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Dans les facs et les lycées la colère monte, manifestation le 1er février #NonALaSelection

Le sinistre ministre Blanquer vient de confirmer les premières annonces qui avaient été faites dans les médias : le gouvernement de Macron MEDEF s’apprête bien à liquider le diplôme national du BAC et avec lui le lycée. 

  • Contrôle continu pour un lycée à plusieurs vitesses et un bac qui ne vaudra plus la même chose dans les lycées élitistes et privés de centre villes et dans ceux de banlieue. Contrôle continu, supprimant la délivrance d’un diplome égale sur la base d’un examen anonyme, interdisant au passage la possibilité pour les lycéens de faire grève et donc de faire entendre leurs voix… 
  • fin des séries L, S, ES au profit d’un soi-disant enseignement à la carte ne mettant plus en valeur que deux matières qui ne compteront toutefois que pour la portion congrue de l’examen et dont l’enseignement sera stoppé dès la fin de la moitié de l’année de terminale. Là encore, pour avoir accès aux options et à un enseignement secondaire concret, il faudra se tourner vers le privé…
  • diminution du nombre d’heures et suppression massives des épreuves écrites du bac et des épreuves orales de rattrapage. Au profit d’un nébuleux “oral” et de seulement quatre épreuves écrites qui ne seraient plus nationales, mais pour partie passées dans le cadre de chaque lycée.

Parachever la destruction de l’Éducation nationale pour privatiser l’école, faire baisser les salaires en faisant sauter les statuts et conventions collectives.

Derrière la réforme du lycée, s’insérant dans la continuité de la réforme du collège et de la réforme des universités, il s’agit de parachever la destruction méthodique de l’Education Nationale et de l’Enseignement Supérieur, l’un des principaux services publics du pays, pour en lancer la privatisation massive. Une attaque frontale qui s’articule également avec la casse du code du travail et des statuts de la fonction publique, c’est à dire les droits collectifs des travailleurs.

Il s’agit bien d’une offensive coordonnée puisque les diplômes nationaux et principalement le bac sont la base des grilles nationales des conventions collectives et des statuts généraux et particuliers de la fonction publique, c’est à dire de la protection des niveaux de salaires. Ordonnances loi travail d’un coté, suppression des diplômes nationaux, il s’agit bien d’individualiser au maximum pour faire sauter les protections et droits collectifs protégeant les salaires de chaque travailleurs.

Vieilles idées, vielles “réformes”

Ces “réformes” qui n’en sont pas – faut il rappeler que l’idée moderne d’instituer la sélection à l’Université était déjà au cœur des la colère étudiante en mai 1968 il y a tout juste cinquante ans ou il y a trente ans contre les lois Devaquet ? – sont la déclinaison également de la “stratégie de Lisbonne” lancée par l’Union Européenne pour privatiser ce gigantesque marché que pourrait être l’éducation et l’enseignement.

En effet ce secteur échappe très majoritairement à la spéculation et aux profits privés en raison de l’existence même d’une Education Nationale.

La réforme du lycée : un gigantesque plan social de 25 000 suppression d’emplois

La réforme du lycée prévoit sous une propagande bien huilée prétendant en supprimant entre 2 et 5 h d’enseignement hebdomadaire selon les séries améliorer la qualité de l’enseignement a aussi pour principal objectifs de faire des économies de profs en supprimant massivement des postes. C’est qu’il s’agit dans le cadre de CAP2022 la nouvelle RGPP/MAP de satisfaire aux critères de 3% de déficit public imposés par ce très cher euro.

D’après nos calculs, cela reviendrai à supprimer 25 000 postes. Et cela c’est sans compter les graves menaces que fait peser la réforme sur les options (seconde langue, langues anciennes, arts vivants et cinéma/audivisuel, musique, sports…)

Mobilisation dans les lycées et les facs : manifestation le 1er févier

Tirant le signal d’alarme depuis de longs mois, les jeunes des JRCF et leurs camarades du PRCF alertent tracts en main de longues dates contre ce qui se trame pour inviter la jeunesse à défendre son avenir. La mobilisation commence à se lever – la France Insoumise, l’UEC, l’UNEF ont ainsi pris conscience ces dernières semaines des dangers de la mise en place de la sélection à l’entrée de l’Université.

Un appel national à la mobilisation avec une journée nationale d’action le 1er février vient d’être décidé par la coordination étudiante

Le SNES FSU, principal et ultra majoritaire syndicat des enseignants des collèges et lycée vient lui de prendre fermement position contre la réforme du lycée. Gageons que le printemps 2018 sera à la mobilisation.

Parents d’élèves, lycéens, étudiants, ouvriers, salariés, fonctionnaires : chacun a une excellente raison de se mobiliser pour défendre l’Education Nationale et les diplomes nationaux. Son salaire, son avenir et celui de ses enfants ainsi que celui du pays.

JBC pour www.initiative-communiste.fr

https://www.initiative-communiste.fr/articles/luttes/facs-lycees-colere-monte-manifestation-1er-fevrier-nonalaselection/


Mobilisé-e-s le 1er février contre la sélection à l’Université et pour la liberté d’étudier !

Suite au vote de la loi réformant l’accès à l’université en décembre à l’assemblée, le mois de janvier est celui de la mise en place de la sélection dans les universités via la nouvelle plateforme « Parcoursup ».

Afin de trier les dossiers des lycéen∙ne∙s, chaque université se fondera sur des attendus nationaux, déclinés en attendus locaux. Pour des milliers de jeunes, ces attendus auront pour effet de les décourager de poursuivre des études, de leur bloquer la possibilité d’accéder à la filière de leur choix, voire de l’université tout court.

En effet, l’augmentation du nombre de bachelier, combinée à la restriction du nombre de places disponibles dans les universités, vont à terme transformer la majorité des filières ouvertes, en filières « en tension », donc rendues sélectives par la loi.

Par ailleurs, la complexe procédure d’admission, parce qu’elle limite les bachelier∙e∙s à 10 vœux non hiérarchisés, risque de maintenir la plupart des jeunes sur liste d’attente jusqu’à la dernière phase de la procédure.

Pour tous les jeunes sans affectation à l’issue de la procédure, leur seule option sera de faire appel au rectorat, qui leur proposera une unique affectation dans une filière où demeurent des places vacantes, sans garantie que cette affectation soit en cohérence avec leur projet pédagogique et professionnel. Les jeunes n’auront que 24 heures pour répondre à cette proposition, sans quoi perdront toute chance d’accéder à l’enseignement supérieur.

Par ailleurs, le gouvernement souhaite, dans le cadre de cette réforme, remettre en cause l’arrêté licence, texte qui cadre nationalement les droits étudiants du cycle licence, sorte de code du travail et étudiant-e-s. En remettant en cause des protections fondamentales telles que les rattrapages ou encore la compensation entre les matières, et en souhaitant individualiser à outrance les parcours, c’est notre droit à la réussite qui est menacé.

Les étudiant-e-s devront signer un contrat de réussite avec leur établissement, et s’ils n’en respectent pas les termes, leurs bourses pourraient se voir supprimées. Alors que les mauvaises conditions d’études à l’université et la précarité financière sont les premiers facteurs d’échec dans l’enseignement supérieur, le gouvernement se trompe lorsqu’il estime que retirer les bourses des étudiant-e-s en difficulté, c’est-à-dire les sanctionner, les incitera à réussir, cela ne fera au contraire qu’augmenter un taux d’échec d’ors et déjà très élevé en licence.

