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Les commentaires de Luniterre



  • Luniterre Luniterre 11 avril 2023 11:38

    @lecoindubonsens

    Il n’y a pas d’indépendance nationale sans indépendance économique.

    Idem pour la démocratie : il n’y a pas de démocratie sans indépendance nationale, et donc sans indépendance économique.

    Il faut donc s’en donner les moyens et pour cela ne pas se voiler la face, précisément face aux réalités économiques et donc déjà face aux chiffres réellement connus et accessibles qui permettent de faire le point de la situation et de l’analyser.

    La situation de dépendance actuelle de la France vis à vis de sa dette banco-centralisée, ce n’est pas une « interprétation » mais un simple constat.

    Commencer par faire ce constat est simplement le début d’une analyse lucide, dont il reste à tirer toutes les conséquences.

    Dans les articles listés en lien à la suite de l’article, il y a déjà quelques pistes de réflexion, basées également sur d’autres éléments d’analyse, complémentaires.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 22:11

    @Durand

    Ce qui est sensiblement une autre façon de dire la même chose !

    La planète s’en fiche, certes, mais surtout question gestion des ressources, les humains n’ont pas trop intérêt à se ficher d’elle... !

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 20:43

    @Durand

    L’article est intéressant, mais il semble dater, quant à son fond, de 2015-2016, et depuis, le monde a « encaissé » la dite « crise du covid » qui a surtout eu pour effet un retour massif et brutal de la pauvreté extrême dans pas mal de pays où elle commençait à s’estomper un peu, même si lentement, depuis des années.

    Donc, parler de « sobriété heureuse » est en réalité un discours complètement décalé pour des milliards d’êtres humains qui n’ont pas encore, et même, encore moins, accès à un niveau de vie simplement décent.

    Alors que dans le même temps la fortune des « élites » ultra-minoritaires a trouvé le moyen ce croître exponentiellement… Croissance de fortune qui ne correspond précisément, comme expliqué dans mon bref article, à aucun développement économique et social réel, contrairement à la période des « trente glorieuses », par exemple, qui n’est pourtant pas forcément un modèle non plus, et de toute façon, non reproductible, pour bien des raisons qu’on ne peut résumer dans un post.

    L’égalitarisme absolu est non seulement une utopie, mais aussi une absurdité, eut égard, effectivement, aux lois basiques de la nature, mais un effort collectif visant à éradiquer à la fois le parasitisme de la pseudo-« élite » et la misère extrême de certaines populations, c’est bien ce qui doit motiver la recherche d’un nouvel équilibre entre l’humanité et la planète.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 20:06

    @lecoindubonsens

    Comme je vous l’ai déjà dit et facilement démontré, les chiffres de mon article sont simplement les chiffres les plus officiels qui soient, même s’ils n’expliquent pas la distorsion en pourcentage entre le chiffre gouvernemental et le chiffre INSEE auquel il est sensé se référer, concernant la dette publique en rapport du PIB. Point barre !

    Vous pouvez choisir de ne pas regarder cette réalité en face : c’est manifestement votre choix, comme celui de la plupart de nos concitoyens, jusqu’au jour où ils se réveilleront, malheureusement trop tard, je le crains donc !!!

    Pour le reste, je trouve que le point de vue de Pierre De Gaulle est également intéressant, même s’il semble effectivement se référer à des données que je ne possède pas, et qui ne sont pas concordantes avec les données officielles citées dans mon article. Dont acte ! Cette citation est la transcription d’une interview et il a pu éventuellement faire un raccourci involontaire entre PIB brut et recettes fiscales correspondantes concernant la durée de remboursement des intérêts, en plus calculés selon lui sur 8000 Milliards, et non sur 3000.

    Le mieux serait de lui demander des éclaircissements, si l’occasion s’en trouve.

    En tout cas, il prône un retour à l’indépendance économique et politique de la France, et c’est déjà le point essentiel, même si, effectivement, cela exige une grande rigueur en gestion économique. De toute façon, même s’il peut possiblement jouer un rôle important pour ce retour à l’indépendance, il ne pourra pas y arriver seul. Pas plus qu’à l’époque de son grand-père, il n’y a d’ « homme providentiel ».

    La triste fin du Général le démontre, historiquement, même si avec des conséquences malheureuses, et qui n’ont fait qu’empirer depuis, que ce soit sous la droite ou sous la gauche !

