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Les commentaires de vida18



  • vida18 24 avril 2020 10:15

    Pour cela il faut les supporter. Je me souviens d’avoir acheté des masques de protection à la pharmacie il y a quelques mois. J’ai une sinusite chronique. Et j’espérais protéger mes parents en le portant en leur présence. L’intention était bonne…

    Mais avec le recul, avec tout ce qu’on apprend ces jours-ci sur le port du masque, je réalise que ce n’était pas la meilleure idée du monde. Pourquoi ?

    Parce que ce satané masque était tellement… inconfortable. Je passais mon temps à me toucher le visage pour le replacer, le retirer à moitié, le remettre… J’avais toujours l’impression d’étouffer. Avez-vous déjà essayé de respirer, le nez bouché, avec un masque vissé sur le visage ? Mission impossible.

    C’est comme tenter de respirer sous l’eau.



  • vida18 14 avril 2019 12:38

    @Eric F
    Il serait possible de faire comme en Irlande avec des députés élus selon le vote unique transférable. Chaque parti proposer un certains nombre de candidats selon la taille de la circonscription (2 ou 3 pour les plus petites, 5 ou 6 pour les plus grandes). Il y a aussi la possibilité de se présenter en candidat indépendant. Ensuite lors de l’élection, on classe ses candidats dans l’ordre préférentiel (on met un 1 devant son premier choix, un 2 pour le deuxième...).

    https://www.youtube.com/watch?v=bLH_w5kHJpA



  • vida18 14 avril 2019 12:31

    Perso le scrutin à la proportionnelle me pose problème. En effet, il oblige à être inféodé à un parti. Hors il arrive régulièrement dans notre mode de scrutin qu’on vote pour un parti très différent ou pour un candidat indépendant. Exemple pour les élections municipales en 2008, j’ai voté pour le candidat MoDem car je trouvais que le maire, PCF ne faisait pas un bon travail en tant que maire. Mais ce ne m’a pas empêché de voter pour lui quand il s’est représenté en tant que député (il était déjà député-maire) car il avait de bonnes idées. Cela ne l’a pas empêché d’être battu au second tour.



  • vida18 7 décembre 2015 11:57

    @COVADONGA722

    Et vous non plus puisque je le répète encore, malgré mon commentaire. La politique d’immigration n’était pas inclue dans les textes proposés dans le référendum. Il s’agissait de la participation du Danemark à Europol qui verra à partir de l’année prochaine, ses pouvoirs renforcées.

    J’avoue tout de même que les politiciens danois devraient prendre leurs responsabilités et organiser un référendum sur une sortie de leur pays de l’UE.

    http://www.europarl.europa.eu/news/fr/news-room/content/20151130IPR05456/html/Europol-accord-sur-de-nouveaux-pouvoirs-pour-renforcer-la-coop%C3%A9ration-polici%C3%A8re



  • vida18 6 décembre 2015 18:55

    Ce n’est pas l’envie de moins de coopération policière ou de coordination des pensions alimentaires et des successions qui ont mené au « non », mais bien la détestation viscérale de la migration (un « oui » au référendum n’aurait toutefois rien changé sur ce point). La majorité des électeurs danois ne veut simplement surtout pas participer à une coordination en matière d’asile. Par ailleurs, le référendum danois montre justement les limites des consultations directes. D’une part, dès que le sujet est un peu technique la plupart des électeurs peine à saisir les enjeux, même s’ils peuvent être très importants. Le politicien réducteur et sans vision part toujours avec un net avantage. D’autre part, la démocratie directe trop peu encadrée peut facilement amener à une tyrannie du même groupe électoral majoritaire, ce qui est le pire des régimes autoritaires.



  • vida18 20 juillet 2014 11:34

    Peut-être qu’on devrait s’inspirer de l’Allemagne et laisser aux Français le choix entre une Sécurité Sociale publique et unique (beaucoup de pays qui ont choisit de n’avoir qu’une assurance maladie publique n’ont que trois régimes : les salariés/ les indépendants et professions libérales/ les professions agricoles) et des assurances maladie privées.



  • vida18 24 mai 2014 10:41

    Ce que beaucoup de Français oublie, c’est qu’en France les référendums ont un caractère purement consultatif et ne sont pas aussi contraignant que dans d’autres pays comme l’Irlande ou le Danemark.