Le gouvernement souhaite mettre en place une cotisation de 90 euros par étudiant∙e∙s, visant à financer les services de médecine préventive, de vie étudiante, culturels et sportifs des universités. La mise en place de cette cotisation fait un peu plus reposer le financement du service public de l’enseignement supérieur, en grande difficulté du fait du désengagement de l’Etat, sur les épaules de ses usager.e.s. Les contours de sa répartition ne sont par ailleurs toujours pas clairs, ne permettant pas d’avoir de certitude sur ses objectifs et son efficacité réelle.

Cette réforme de l’accès à l’enseignement supérieur se combinera avec la réforme du baccalauréat, qui risque d’entériner la fin du bac comme diplôme national. En mettant en place une modularisation des enseignements secondaires sans cadrage national, qui aggravera les inégalités territoriales entre lycées, il sera créé, de fait, une concurrence entre établissements. Cette concurrence sera d’autant plus grave qu’elle sera prise en compte dans les procédure d’admission à l’université, par l’étude des dossiers des candidat-e-s.

Alors que depuis son élection le président et son gouvernement font sans cesse le choix de politiques qui favorisent les plus riches et les puissants à l’image de la suppression de l’ISF, ici, ce sont une nouvelle fois les classes populaires qui sont visées. Cette sélection va toucher prioritairement les lycéen.ne.s issus des quartiers les plus populaires et les plus en difficulté. Elle laissera sur le carreau des milliers de lycéen.ne.s qui se retrouveront sans diplôme et sans avenir.

Alors que les jeunes ont déjà exprimé leur opposition à l’annonce du plan étudiant depuis plusieurs mois, nos organisations réitèrent leur refus de voir s’instaurer la sélection à l’entrée de l’université, nous réclamons le retrait du plan Vidal. Nous exigeons aussi l’abandon des projets de remise en cause des droits fondamentaux des étudiants, ainsi que la mise en place d’une réforme du bac qui engendrera de profondes inégalités territoriales et sociales.

Il est grand temps d’agir pour qu’un vrai service public de l’information et de l’orientation voit le jour et que des moyens soient injectés afin de permettre à chacune et chacun de maîtriser et de choisir son parcours de vie.

Nos organisations ont déjà formulées de nombreuses propositions alternatives et nous continuerons à les porter de toutes nos forces face à ces projets qui menacent notre avenir.

Nos organisations appellent les jeunes à se mobiliser le jeudi 1er février 2018, à se réunir, dès maintenant pour débattre des réformes, à se mobiliser sous toutes les formes décidées collectivement (grèves, blocages, manifestations, rassemblements, etc), pour alerter sur les dangers des réformes en cours.

Nous réclamons le droit pour toutes et tous (lycéen.ne.s, étudiant.e.s, salarié.e.s). de faire grève, et nous nous prononçons d’ores et déjà contre toute sanction, administrative ou policière, contre celles et ceux qui tenteront d’exercer ce droit légitime.

Une nouvelle réunion réunissant nos organisations se tiendra à la suite du 1er février pour proposer des suites à cette journée de mobilisation.

Signataires :

UNEF – UNL – Solidaires étudiant.e.s – FiDL

Mouvement Jeunes Communistes de France – Ensemble Jeunes – Jeunes Insoumis – Jeunes Générations – MJS Réseau jeune du PG – Union des étudiants Communistes – NPA Jeunes

JOC – MRJC – LMDE


400 étudiants et professeurs réunis à Paris 1 contre la sélection : Appel à la grève le 1er février !

 

 

Depuis la rentrée, l’université Paris 1 est en effervescence contre le plan étudiant. La semaine dernière, après un envahissement du conseil d’administration pour empêcher la remontée des prérequis, la présidence a décidé unilatéralement de mettre en ligne les parcours de l’université, validant la sélection sur la base des prérequis nationaux. Face à une attaque sans précédents contre l’université française, les organisations étudiantes (UNEF, Solidaires Etudiants, NPA Jeunes) et les syndicats de professeurs et personnels (CGT, SNESUP, Sud Education) avaient appelé à une Assemblée Générale (AG) contre la sélection pour lancer un mouvement sur l’université Paris 1. C’est donc 400 étudiants et professeurs qui ont répondu à l’appel en se réunissant à Tolbiac, pour écouter d’abord une analyse approfondie du projet de loi et pour discuter ensuite de perspectives d’actions.

La présidence cherche à tuer dans l’oeuf la réaction contre le plan étudiant

Face à l’appel de cette AG, et suite au travail de terrain des militants des diverses organisations, la présidence de l’université Paris 1 a cherché à tout faire pour empêcher la tenue dans de bonnes conditions de cette réunion publique. En effet, le comité de mobilisation avait décidé d’inviter les lycéens, étudiants et professeurs de toute la région parisienne à discuter. Face à cela, le contrôle des cartes a été renforcé à l’entrée, empêchant de nombreux jeunes et travailleurs d’assister à la réunion. En réalité, cette tension à tuer dans l’oeuf la réaction contre la loi du gouvernement montre à quel point le rectorat de Paris a peur de voir un potentiel mouvement étudiant émerger, notamment à Paris 1, qui a été durant de nombreux mouvements passés un des poumons nationaux de la grève étudiante.

Naissance d’un comité de mobilisation pour préparer la grève du 1er février

L’Assemblée Générale a surtout réfléchi aux moyens de lancer une mobilisation sur Paris 1. Tout d’abord, un comité de mobilisation a été lancé pour réunir tous les étudiants et permettre d’amplifier la mobilisation sur la fac. Pour obtenir le retrait du plan étudiant, l’Assemblée Générale a décidé de mettre en perspective la journée du 1er février, appelée par les syndicats de professeurs et les organisations de jeunesse. Multiplier les interventions en TD et en amphithéâtre, préparer la grève avec les personnels administratifs et les professeurs, et surtout préparer l’après 1er février, avec la proposition d’une Assemblée Générale inter-fac après la manifestation : voilà les propositions adoptées par l’Assemblée de Paris 1.


Le bac a du sens ! l’appel pétition lancé par le SNES le principal syndicat enseignant

Le gouvernement veut réformer le baccalauréat dans l’urgence, sans prendre le temps d’un bilan sérieux ni de discussions approfondies. Le projet est verrouillé par son objectif : 4 épreuves et du contrôle continu. Nous voulons une réforme du baccalauréat et du lycée, mais non un diplôme maison qui renforce les inégalités entre les lycées et les élèves.

Le contrôle continu au bac ? C’est non !
Le contrôle continu construit un baccalauréat local, dont la valeur dépend de la réputation du lycée !

Réduire à 4 les épreuves du bac ? C’est non !
Le baccalauréat évalue les élèves dans plusieurs champs de connaissances, dans un nombre important de disciplines – qui n’ont pas le même poids ni le même contenu dans chaque série. Ceci permet au système français d’être exigeant avec les élèves, en les amenant à suivre des formations riches et ambitieuses. Réduire à 4 les épreuves du baccalauréat, c’est réduire l’ambition de formation pour les élèves.