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 17:29

    @lecoindubonsens

    (Suite)

    Un autre point de vue sur la dette publique française, celui du petit-fils du Général De Gaulle, Pierre De Gaulle, conseiller en stratégie et finance d’entreprises, et qui sait donc de quoi il parle :

    « Quand vous regardez, l’endettement de la France est presque 3000 milliards. Alors évidemment on ne vous parle pas de l’endettement de la France hors bilan, c’est à dire les garanties d’État sur les retraites des fonctionnaires, le coût de démantèlement des centrales nucléaires d’EDF. La dette hors bilan est le 5000 milliards, donc ça veut dire que la dette française est de 8000 milliards, ça veut dire que la France est placée en situation de dépendance également en termes économiques et financier vis-à-vis des marchés.

    Vous savez que la dette, elle est cotée sur les marchés. Les taux d’intérêt évoluent en fonction de ce que les investisseurs croient de solidité, de liquidités, de crédibilité de l’État français et bien lorsque les taux étaient bas je rappelle qu’en 2021 le taux moyen d’endettement de la France est environ 1,13%. On passe à 3% aujourd’hui. En 2021 il fallait 8 mois de produit intérieur brut français pour payer seulement les intérêts.

    Lorsque les taux vont être multipliés, ils sont multipliés par trois actuellement et vont évidemment augmenter, nous sommes en situation d’incapacité de payer seulement les intérêts de la dette.

    Voilà là où nous en sommes arrivés aujourd’hui. Alors vous disiez tout à l’heure mais les grands gagnants de cette crise sont les Américains… »

    Avec Pierre De Gaulle, « Stop au suicide Français et Européen ! »

    http://cieldefrance.eklablog.com/avec-pierre-de-gaulle-stop-au-suicide-francais-et-europeen-a213744117

    Son évaluation et son point de vue sont donc encore largement plus pessimistes que mon article !

    Ceci-dit, je pense qu’il a raison de tenter d’alarmer le public sur cette situation. Il a en quelque sorte, pour l’instant, un rôle de « lanceur d’alerte »…

    Reste à lui trouver un écho suffisant pour que s’ébauche une solution populaire alternative.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 16:11

    BUG !!!

    Le message n’apparaissant pas, je l’ai donc renvoyé une seconde fois !

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 16:09

    @lecoindubonsens

    (Suite)

    Sinon, évidemment, cet article fait simplement un constat qui peut davantage servir d’introduction au sujet du rapport entre dette et productivité, ce qui est davantage développé dans les articles listés en liens à la suite, que de prétendre à être par lui-même une étude exhaustive du sujet, qui nécessiterait carrément un bouquin, en fait.

    Rien que le sujet de savoir qui détient la dette, publique et privée, est un sujet encore plus épineux que de savoir qui détient les actions du CAC 40…

    Du reste, il est manifeste que ce sont en grande partie les mêmes, qui touchent donc le beurre et l’argent du beurre, à savoir, les dividendes et les intérêts des dettes !

    Concernant la dette publique il y a maintenant, depuis le « Quantitative Easing », intervention massive des Banques Centrales sur les marchés secondaires, ce qui renforce évidemment la dépendance des Etats aux politiques monétaires des Banques Centrales, mais aussi la dépendance des marchés financiers, alimentés en liquidités par ce circuit de « revente » via l’intermédiaire des banques d’affaires « classiques », etc…

    En fin de compte, l’ensemble de la sphère économique, politique et financière est littéralement « suspendue » aux moindres décisions des Banques Centrales !

    C’est pourquoi il est cohérent de parler, désormais, de banco-centralisme, plutôt que de capitalisme, même s’il n’a formellement pas encore tout à fait disparu.

    L’essentiel du chemin en ce sens a été fait en 2008 et en 2020, et on ne voit pas qu’il y ait une alternative, du moins, pas en Occident, ni au Japon, ni même en Chine, plutôt à l’avant-garde, également, en matière de banco-centralisme.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 16:07

    @lecoindubonsens

    (Suite)

    Sinon, évidemment, cet article fait simplement un constat qui peut davantage servir d’introduction au sujet du rapport entre dette et productivité, ce qui est davantage développé dans les articles listés en liens à la suite, que de prétendre à être par lui-même une étude exhaustive du sujet, qui nécessiterait carrément un bouquin, en fait.

    Rien que le sujet de savoir qui détient la dette, publique et privée, est un sujet encore plus épineux que de savoir qui détient les actions du CAC 40…

    Du reste, il est manifeste que ce sont en grande partie les mêmes, qui touchent donc le beurre et l’argent du beurre, à savoir, les dividendes et les intérêts des dettes !

