnaires à se redéfinir  se reformer  loin des divisions de la gauche  communiste  socialiste  anarchiste  sociaux-démocrates etc. etc. 

    1. au cours du XIXe et XXe siècles le grand capital s’est progressivement mondialisé D’OU la grande bourgeoisie milliardaire s’est aussi mondialisé politiquement, idéologiquement, socialement, culturellement, etc. La grande bourgeoisie le fit en premier car c’est elle qui détient tous les pouvoirs dans nos sociétés capitalistes et c’est la classe qui subit les plus fortes pressions pour son adaptation aux rapports de production issus  formatés  par les moyens de production en accélération.
    2. La grande bourgeoisie ( mondialiste avant tout le monde) est assistée par toute une couche de sous-traitant = la moyenne bourgeoisie et une couche de laquais = la petite bourgeoisie très nombreuse. Les bases économiques de ces couches sociales sont locales — municipales— régionales— nationales. Ces couches sociales défendent leurs bases sociales et économiques quand elles se battent contre la mondialisation capitaliste. Sur ce point elles sont en contradiction avec leurs maitres du grand capital. D« OU ces luttes réactionnaires d’arrière garde ANTIMONDIALISATION — NATONALEUSES — CHAUVINES QUE CES COUCHES SOCIALES développent et dans lesquelles elles entrainent des segments de la classe prolétarienne.
    3. La classe prolétarienne est le produit du capital (grand et moyen et petit). Pour survivre, LA classe prolétarienne vend une marchandise à vil prix = sa force de travail. Elle la vend au grand capital mondialisé  au moyen capital national (reliquat des premières phases du capitalisme)  au petit capital local  régional intimement imbriqué avec le capital sous-traitant. 
    4. Le prolétariat est donc soumis à des rapports de production capitalistes divers  sous certains aspects internationalistes (venant des multinationales donneurs d’ordre) du moyen capital sous-traitant qui peu à peu s’extirpe des contraintes nationaleuses pour servir les commandes des multinationales mondialistes et le prolétariat vie quotidiennement avec la petite bourgeoisie sacrifiée  en cours de paupérisation et de prolétarisation et qui se bat et résiste entrainant avec elle des segments du prolétariat.
    5. Toute cette mise en scène existait déjà au temps des bolchéviques et des communistes et des socialistes mais à l’état embryonnaire. En ce XXIe siècle ce scénario est arrivé à maturité et grâce aux technologies numériques  satellitaires ce déploiement s’accélère. Comme la mondialisation du capital  l’internationalisation de la classe prolétarienne est irréversible et s’effectue chaque jour sous nos yeux.
    6. Terminons par la conscience de classe prolétarienne internationaliste et internationale. La conscience sociale ne provoque pas l’émergence d’une classe sociale ni pour la bourgeoisie  ni pour le prolétariat. C’est le rôle économique concret dans des conditions socio-politiques concrètes d’un groupe social qui en fait une classe sociale concrète, qui entrant en rapport les uns (individus) avec les autres (individus) et avec les autres classes sociales forgent les rapports de production = les rapports de classes sociales.
    7. De cet énoncé il découle que la classe prolétarienne (sans pouvoir mais dominée, opprimée, aliénée) vivant sous le capitalisme mondialisée ne peut que s’internationalisée  forcément. Ces conditions objectives et subjectives n’étant pas à maturité au temps de Marx, Lénine, Mao, Castro et les autres la classe prolétarienne ne pouvait être que nationaliste tout comme aujourd’hui la classe prolétarienne révolutionnaire ne peut être qu’internationale et internationaliste.
    8. La guerre sanitaire mondialisée que la classe prolétarienne internationalisée subit présentement illustre parfaitement cette dynamique mondiale-internationale. Sans aucune organisation gauchiste ou droitiste, qui sont restées assises sur la clôture  spontanément partout dans le monde petite-bourgeoisie  travailleurs  ouvriers  prolétaires se lèvent et résistent à la dictature gouvernementale  policière  militaire fasciste des larbins politiciens à la solde du grand capital. Une répression commune entraine une résistance populaire commune et engendre une conscience »communarde" de classe. Ce n’est pas la conscience de classe qui produit la classe, c’est la classe en lutte qui produit la conscience de classe 

    Merci pour votre post Séraphin.

    Robert Bibeau.



  • Robert Bibeau Robert Bibeau 15 mars 2021 14:42

    @Furax

    EN EFFET, ce document produit par un général de brigade est un brulôt qui étale au grand jour la lutte de classe (interne à la bourgeoisie française et européenne) dans les préparatifs de guerre 

    Alliance Atlantique-OTAN ou Alliance chino-russe ou Allliance européenne voilà le dilemme qu’expose ce général 

    Merci 

    Robert Bibeau 



  • Robert Bibeau Robert Bibeau 15 mars 2021 14:35

    @Séraphin Lampion

    OUI en effet. Et c’est un constat que partage la gauche et la droite politique : il n’y a pas de conscience de classe prolétarienne ni donc de classe prolétarienne... ce que nous réfutons énergiquement. Les carrés rouges québécois, les gilets jaunes français, les résistants anti confinement mondiaux en sont trois exemples probants.

    Merci pour ce post Séraphin 

    Robert Bibeau 



  • Robert Bibeau Robert Bibeau 1er mars 2021 20:48

    @Séraphin Lampion

    Je ne la conditionne pas MAIS l’expérience historique montre qu’il en est toujours ainsi malheureusement comme si seul l’atrocité de ces guerres parvenait à déclencher l’instinct de survie de la classe opprimée et à la jeter dans le tourment de la révolution sociale.

    robert bibeau

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