Reconstruire le baccalauréat et le lycée, pour la réussite des élèves et l’amélioration des conditions de travail des personnels, c’est oui !

 

  • le bac doit rester le 1er grade universitaire, fondé d’abord sur des épreuves finales, terminales, nationales et anonymes mais il faut revoir la nature des épreuves, leur durée, les coefficients dans chaque série pour renforcer la valeur de l’examen ;
  • le lycée doit rester en séries, car elles permettent les synergies entre le « commun », le « spécialisé », et « l’optionnel ». Les horaires disciplinaires doivent être maintenus car pour apprendre, les élèves ont besoin d’heures de cours. L’architecture de chaque série doit être repensée, pour permettre une spécialisation progressive de la formation, sans appauvrir les parcours ni enfermer les élèves.

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58 réactions à cet article    


  • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno 31 janvier 2018 09:09

    Vos ajouts de « e » un peu partout dans votre texte est ridicule et le rend bien plus difficilement lisible. J’en ai d’ailleurs abandonné la lecture en cours de route à cause de cela. Dommage.


    • Zolko Zolko 31 janvier 2018 13:24

      @Giordano Bruno : pareil. L’écriture inclusive est une aberration que seuls des ignares utilisent : en effet, comment lisez vous « les étudiant.e.s » ??? Comment ça se prononce ?
       
      Ca se prononce pas, donc ça s’écrit pas. Du coup, quand ce sont des analphabètes qui défendent l’école, on se demande si ils se rendent compte de l’incongruité de leur démarche.


    • rogal 31 janvier 2018 14:29

      @Zolko
      Étudiant-e-s dans la rue, Blanquer dans le ru !


    • vesjem vesjem 31 janvier 2018 20:52

      @Giordano Bruno
      et si l’auteur(e) utilisait « l’inclusivitation » pour rendre exprès son(a) article(e) débile peu crédible, à dessein


    • Kanok Kanok 1er février 2018 00:13

      @Giordano Bruno

      Il vous en faut peu pour abandonner c’est chaud :/ bon courage pour comprendre votre bulletin de salaire du coup


    • 59jeannot 1er février 2018 07:26

      @Giordano Bruno
      la forme vous déplaît, ou le fond de l’article ?


    • Giordano Bruno - Non vacciné Giordano Bruno 1er février 2018 17:26

      @59jeannot
      Seulement la forme. C’est pour cela que je termine par « Dommage ».


    • foufouille foufouille 31 janvier 2018 13:18

      @Alren
      "Vous ne comprenez pas que c’est la demande des « lycées » privés qui pourront donner des notes de complaisance à des nuls mais fils ou filles de riches, que cette suppression d’un examen anonyme et national ?"

      c’est déjà le cas avec un taux de réussite de 99% pour certains.
      vu le prix mensuel de certains lycées privés, le diplôme est donné.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 13:46

      @pipiou3
      je veut dire par là obéissance que le programme laissait peu d’autonomie. en fac, tu te démerdes bien tout seul ?

      "Non les branleurs tu essaie de leur faire comprendre que le monde dehors il n’est pas tout gentil et qu’ils ont intérêt à se bouger.
      Il y a des gens qui ont arrêté leurs études à 16 ans et qui ont très bien réussi leur vie."

      c’était valable avant la mécanisation, mondialisation, délocalisation et les sites internet chinois.
      60% des vendanges sont faites par des machines, le maçon sera bientôt remplacé par une imprimante, etc.

      donc on fait quoi des idiots qui arrive à ton BAC inutile ?


    • foufouille foufouille 4 février 2018 14:13

      @pipiou3
      « Oui en fac tu te démerdes tout seul : c’est toi qui choisis si tu travailles ou pas. »

      donc un élève qui ne fait rien ou presque ne seras pas autonome, donc il se vautre.

      "Ces « idiots » tu leur apprends des métiers car contrairement à ce que tu dis il y a encore largement de quoi travailler ..« 
      il va falloir sortir un peu de ton univers de fonctionnaire car depuis 20 ans avec six millions de sans emploi, personne n’a vu tes six millions d’offres d’emplois dans des entreprises avec un carnet de commande plein. la plupart des secteurs sont mécanisables ou délocalisables.

       ». sauf si tu as fait 5 ans de psycho, là une machine te remplace sans problème."
      c’est vrai mais pas totalement inutile avec une formation d’aide soignante ensuite.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 14:19

      @pipiou3
      l’autonomie n’est pas non plus naturelle, le lycée donne cette formation ?

      un autre truc est l’exemple des parents, si ils sont tous les deux avec des petits boulots, au mieux, les gamins auront certainement peu en vie d’étudier.
      et vu que les sans dents ne vivent qu’avec des sans dents, l’exemple sera que ça sert à rien les études.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 15:11

      @pipiou3
      "Bien on avance : s’il n’est pas autonome il est inutile qu’il entre en fac.
      Mais ça ne te pose pas de problème qu’un adulte de 18 ans, qui a le droit de vote, est pénalement responsable, ne soit pas autonome ??« 

      non car un employé n’est pas autonome, il a en général besoin d’ordres de son chef.
      certains ne seront jamais autonome.

      https://www.inegalites.fr/Chomage-les-non-qualifies-en-premiere-ligne

      c’est 20%

       »Et tu ne penses pas que ce serait mieux de faire directement une formation d’aide soignante ?« 
      il me semble que la passerelle n’existes pas et comme la personne sera plus vieile, il plus logique de commencer par le plus »difficile".
      il existe une formation de psycho après aide soignante mais c’est light.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 15:44

      @pipiou3
      « Un employé n’est pas capable d’arriver à l’heure et de comprendre une consigne simple ? »
      autonome signifie que tu n’as pas besoin d’ordre et que si tu as fini ton boulot, tu vas faire quelque chose pour finir ton heure et pas faire une pause.

      le bac est un examen en temps limité avec un niveau déjà assez bas.
      il suffit de lire abarmou, ou doctorix qui est sénile.
      si tu le supprimes, tous les fils d’en haut seront sélectionnées pour la FAC ainsi que les chouchous des profs, etc.
      tu peut remplacer le bac par un examen national pour accéder à la FAC mais identique pour tous.
      pas gagné car les cours des facs ne sont pas standards.
      dans certaines FAC de psycho, tu apprends toujours des conneries de psykakanalyste.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 15:50

      @pipiou3
      autre truc, en supprimant le BAC il sera impossible de reprendre ses études car le DAEU sera aussi supprimé ?


    • foufouille foufouille 4 février 2018 16:01

      @pipiou3
      et si c’est pour faire une sélection comme pour la première année de médecine, ce sera totalement inutile vu le nombre de taches médicales comme doctor clic.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 18:16

      @pipiou3
      c’est la société actuelle, mon vieux : idiocratie.
      tu as toujours eu des idiots mais avant ils étaient balayeur ou un truc du genre.
      autonome, tu n’as pas besoin d’objectif, tu fis ce qu’il y a à faire sans ordres.
      le chouchou du prof a toujours existé, je me souviens d’une prof d’allemand qui avais mis 14 à une rédaction en anglais.


    • foufouille foufouille 4 février 2018 18:18

      @pipiou3
      pour le bac, c’est le sujet de l’article.