    En France ce que appelons « référendum » n’est rien d’autre qu’un nouveau nom pour le plébiscite. De même en 1992, L’Assemblée Nationale était majoritairement pro-Maastricht et il aurait suffit d’un simple vote parlementaire. Croyez-vous vraiment que François Mitterrand se serait risqué de faire un référendum si il n’avait pas cru mal conseillé par Rocard de faire beaucoup mieux que le minuscule 51%. Personnelement j’aurais aimé voir sa tête quand il s’est aperçu que les villes qui ont massivement contre le traité (entre 53 et 57%) était de gauche.



  • vida18 22 février 2014 09:54

    C’est possible mais il faudrait s’inspirer du système québecois où la RAMQ est financée par les impôts et non par les cotisations.



  • vida18 22 février 2014 09:52

    C’est possible mais il faudrait s’inspirer du système québecois où la RAMQ (la Régie d’Assurance Maladie du Québec) est financée par les impôts et non par les cotisations.



  • vida18 26 janvier 2014 10:31
    Anglais vachement facile, français horriblement difficile, ce sont les clichés tenaces. Est-ce vrai ? D’un côté, plus la langue ressemble à la langue maternelle d’un « apprenant », plus elle est perçue comme facile. Mais il y a des critères objectifs à considérer.

    1. Alphabet.

    Anglais : non phonétique, 20 voyelles, 46 phonèmes, 1120 graphèmes. Français : non phonétique, 16 voyelles, 36 phonèmes, 190 graphèmes.

    2. Prononciation.

    Anglais : chaotique, insaisissable ; impossibilité de fixer une norme, les règles existent, mais les exceptions sont trop nombreuses pour pouvoir lire des mots inconnus.

    Français : chaotique, règles existent avec quelques exceptions, il est possible de lire des mots inconnus pour la plupart des cas.

    3. Accent tonique.

    Anglais : indéfinissable, fixé par l’usage ; aucune norme ne peut être établie. Français : fixe, sur la dernière syllabe.

    4. Verbes irréguliers.

    Anglais : 283. Français : 81.

    4. Identification de la fonction grammaticale.

    Anglais : très confuse, le même mot pouvant être un nom, un verbe, un adjectif, un adverbe...

    Français : plus claire ; il existe des mots faisant office à la fois d’un nom et d’un adjectif, mais les verbes et les adverbes sont identifiables.

    5. Syntaxe.

    Anglais : ordre des mots rigide, la moindre inversion change le sens.

    Français : ordre des mots fixe, mais l’inversion est possible, le sens n’est pas altéré (une jolie maison - une maison jolie).

    C’est vrai que les verbes français, c’est pas de la tarte, mais l’anglais est-il mieux ? Présent simple, présent progressif, preterit simple, preterit progressif, présent perfect simple, présent perfect progressif, past perfect simple, futur simple, past future, conditionnel présent, futur proche, passé exprimant une habitude... Si on se souvient que plusieurs temps français ne sont pour ainsi dire jamais utilisés... disons, ex æquo pour l’anglais et le français de ce point de vue.

    Ça fait 5 points en faveur du français plus facile que l’anglais smiley



  • vida18 14 décembre 2013 09:46

    D’ailleurs je conseille à beaucoup de voir les sites internet de Claude Reichman et celui-ci.



  • vida18 14 décembre 2013 09:29

    Vu le merdier qu’est le RSI, pas étonnant que certains préfèrent se tourner vers des assurances-maladie privées comme Amariz qui sont beaucoup moins chers et avec en prime une protection sociale de meilleure qualité.



  • vida18 16 novembre 2013 14:35

    "Sans parler du fait que le rêve d’Erdogan ce n’est pas juste de rester à la tête du pays pendant 107 ans (révision de la constitution à la clé) mais de restaurer le califat à Istanbul et devenir un « sultan » néo-Ottoman dominant ainsi le Maghreb et le Moyen-Orient !"

    Erdogan ne cache d’ailleurs son admiration pour notre Constitution qui fait notre Président de notre république une monarchie élective avec des pouvoirs tel qu’il aurait fait pâlir d’envie Louis-Philippe 1er et Napoléon III. Ce n’est qu’une question de temps avant le Président de la République de Turquie soit élu au suffrage universel direct.



  • vida18 6 mai 2013 12:58

    Oui il s’agit d’une critique sur la Ve République.