    Concernant la dette publique il y a maintenant, depuis le « Quantitative Easing », intervention massive des Banques Centrales sur les marchés secondaires, ce qui renforce évidemment la dépendance des Etats aux politiques monétaires des Banques Centrales, mais aussi la dépendance des marchés financiers, alimentés en liquidités par ce circuit de « revente » via l’intermédiaire des banques d’affaires « classiques », etc…

    En fin de compte, l’ensemble de la sphère économique, politique et financière est littéralement « suspendue » aux moindres décisions des Banques Centrales !

    C’est pourquoi il est cohérent de parler, désormais, de banco-centralisme, plutôt que de capitalisme, même s’il n’a formellement pas encore tout à fait disparu.

    L’essentiel du chemin en ce sens a été fait en 2008 et en 2020, et on ne voit pas qu’il y ait une alternative, du moins, pas en Occident, ni au Japon, ni même en Chine, plutôt à l’avant-garde, également, en matière de banco-centralisme.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 15:37

    @lecoindubonsens

    Je ne « gonfle » évidemment pas la dette !!!

    Je me base au contraire sur les chiffres officiels les plus « autorisés », au risque, au contraire de « minimiser », par rapport à la réalité concrète.

    Du moins, les chiffres cités sont donc incontestables, du point de vue du système lui-même.

    Même s’ils font apparaître une « distorsion » pour le moins « étrange » entre les chiffres trouvés sur le site de l’INSEE et le « résultat en pourcentage » concernant la dette publique « officielle ».

    Inexplicable, jusqu’à preuve du contraire…

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 14:36

    @bouffon(s) du roi

    Merci pour cet article, effectivement intéressant.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 10 avril 2023 14:33

    @Spartacus Lequidam

    Réponse du quidam quelconque qui n’a manifestement pas lu l’article !



  • Luniterre Luniterre 3 avril 2023 14:35

    @Spartacus Lequidam

    Pour justifier votre « thèse » vous inversez les causes et les effets !

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Loi_Hawley-Smoot

    Luniterre







  • Luniterre Luniterre 2 avril 2023 11:55

    Reprenant les questions évoquées dans le débat en commentaires, la « suite » de cet article, initialement publiée sur Ciel de France, est désormais également republiée sur Agoravox, sous le titre :

    Dans la France vassalisée que devient la relation entre monnaie et crédit, et peut-on sortir de la soumission ?

    https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/dans-la-france-vassalisee-que-247642

    …Avec en commentaires un nouveau débat utile sur la différence entre spéculation et investissement productif… !

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 2 avril 2023 11:39

    https://www.geo.fr/histoire/la-crise-de-1929-resumee-en-5-dates-204208

    Les déséquilibres économiques profonds qui ont provoqué la crise de 1929 ne sont pas nés en un jour. Pour comprendre l’enchaînement des évènements ayant conduit à cet effondrement, il faut remonter à la fin de la Première Guerre mondiale. Au lendemain du conflit, les États-Unis connaissent une période de prospérité exceptionnelle et deviennent la première puissance mondiale. Le capitalisme se développe à une vitesse vertigineuse, la production industrielle augmente. Pendant les Roaring Twenties, les secteurs de l’automobile, de l’aéronautique et du divertissement explosent. New York est le visage de cette modernité insolente. Les banques prêtent, les entrepreneurs investissent et dépensent. Une bulle se forme peu à peu, dont l’explosion dix ans plus tard changera le monde.

    1926 : le début du call loan

    L’année 1926 est capitale pour comprendre les évènements de 1929. C’est à cette date qu’est mis en place aux États-Unis ce qu’on appelle le « call loan ». Un système qui offre la possibilité aux investisseurs, entreprises et particuliers d’acheter des actions à crédit. Les ménages américains, même les plus modestes, investissent leurs économies avec la promesse de s’enrichir. Les entreprises elles aussi vont spéculer et s’endetter au lieu d’investir. Tous espèrent rembourser leurs prêts en comptant sur une hypothétique valorisation à venir. Les boursicoteurs sont de plus en plus nombreux et les cours augmentent. On assiste à un véritable boom spéculatif, totalement déconnecté des réalités économiques.

    Avril 1928 : l’avertissement de Charles Merrill

    La valeur réelle des entreprises étant surestimée par ces spéculations, le prix de vente des titres est alors biaisé. Un homme va alors tirer la sonnette d’alarme. Charles Merrill est, avec Edmund C. Lynch le fondateur de la banque d’investissement américaine Merrill Lynch (anciennement appelée Charles E. Merrill & Co). Dès 1928, le cabinet de Charles Merrill envoie une note dans laquelle il appelle à calmer le jeu. "Sans que cela constitue une recommandation de vente, le moment est opportun de se libérer de ses crédits", intime-t-il. Une recommandation qui n’a aucun écho.