    • vesjem vesjem 5 février 2018 21:33

      @pipiou3
      non, pioupiou4, ce qui est inquiétant, ce sont les gens bien nés comme toi, qui ont bien élevé leurs petits nenfants qui ont réussi de bonnes études (aidés en cela par des parents aux petits soins) et qui pensent que le monde est beau et que tous ces fainéants d’étudiants devraient faire comme les miens ;
      çà pue la bêtise


    • Albert123 31 janvier 2018 10:53

      c’est minable d’instrumentaliser la jeunesse ainsi, mais bon les gauchistes et leur idéologie niaise ne peuvent séduire qu’un public au sens critique anémié ou pas encore constitué.


      on soulignera effectivement l’usage de l’écriture inclusive, qui à lui seul indique que le public visé est le même que celui de la rabatteuse pour pédophile Jeremstar.

      bref du très très haut niveau et la marque de fabrique d’un gauchisme décadent par essence mais qui aujourd’hui ne trouve son public que dans les universités pour les fils et filles de bobos décérébrés.

      Faire perdre 20 ans à une jeunesse qui ne retrouvera sa liberté de penser qu’a 40 ans, est la marque de fabrique du gauchisme.






      • lloreen 31 janvier 2018 11:21

        La stratégie qui se cache derrière cette fureur réformiste depuis des décennie est celle de la privatisation de la formation qui a d’ailleurs été un objectif affiché par le président Sarkozy qui suit, comme tous les présidents de la corporation républicaine français depuis 1947, l’agenda mondialiste qui veut la suppression des frontières et des nations pour l’instauration d’un gigantesque marché mondial contrôlé par la poignée de propriétaires de la City de Londres, les mêmes qui ont crée la FED américaine dès 1913.

        Pour faire chuter le bastion tout a été bon pour le torpiller et il semble qu’en 2018, le fruit est mûr pour être cueilli par les associés internationaux de monsieur Macron.

        Il est évident que la couvée de l’élite fréquente depuis toujours des écoles dans lesquelles elle se retrouve tant il est prouvé depuis longtemps qu’une minorité que pratiquement personne ne peut identifier nommément dirige le monde en coulisses.

        Même N. Bonaparte et évidemment tous ceux qui l’ont précédé de par le monde à la tête des états (=budgets) ont bien compris que la main qui donne est au-dessus de la main qui reçoit...Même si à l’époque les conflits se terminaient dès que les provisions d’or et d’argent étaient épuisées, ce qui ne tardait généralement pas dans la mesure où l’arnaque de la monnaie-dette n’avait pas encore germé dans l’esprit de la dynastie des escrocs bancaires.


        • lloreen 31 janvier 2018 11:22

          pardon:des décennies


          • lejules lejules 31 janvier 2018 12:24

            bonjour a tous

            a lire les commentaires beaucoup de gens se révoltent contre les gauchistes et les communistes. je ne suis ni l’un ni l’autre.le fond du problème n est pas la. ! 
            le problème est grave devons nous avoir comme pour le model américain un enseignement a 2 vitesses, l’un pour les très riches l’autre pour les très pauvres ! ou les gens entre en retraite sans avoir pu remboursé leur emprunt étudiant ! voulons nous endetter a vie nos enfants ! devons nous accepter le sabordage de nos institutions pour les vendre au profit des intérêts privés des banksters associés. Devons nous accepter la privatisation totale de l’éducation nationale ?comme nous avons accepté la privatisation rampante d’EDF, ce qui a permit de vendre Alstom aux américains. ce qui fait que les fonds de pensions américains touchent des royal tee sur les facture edf des français, qu’ils aient maintenant la main mise sur nos centrales nucléaire ainsi que sur les turbines de nos sous marins nucléaires. en bon français j’appelle ça de la haute trahison

            • Albert123 31 janvier 2018 12:41

              @lejules


              « le fond du problème n est pas la. »

              c’est que vous n’avez pas compris ce qu’est l’idéologie gauchiste et pourquoi elle est la cause de l’impasse dans laquelle nous nous trouvons aujourd’hui et pourquoi le gauchisme est le cheval de Troie du modèle mondialiste.

              le gauchisme perverti et abruti la jeunesse, lui fait perdre un temps précieux et au final désintègre son véritable potentiel, 

              c’est l’avenir du genre humain que l’on sacrifie en laissant cette idéologie nauséabonde proliférer et prendre le pouvoir.

              c’est notre avenir à tous que nous défendons en dénonçant cette idéologie contre nature portée par des frustrés et des médiocres.

              c’est le rayonnement humain et sa dignité que nous négligeons en continuant de la laisser envahir nos institutions, nos médias et nos esprits.





            • Spartacus Lequidam Spartacus 31 janvier 2018 13:59

              @lejules
              T’es ni « l’un ni l’autre » mais tu nous sort juste des arguments bien Bolchéviques et gauchistes doctrinaires...


              Le modèle Français ce sont des branleurs comme l« éternel étudiant William Martinet qui occupent les universités en prosélytisme gauchiste. Ou des gens qui n’ont rien a y foutrent occupent les places au chaud a coté du radiateur.
              Le modèle Français c’est celui qui donne les pires résultats comparés du monde..
              Le modèle Français se sont des profs politisés gauchistes comme la caricature »Nathalie ARTHAUD". Comment ces gauchistes peuvent exposer le capitalisme, Hayek ou Bucanan autrement qu’a charge avec des gauchistes comme ça comme profs ?
              le modèle Français c’est un absentéisme et une gréviculture des rentiers des monopoles qui se gavent sur le dos du secteur marchand qui subit.
              Le modèle Français se sont des programmes scolaires composés par des gauchistes qui font la risée du monde. Il y avait même un article sur les questions au BAC dans la presse anglaise...

              Même le pire des modèles Américains, est bine meilleur que le modèle de merde Français et des services publics Français.


            • lejules lejules 31 janvier 2018 14:02

              @Albert123

              privatisation de l’enseignement
              cela veut dire faire des appels de financement par des investisseurs privés. si ces investisseurs sont américains et ils le seront cela est fait pour ! ils investiront a la condition que l’enseignement soit fait en ricain, que les programmes soient alignés sur les universités US. 
              ce n’est pas l’idéologie gauchistes qui veut ça mais l’hyper capitalisme prédateur dont macron et l’empire Rothschild sont les maîtres. 

            • lejules lejules 31 janvier 2018 14:31

              @Spartacus

              la City de Londres s’arrache a prix d or les polytechniciens et les centraliens issus de nos grandes écoles pour faire leur algorithme boursier. comme quoi nous sommes tout a fait bon dans de nombreux domaines 
              dans un esprit républicain l’enseignement gratuit permet en principe a tout individu en ayant les capacités de faire des études le plus poussé possible et cela gratuitement. en sera t il de même avec un enseignement privé ou l’étudiant devra s ’endetter jusqu’à la fin de ses jours ! trouvez vous ça normal ? seul les ultra riches pourront faire des études est ce normal ? 
              si vous trouvez que mes arguments sont juste des arguments bolcheviques et doctrinaires je vous en laisse seul juge.

            • V_Parlier V_Parlier 31 janvier 2018 14:47

              @Spartacus
              « Même le pire des modèles Américains, est bine meilleur que le modèle de merde Français et des services publics Français. »
              Je pense que maintenant ils sont aussi mauvais l’un que l’autre, mais dans une forme différente.


            • lloreen 31 janvier 2018 15:14

              « Même le pire des modèles Américains, est bine meilleur que le modèle de merde Français et des services publics Français. »
              Le service public sera sans doute égal au pire modèle américain où se côtoient ceux dont les parents n’ont pas le moyen de payer une instruction digne de ce nom à leur progéniture.
              C’est sûr qu’à ce tarif, le « peuple » est ravalé au rang de bons à rien ou carrément des « riens » juste bons à « karchériser ».

              Le problème, justementn réside dans le fait que ceux qui prônent le karcher font partie des escrocs de la pire espèce...Et il est d’autant plus facile de transformer la frange des laissés pour compte en « conspirationistes » dès qu’ils se rebiffent ou démasquent l’imposture.

              Des gens ignorants sont du pain béni pour des marchands d’illusions et l’instruction publique un trop grand barrage qui obstrue la voie mercantile.


            • Spartacus Lequidam Spartacus 31 janvier 2018 16:47

              @lejules

              La gratuité ça n’existe pas et pire, elle est anti-sociale...
              Les bons sentiments sont les pires armes de destruction massive des motivations...

              Quand on transforme l’école en Casino ou le droit de jouer sans payer on a que des perdants.

              La gratuité scolaire fait que 52 % des étudiants échouent leur première année à l’université française. 
              Si ça c’est pas la preuve de la gabegie. 
              Vous en voulez 90% pour admettre la vérité ?
              Il vous faut quoi pour prendre conscience de votre enfumage ?
              Vous envoyer la facture ?

              L’erreur d’orientation par la gratuité entraîne démotivation, culture de l’échec et perte de temps pour les élèves et perte d’argent pour toute la société qui paye.

              Les classes de première année en France ont 50% d’élèves là « que pour la bourse », ou pour y patienter à branler au chaud.
              Les jeunes rêvent d’être fonctionnaire à 50%.... Quel spectacle ! 

              Vous en avez pas marre de nier les vérités ? 
              Ce n’est pas absolument pas « être social » de réclamer la gratuité, c’est juste de l’irresponsabilité et de l’anti-social.
              Quand c’est payant vous en voulez pour votre argent. C’est donner de la valeur aux études. Le monde est un risque. 
              La motivation passe aussi par l’importance des études à rembourser.

              Non, y’en a marre de payer pour les branleurs étudiants qui profitent du système. Les études payantes sont matière a réfléchir a ses choix personnels d’orientation.
              Y’en a marre de créer des cancres inemployables et motiver les jeunes de France a n’être que des fonctionnaires statutaires à charge toute leur vie....



            • lloreen 31 janvier 2018 17:23

              @Spartacus
              « 

              La gratuité ça n’existe pas et pire, elle est anti-sociale. »

              Ce qui est anti social c’est la programmation mentale consistant à faire croire qu’il faudrait se prostituer auprès d’ escrocs en échange de paperasserie sans valeur.
              Donc comme cette monnaie de singe est sans valeur, c ’est forcément que tout est gratuit. Et comme le progrès social n’est possible que par l’échange et le partage ce n’est pas la gratuité qui serait anti sociale mais plutôt l’imposture consistant à extorquer le fruit du travail sans contrepartie, ce que permet justement la ruse de la monnaie de singe.

              Les bons sentiments sont les pires armes de destruction massive des motivations..."

              Les bons sentiments sont synonymes d’harmonie et celle-ci est primordiale pour l’ établissement d’une société saine et équitable.
              Ce qui est une arme de destruction massive des motivations est justement l’arnaque de la monnaie de singe parce que non seulement elle est l’arme absolue permettant le contrôle par la pénurie.

              Non seulement les gens travaillent de plus en plus et sont exténués sans pour autant récolter plus mais en outre ce qu’ils reçoivent en échange est de moindre qualité au fil du temps, engendrant la démotivation parmi la jeunesse puisque les fils vivent moins bien que leurs pères ce qui est carrément un comble !
              La solution est donc le contributionisme qui est une société sans argent, ce qui est la normalité dans une société digne de ce nom car elle permet non seulement de reconnaître chacun à sa juste valeur dans la mesure où chacun donne le meilleur de lui même puisqu’il reçoit le meilleur en échange. La sélection est donc naturelle et non pas totalement artificielle et morbide comme dans une société où quelques escrocs et criminels dictent leurs conditions par la répression, le racket et la terreur.


            • lejules lejules 31 janvier 2018 17:35

              @Spartacus

              votre véhémence et vos apriorismes tuent toute forme de discussion. 

            • Albert123 31 janvier 2018 17:49

              @lejules


              « ce n’est pas l’idéologie gauchistes qui veut ça mais l’hyper capitalisme prédateur dont macron et l’empire Rothschild sont les maîtres. » 

              cela dit, on va donc ne pas perdre plus de temps avec vous.

              bon courage pour la suite.

            • lejules lejules 31 janvier 2018 18:23

              @lloreen

              ce que vous dites me fait penser a idriss aberkane 



            • François Vesin François Vesin 31 janvier 2018 21:52

              @lejules
              «  ce n’est pas l’idéologie gauchistes qui veut ça 

              mais l’hyper capitalisme prédateur dont macron 
              et l’empire Rothschild sont les maîtres »

              Les « gauchistes » auxquels vous faites référence
              sont à la Gauche
              ce que les « forces syriennes libres / Daech & Co »
              sont à l’Islam :
              des mercenaires au service de l’empire.

            • Spartacus Lequidam Spartacus 1er février 2018 17:46

              @totrob

              Vous ferez de vos enfants des lavettes.....

              C’est sûr qu’avec votre mentalité de fonctionnaire assisté et incapable de se prendre en main

              Belle culture du misérabilisme....
              Belle culture de l’inaction et de la déresponsabilité. 

              L’argent s’emprunte. Si tu veux tu te donnes les moyens. 

              Si t’investi pas tu récoltes pas.

              Si tu es Einstein tu te bouges le cul et tu apprend a te démerder pour emprunter et payer tes études.

              Mais quelle brochette de types en servitude sur ce fil, incapable de dire aux gens de s’assumer et se prendre en main.

              Tristes France totalement décalée de la réalité. 





            • Spartacus Lequidam Spartacus 2 février 2018 13:04

              @totrob

              On voit ici celui qui n’a jamais emprunté pour une activité marchande...
              C’est le business plan ou le bilan prévisionnel qui permet la levée de fond....

              Les bilans passé sont juste des appuis pour conforter un business plan, mais ne sont pas toujours nécessaires.

              Les prêts étudiants sont encadrés, et cautionnés par l’état à 70%. 
              Arrêtez de peindre en Zola la réalité.


            • Ben Schott 2 février 2018 13:19

              @Spartacus
               

              « Les bilans passé sont juste des appuis pour conforter un business plan, mais ne sont pas toujours nécessaires. »
               
              Bien sûr que si ils sont toujours réclamés par le prêteur, c’est un indicateur de la santé de l’activité. Mais s’il s’agit d’une création d’activité, le seul business plan ne suffit bien évidemment pas ! Il faut impérativement, effectivement, de solides garanties !
               