    24 octobre 1929 : le jeudi noir

    En 1929, 4/5 des actions sont achetées à crédit. Jusqu’à l’été, le prix de certaines actions continuent d’augmenter, mais à partir de septembre le marché connaît un essoufflement. Sont alors révélées publiquement les malversations de Clarence Hatry, l’exploitant du brevet Photomaton. On apprend que l’homme d’affaires a spéculé sur le titre de sa propre entreprise, empruntant des sommes colossales et n’hésitant pas à utiliser de faux documents. Photomaton est le visage de ces entreprises dont la valeur a été faussement gonflée.

    La panique commence alors à s’emparer des marchés et le jeudi 24 octobre, tout le monde veut vendre ses titres. 13 millions d’actions sont échangées à Wall Street. Les cours s’effondrent, les titres ne trouvent pas d’acquéreur et à midi, le Dow Jones accuse une baisse de 22,6 %. On parle déjà de plusieurs suicides parmi les spéculateurs qui ont tout perdu. La banque J.P. Morgan et d’autres établissements bancaires rachètent massivement des titres et si le cours de certaines actions remontent en clôture de séance, la chute apparaît désormais inévitable. Personne toutefois n’anticipe à cet instant le retentissement de cette crise financière qui va peu à peu gagner le monde entier.

    29 octobre 1929 : la crise de 1929 se confirme lors du Black Tuesday

    Mardi 29 octobre, ce sont près de seize millions de titres qui sont vendus et l’indice Dow Jones perds 12 %. Le Krack boursier du jeudi précédent se confirme. La production industrielle s’effondre de plus de moitié en trois ans, le taux de chômage passe de 3 % à 24 %, 23.000 entreprises qui avaient investi en Bourse font faillite en 1929, elles sont 30.000 en 1931. Le krach de 1929 aux Etats-Unis marque le début de la Grande Dépression, entraînant bientôt l’Europe dans son sillage, jusqu’à la Seconde Guerre mondiale.



  • Luniterre Luniterre 2 avril 2023 11:37

    Bonjour à tous,

    Cette polémique avec Spartacus Lequidam est intéressante si elle nous aide à progresser dans la compréhension de ce qu’est la spéculation par rapport à l’investissement productif.

    Un cas typique me semble être l’histoire de la crise de 1929, essentiellement provoquée par le décalage entre valeur spéculative et valeur réelle des actions d’une économie par ailleurs en pleine expansion, mais qui se trouve brutalement plongée dans la récession du fait des spéculateurs.

    Le mécanisme de cette spéculation (« call loans ») reposait, pour l’essentiel, sur la possibilité d’acheter des actions « à crédit » en escomptant que l’augmentation de leur valeur sur le marché boursier couvrirait à la fois le prix d’achat, les intérêts du crédit et laisserait en plus une prise de bénéfice substantielle. De quoi gonfler, typiquement, une bulle spéculative… On connaît la suite…

    Je la trouve au mieux expliquée et résumée dans un excellent article de Géo, dont je reproduis l’essentiel dans le post suivant, avec son lien.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 1er avril 2023 18:49

    @sylvain

    Le mieux serait donc que vous proposiez en modération un article résumant cette théorie.

    Luniterre



  • Luniterre Luniterre 1er avril 2023 15:08

    @pipiou

    Ce qui s’appelle un préjugé !



  • Luniterre Luniterre 1er avril 2023 15:07

    @sylvain

    Cette “Théorie relative de la monnaie”, fort nébuleuse dans sa présentation, oubliant manifestement que ce qui se conçoit bien s’énonce clairement, semble aboutir, in fine, à un système « revenu universel », rebaptisé « dividende universel »…

    La nuance peut mériter qu’on approfondisse, mais d’ici là, il me semble également que l’essentiel vous échappe dans la critique du banco-centralisme actuel :

    Dans la mesure où la Banque de France redeviendra véritablement la Banque Centrale de France, en toute propriété de l’Etat républicain français et placée sous le contrôle démocratique du peuple de France, via une institution représentative appropriée, la monnaie est donc crée en fonction des besoins sociaux et économiques réels du pays et il n’y a donc plus de dépendance, vu que l’Etat, dans cette configuration, se « prête » à lui-même. L’ « intérêt » se réduisant aux frais de gestion.

    C’est le contrôle démocratique de la gestion qui assure, dans ce cas, l’équilibre entre les crédits et leurs destinations utiles.

    In fine, c’est la mobilisation des consciences citoyennes qui reste déterminante, dans l’efficacité de la gestion. Le but de la Résistance doit donc être en tout premier de lui donner les moyens de s’exprimer !

    Luniterre