            • Spartacus Lequidam Spartacus 2 février 2018 22:57

              @totrob


              Je viens justement de voir la banquière me déposer les calendriers. Elle a des objectifs de prêt à faire pharaoniques. (SG), mais ça pourrait être n’importe quelle autre.

              Elle est venue pleurer que je lui emprunte plein de sous.
               
              Peut être connaissez vous mal les banques et ignorez que leur job est de prêter ?

              Faire un business plan ou un bilan prévisionnel est un savoir faire....
              Et je passe par personne pour faire les miens. 

              J’ai créé ma première boite à 24 ans. (il y a 35 ans).
              J’emprunte quand je veux sans aucune garanties, juste sur un bilan prévisionnel. 
              Mais j’ai prouvé depuis longtemps que j’étais de confiance, et ça a plus de valeur qu’une caution.

            • Spartacus Lequidam Spartacus 31 janvier 2018 13:03

              On est très loin de l’intérêt des élèves, de l’intérêt des parents, de l’intérêt des contribuables et de la qualité d’enseignement...


              Juste un appel de manipulation des jeunes à faire la grève pour le profit et les intérêts catégoriel des éternels gauchistes qui occupent en armée d’endoctrinement bolchévique les élèves.

              C’est juste de la demande de ne pas changer une rente de situation des bouffeur de la gamelle statutaire qui gémit pour ses petits privilèges...

              La réticence aux changement pour de minables intérets catégoriels de la caste des intouchables des statutaires de l’enseignement..

              Triste France
              Triste gauchistes
              Triste cocos
              Triste armée d’occupation gauchiste qui conditionne et utilise la jeunesse en prosélytisme politique a vomir.

              • V_Parlier V_Parlier 31 janvier 2018 14:52

                @Spartacus
                « Juste un appel de manipulation des jeunes à faire la grève pour le profit et les intérêts catégoriel des éternels gauchistes... »
                -> Ayant connu la période Devaquet, j’ai constaté que c’est surtout l’occasion de faire une bonne grosse teuf en groupe et de glandouiller pendant une semaine en ayant la conscience tranquille. Ce qui est paradoxal, c’est de constater que dans les pays communistes (ou tout au moins étatistes) qui arrivent à se maintenir, ils ont compris qu’ils ne pouvaient perdurer qu’en appliquant une stricte sélection au niveau pour les étudiants. Nos lycéens révolutionnaires se feraient bien calmer là-bas ! smiley


              • JP94 31 janvier 2018 17:30

                @V_Parlier


                A Cuba, 0% d’échec scolaire, des classes de 10 à 15 élèves. Le plus haut niveau scolaire d’Amérique latine, et aucunes inégalités, quelle que soit la localisation de l’établissement. Tout ceci avec un blocus illégal et se chiffrant en centaines de milliards de dollars ( 150, il me semble).
                Cuba n’applique pas la sélection, mais sitôt qu’un élève a du mal, on le sort de la classe le temps de lui faire rattraper le niveau des autres. Je dis bien l’échec scolaire n’existe pas à Cuba.
                C’est une volonté du peuple cubain et la politique volontariste de son gouvernement communiste.

                En RDA, dans les années 70, il y avait 15 millions d’habitants, et on cherchait à résoudre l’échec scolaire : on forma et recruta ( les études étant rémunérées au lieu d’être payantes comme ici), 100 000 enseignants ( ça ferait 400 000 ici) et on conçut un système de soutien externalisé avec des entreprises ...socialistes, , des salariés etc ... et ce fut une réussite sans pour autant être une recette miracle. Mais il y a la volonté.
                Notez que j’ai une amie allemande, qui 20 ans après ses études ( doctorat mention excellente) doit encore payer à l’Etat Ouest-allemand ses études car en RFA, l’Etat estime que dans le supérieur étudier n’est pas un droit.

                Pour l’ex-URSS, le niveau y était très élevé et d’ailleurs c’est un sujet tabou ici. En maths, 5 à 6 heures au collège, par semaine et avec des profs spécialisés : Algèbre, Géométrie etc ... des méthodes d’enseignement pensées, cohérentes, visant à l’excellence de tous 
                Mais évidemment, pour les sections de pointe ( intégrer le cours d’un mathématicien dans une section spéciale d’un institut, on sélectionne. Seulement cette sélection ne privait les autres d’étudier les maths ou autre chose : simplement, le super matheux avait accès à un cours formant des « médailles Fields » et l’étudiant ordinaire avait droit à des cours de haut niveau mais adaptés.

                La sélection ici, est exclusive : elle prise la plupart du droit aux études, sans se soucier de financer et d’imaginer des méthodes pédagogiques qui permettraient à tous d’étudier au meilleur niveau.
                Le terme de sélection me semble donc inadapté pour les pays socialistes.

              • Spartacus Lequidam Spartacus 1er février 2018 17:50

                @totrob

                Nous travaillons à 57% pour l’état.
                Nous n’avons plus que 43% de ce que l’on gagne de libre...
                Nous sommes en plein socialisme.....


              • lejules lejules 31 janvier 2018 14:53

                deux systèmes s’opposent le système anglo saxon ou l’économique domine le politique et un systeme a la française ou le politique domine l’économie De Gaulle disait « la politique ne se fait pas a la corbeille » ( a la bourse)

                or il se trouve que dans la guerre commerciale et économique la conception française a perdu. malheur aux vaincu ! c’est nul ce que font les français y a plus qu’a les bouffer.on saura quoi faire de leur enseignement et de leurs sociétés ( alstom, mital EDF poste service public éducation nationale et autre )
                maintenant le choix est simple ou entrer en résistance ou collaboré comme macron véritable fils de Pétain et de la commandanture européenne au service de la haute finance d’extreme droite et de l’empire.  

                • lloreen 31 janvier 2018 15:32

                  @lejules
                  « or il se trouve que dans la guerre commerciale et économique la conception française a perdu »

                  Je ne partage pas votre avis parce que de plus en plus d’initiatives prouvent amplement le contraire.

                  Pour éviter que cela se sache et que les gens se détournent du consumérisme qui continue ses ravages (paupérisation, précarisation, fin de la classe moyenne, injustices criantes, augmentation de la criminalité, pollution exponentielle, surmortalité due aux maladies dégénératives, allergies, ,...) la propagande bat son plein. Aucun salarié n’a à gagner à ce que la marchandisation du vivant se poursuive et cela commence à se savoir.

                  L’initiative des incroyables comestibles est née en Grande-Bretagne et se propage partout.
                  http://lesincroyablescomestibles.fr/france/

                  Le modèle coopératif prend de l’ampleur.
                  https://www.lesoleil.com/affaires/le-modele-cooperatif-une-voie-davenir-pour-la-jeunesse-baf4f8bef77031400dbcd9c88f20e86f

                  Ceux qui ont d’ores et déjà perdu, même s’ils se battent encore avec la seule énergie qui leur reste, celle du désespoir ; vont disparaître les uns après les autres...Comme ce sont des parasites, ils ont besoin de leurs fausses croyances qui ne prennent d’ailleurs plus non plus parce qu’aucun jeune ne veut trimer comme un esclave pour gagner trois francs six sous pour engraisser des escrocs.


                • Christian Labrune Christian Labrune 31 janvier 2018 17:26

                  Ces “réformes” qui n’en sont pas – faut il rappeler que l’idée moderne d’instituer la sélection à l’Université était déjà au cœur des la colère étudiante en mai 1968 il y a tout juste cinquante ans ou il y a trente ans contre les lois Devaquet ?
                  ...................................................................... ...........
                  à l’auteur,

                  C’est précisément parce qu’il est devenu à la mode, après 68, de tonner contre la sélection, que l’école actuelle est détruite, qu’on peut désormais être titulaire d’un baccalauréat et parfaitement illettré. Il y a dix ans, je corrigeais encore les copies du bac. J’en aurai corrigé des milliers et je sais donc très bien de quoi je parle. Je doute qu’au cours de ces dix dernières années le niveau ait pu beaucoup monter.

                  Je n’ai pas lu les projets de réforme actuels, je n’ai aucune confiance dans ce gouvernement, mais les discours du ministre de l’Instruction publique m’avaient quand même paru moins stupides que ceux de ses prédécesseurs. S’il compte rétablir le principe de la sélection, cela ne suffira pas pour reconstruire le système, mais c’est quand même par là qu’il faut commencer.

                  Quand un étudiant sait qu’on ne lui délivrera pas le diplôme qu’il convoite s’il n’a pas les connaissances requises, il travaille autant qu’il le peut. Depuis pas mal d’années dans les lycées, celui qui fait réellement des efforts pour s’instruire passe pour un imbécile aux yeux de ses condisciples fainéants : pourquoi se fatiguer quand l’obtention du baccalauréat est presque devenue un droit ?

                  Si on ne veut pas reconstruire un système d’instruction publique digne de ce nom, il n’y a plus qu’à modifier de la manière suivante le premier article de la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen : " Les hommes naissent et demeurent libres et égaux en droits, ET BACHELIERS (*). Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l’utilité commune."

                  (*) Bacheliers pour commencer, mais comme on n’arrête pas le progrès, on pourrait tout aussi bien considérer, au nom du principe d’égalité, qu’ils naissent tous munis d’un doctorat. Auquel cas, les parents feront inscrire sur le registre d’état civil la spécialité de leur rejeton. Docteur en médecine, par exemple, ou bien ingénieur des Ponts et Chaussées. Il vaudra mieux, évidemment, renoncer à être malade et aussi à passer sous les ponts.


                  • lloreen 31 janvier 2018 18:33

                    @Christian Labrune
                    « au nom du principe d’égalité » on considère que chaque être humain a la même valeur intrinsèque, celle-ci ne se mesurant pas en monnaie sonnante et trébuchante ou aux poids de ses diplômes qui font pencher le plateau de la balance dans un sens ou dans l’autre mais en fonction de ce qu’il peut apporter en fonction de ses qualités individuelles.
                    L’égalité n’est pas l’uniformité.
                    Mais comme ce sont encore toujours des considérations fondées sur une illusion, commençant pourtant peu à peu à se dissiper, qui prévalent et selon lesquelles la valeur d’un individu se mesure au nombre de chiffres inscrits sur un extrait de compte en banque, à l’adresse de sa résidence et/ou celle de sa filiation, forcément, la sélection ne peut qu’être opérée par les pairs en fonction d’un schéma de reproductibilité dépassé.

                    L’égalité est une notion commerciale : 100 kg de plumes = 100 kg de plomb ce qui peut laisser croire à celui qui voit la montagne de plumes par rapport au minable tas de plomb que les plumes sont supérieures au plomb...et il faudra bien un jour-surtout au XXIème siècle !- remettre en question cette gestion stupide consistant à ravaler l’être humain au rang d’une marchandise...et changer radicalement de paradigme dans la mesure où durant des siècles ces principes mercantiles ont défiguré la planète et rendu la vie de ceux qui y habitent de moins en moins digne d’être vécue.

                    On ne sélectionne pas les êtres humains comme on calibre les pommes de terre, les êtres humains ne sont pas des « ressources » et il ne peut être question de « gestion des ressources humaines » .


                  • Christian Labrune Christian Labrune 31 janvier 2018 21:33

                    @lloreen
                    « au nom du principe d’égalité » on considère que chaque être humain a la même valeur intrinsèque, celle-ci ne se mesurant pas en monnaie sonnante et trébuchante ou aux poids de ses diplômes
                    ...................................................................... .....................
                    @lloren
                    Que tous les hommes aient la même valeur et les mêmes droits à une vie décente, cela ne fait aucun doute, mais ce que vous écrivez va précisément contre ce principe. Dans l’école qui a précédé celle que nous connaissons et qui s’est effondrée au milieu des années 80 à cause d’une politique désastreuse voulue par les socialistes, ceux qui venaient des milieux les moins favorisés socialement, s’ils travaillaient, s’ils « s’accrochaient », comme on disait familièrement, avaient à peu près les mêmes chances d’obtenir des diplômes sérieux et valorisants que les enfants de la bourgeoisie parce que, partout, la qualité de l’enseignement était à peu près la même. Ce n’est plus le cas.

                    A partir des années 90, on a commencé à observer que dans les grandes écoles, le pourcentage d’enfants issus des milieux où l’on peine à joindre les deux bouts devenait de plus en plus faible. Le système actuel est désormais celui d’une école à deux vitesses : les bourgeois font tout ce qu’ils peuvent pour envoyer leurs enfants dans les « bons » lycées au centre des villes, où on continue de dispenser un enseignement moins dégradé que celui des banlieues. Il y a aussi de très bons établissements privés, mais cela coûte cher. Ces enfants-là pourront entrer sans difficulté dans les universités ou préparer les grandes écoles. Ils prendront la relève des parents et deviendront les cadres du système économique. En simplifiant un peu grossièrement : il y a désormais une école pour les riches et quelque chose pour les pauvres qui ne mérite plus le nom d’école.

                    Dans les banlieues (j’ai connu le 93) il y a déjà longtemps que, dans les établissements-garderies, l’émulation s’est inversée. L’élève qui travaille est méprisé, c’est un « bouffon ». On attend « d’avoir son bac », mais on peut être en première et n’avoir pas le niveau d’expression écrite qui était requis dans les années 60 pour l’entrée en sixième. Comment enseigner efficacement quelque chose dans des classes où un grand nombre d’élèves n’ont même pas le vocabulaire et les notions élémentaires qui leur permettraient de comprendre les cours des professeurs ? Quand, enfin, on « a » son bac, on peut évidemment entrer à l’université, mais un très grand nombre d’étudiants seront très vite éjectés ou partiront d’eux-mêmes dans les six premiers mois, avec le sentiment d’une profonde injustice. Ils se rendent compte alors que le diplôme qu’on leur a généreusement bradé vaut à peu près ce que vaut la fausse monnaie. Ils se seront sentis bien aise d’être trompés sur leur niveau réel durant leurs études au lycée, mais d’un seul coup, ils ne peuvent plus se raconter les belles histoires que s’inventait leur paresse. Le choc est rude.

                    Dans le monde professionnel, la belle notion d’égalité n’aura jamais le même sens que dans la déclaration des droits de l’homme. On est compétent ou on ne l’est pas, et cela se voit immédiatement. Même si la chirurgie cardiaque ressemble un peu à la plomberie, il n’y a personne qui, ayant le choix entre un chirurgien compétent et bien formé et un plombier, préfèrerait se faire réparer la tuyauterie par un spécialiste de la robinetterie des salles de bains.
                    Sur le plan politique, le citoyen plombier et le citoyen chirurgien se valent bien face aux urnes un jour d’élections, mais professionnellement, on ne pourra jamais remplacer l’un par l’autre.

                     


                  • lloreen 1er février 2018 20:07

                    @Christian Labrune
                    «  il y a désormais une école pour les riches et quelque chose pour les pauvres qui ne mérite plus le nom d’école. »

                    J’ai bien compris votre démonstration concernant l’école des riches et des pauvres mais n’estimez-vous pas que c’est la conséquence logique d’une société de riches et de pauvres ? Tant que le problème n’est pas traité à la racine, le fait de disserter stérilement sur la richesse et la pauvreté ne résoudra jamais aucun problème.


                  • Christian Labrune Christian Labrune 1er février 2018 21:36

                    J’ai bien compris votre démonstration concernant l’école des riches et des pauvres mais n’estimez-vous pas que c’est la conséquence logique d’une société de riches et de pauvres ?
                    ...................................................................... ...............
                    @lloreen
                    Il y a toujours eu des riches et des pauvres. La fonction de l’école, jusqu’en 68, aura été de permettre encore une certaine ascension sociale qui s’était faite souvent sur deux générations sous la troisième république : un enfant de paysan ou d’ouvrier devenait instituteur ou institutrice ; à la génération suivante, on entrait à l’université ou même, on préparait les grandes écoles.

                    C’est ce qu’on appelait l’ascenseur social. Il aura été démoli dans les années 80. Il y a et il y aura toujours des exceptions, mais les statistiques font aisément apparaître que si on est né pauvre aujourd’hui, on a beaucoup plus de chances de le rester qu’il y a cinquante ans. Parce qu’on aura fréquenté les écoles pour les pauvres d’un quartier de banlieue, parce qu’on n’aura jamais les compétences nécessaires pour mener à bien des études supérieures, et les faux diplômes généreusement distribués par le système actuel n’y changeront pas grand chose.

                    Dans les classes sociales un peu privilégiées, on sait bien désormais qu’en dehors des grandes écoles où une sélection sévère s’opère dès l’entrée, il n’y a point de salut.


                  • Nicki 31 janvier 2018 18:00

                    Non à la sélection !!!! Ca me fait bien rigoler , elle y est déjà la sélection mais comme ce n’est pas politiquement correcte alors on entasse par exemple plus de 1500 personnes dans différents amphis avec retransmission en « direct live » !!! pour environ 200-300 places disponibles en études médicales. Et là par contre pas de souci, ce n’est pas grave les récalés iront soit doubler avec encore des chances très limitées ou iront dans d’autres filières qui finalement ne les intéressent pas tant que ça. Sinon on a aussi les facs où on rentre à 200 en 1ère année et où il en reste même pas la moitié au bout de 3- 4ans . Mais tout va bien car NON NON NON la sélection c’est TRES TRES TRES PAS BIEN. Alors combien de temps on va encore se cacher les yeux, se voiler la face ? Il faut agir en amont, orienter , présenter les métiers et oui arrêter d’empiler les étudiants dans des filières où 1/10 sera reçu, par ce que oui pour la plupart de ceux qui finissent le bac avec 10/20 n’ont aucune chance de passer. Mais ça bien sur c’est inentendable pour la plupart ....
                    Le bac quant à lui ne sert qu’à une chose : préparer vaguement les élèves à un véritable examen mais vu le niveau demandé, beaucoup se prennent une méga baffe l’année d’après. Par contre je reste dubitatif sur sa nouvelle formule et pour le coup j’ai bien peur que cela renforce les inégalités et on perdra également le caractère examen
                    En conclusion OUI je suis pour la sélection de manière raisonnée : on fixe un nombre de place max et iront ceux qui auront le meilleur dossier.


                    • Louise Louise 31 janvier 2018 20:36

                      Au moment de l’embauche, il y aura forcément une sélection. Il sera un peu tard pour la refuser... A quel titre d’ailleurs ?

                      Malheureusement le travail n’est plus considéré comme une valeur ; alors on cherche d’autres arguments bidons.

                      •  C BARRATIER C BARRATIER 31 janvier 2018 22:13

                        quel cirque pour faire evoluer un diplome mort depuis longtemps. Tout le monde ou presque a un prétendu bac. Parce qu’il est donné. il y a des pourcentages effarants, des jeunes qui ne fichent rien, souvent en greve ou manif, ont finalement un bac donné par des profs en connivence. le niveau BEP est devenu bac professionnel, et permet de postuler dans les classes pst bac
                        C’est bien pour obtenir des bourses, c’est bien pour ne pas aller au boulot. Les innombtables options multiplient le nombre d’enseignants qui vont payer leur cotisation syndicale, surtout si des menaces économiques par suppressions de formations qui n’ont pas d’autre utilité que d’employer des profs...de profilent, ce qui est le cas. A l’état de payer avec de l’argent qu’il n’a pas et qu’il emprunte.
                        Un pays en decadence, nos voisins mondiaux font mieux, nous allons vers le sous developement.


                        • Jean Keim Jean Keim 1er février 2018 07:39

                          Il y a belle lurette que ce n’est plus l’école qui forme des personnes saines d’esprit.


                          • BOBW BOBW 1er février 2018 18:40

                            @Jean Keim
                             : Surtout pas  l’E.N.A ! smiley


                          • Jean Keim Jean Keim 1er février 2018 18:56

                            E.N.A... E.N.A., c’est quoi déjà à oui ça-y-est ça me revient, c’est l’École Nationale des Apparatchics.


                            • lloreen 1er février 2018 20:22

                              Le problème en un mot est celui d’une société totalement malade d’une illusion qui gangréné absolument tout.
                              Je suis consternée de constater que des notions telles que « ressources humaines » , ou encore « gestion des ressources humaines » de la part de personnages dont on se demande s’ils ont été trépanés, s’adresser à des individus en chair et en os comme s’ils étaient des paquets à expédier on ne sait trop comment ni où sans comprendre que lorsque les relations humaines sont dégradées à ce point de quasi non-retour, on ne peut pas résumer le problème à une école de riches et de pauvres.

                              La richesse n’est certainement pas mesurable au nombre de zéros sur un compte en banques, à l cylindrée du véhicule. Il semblerait même que plus le compte est fourni plus l’individu devient asocial par peur de la concurrence ou par peur de perdre un statut, même usurpé.

                              La solution est un monde sans argent - qui est d’ailleurs une illusion dans la mesure où la monnaie de singe qui s’échange actuellement n’est rien d’autre qu’une monnaie-dette, qui pourrit les relations entre les individus et dans lequel la seule valeur est l’être humain. Tout cela est expliqué en lien.
                              https://www.youtube.com/watch?v=PzAOtNDz3zM


                              • lloreen 1er février 2018 20:27

                                pardon : a gangréné


                                • viddox 7 mars 2018 08:28

                                  Casser l’éducation française est leur objectif afin que nous ne fabriquions plus d’ingénieur ou de technicien compétent qui puisse sauver la France.

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