  • vida18 6 mai 2013 11:40

    J’ai mon opinion qui est partagé par pas mal de gens.
    En ce qui concerne les points qui ont été posé posé ici, je dirais que :

    Pour le Président de la République :
    - les Français ne veulent pas d’un président « tout juste bon à inaugurer les chrysanthèmes et encore uniquement les années bissextiles »., comme l’a dit si bien le Général de Gaulle. Si c’est juste pour revenir à un régime parlementaire avec un chef qui sert uniquement de symbole, autant rétablir la monarchie, le comte de Paris saura très bien tenir ce rôle.
    - Les Français ne veulent plus d’un « Président-roi » qui fait la pluie et le beau temps. La Ve République est d’ailleurs très « Louis-Philippard » ou « Napoléonien » puisque Louis-Philippe 1er et Napoléon III avait quasiment autant de pouvoirs que nos cher Président élu. Les Français veulent un régime plus équilibré quitte à faire des réformes comme en Finlande par exemple.

    Pour l’Assemblée Nationale, deux choix :
    - Garder le scrutin majoritaire uninominal à deux tours mais diminuer le nombre de circonscription (par exemple deux circonscriptions pour le Cher (18), c’est amplement suffisant que les trois actuelles qui sont découpés bizarrement je trouve...
    - Fusionner les circonscriptions (un département = une circonscription), Les électeurs seraient appelé pour élire les 3 députés du département. Les 3 premiers arrivés en tête lors du vote serait élus.



  • vida18 8 mars 2013 15:11

    Monarchie absolue non mais il faut admettre que le Président de la République a plus de pouvoirs que les rois de la Restauration (Louis XVIII, Charles X et Louis-Philippe 1er) et l’Empereur Napoléon III en auraient jamais rêvé.

    D’ailleurs Le Président de Gaulle était furieux lorsque certains parlementaire l’avait surnommé « Napoléon IV »ou « Charles XI » mais je trouve qu’ils avaient raison.



  • vida18 5 février 2013 14:31

    Oui mais en contrepartie, ils n’ont aucune décision à prendre dans l’étude et l’évolution des directives en question. Autre problème, un pays de l’AELE membre de l’EEE peut utiliser son droit de véto pour ne pas accepter une directive mais cela bloque la directive en question non pas dans le pays en question mais dans l’ensemble des trois autres pays (exemple la Norvège est contre la directive postale, l’Islande et le Liechtenstein sont pour) ce qui causent certains conflits.



  • vida18 5 février 2013 09:32

    Les États membres de l’EEE non-membres de l’EU (Islande, Liechtenstein et Norvège) ont consenti à adopter une législation similaire à celle passée dans l’Union dans les domaines de politique sociale, de protection du consommateur, d’environnement, de droit des affaires et de statistiques. Ce sont certains des domaines couverts par la Communauté européenne, le premier pilier de l’Union européenne.

    Ces mêmes États ne sont pas représentés au sein des institutions de l’Union européenne tel que la Commission européenne ou le Parlement européen. En février 2001, le Premier Ministre norvégien Jens Stoltenberg décrivait la situation comme une “démocratie faxée”, avec la Norvège qui attendait que sa dernière législation soit faxée depuis la Commission.

    L’EEE ne concerne pas les produits de l’agriculture et de la pêche, la mise en place de tarifs douaniers communs vis-à-vis des pays tiers… Ainsi, même si 80 % de la législation du marché unique de l’Union européenne est reprise dans le cadre de l’EEE, celui-ci n’est pas véritablement un marché unique comme celui qui existe entre les États membres de l’Union européenne.

    L’EEE ne couvre pas tous les domaines d’action de l’Union européenne : la Politique agricole commune, la mise en place de la monnaie unique, la Politique étrangère et de sécurité commune, la coopération policière et judiciaire en matière pénale restent exclues des accords, mais font l’objet de coopérations négociées séparément et qui ne rentrent pas encore dans les attributions de l’EEE.



  • vida18 4 février 2013 19:05

    La Norvège a tenté deux fois d’adhérer à l’UE mais le peuple a rejeté par deux fois de justesse l’adhésion. Idem pour la Suisse avec l’EEE. Toutefois la Norvège est pratiquement membre de l’UE en étant dans l’EEE mais sans droit de décision. Ce qui fait dire à certains que la Norvège est une démocratie photocopieuse.



  • vida18 4 février 2013 12:13

    "Londres ne doit pas oublier que si elle a, comme tous les autre pays de l’Union, le droit de quitter l’Union européenne, chacun de ses (anciens) partenaires européennes a lui aussi le droit de refuser leur retour si dans quelques années l’opinion publique changeait d’avis ou si l’expérience se révélait être un fiasco en terme économique. Comme l’a souligné à juste titre, le Premier ministre britannique, le départ du Royaume-uni serait un billet sans retour."

    Non si l’expérience s’avérait désastreuse, les autres pays membres accueilleraient favorablement une nouvelle demande d’adhésion du Royaume-Uni mais ils se feraient également une joie de leur rire au nez lors des demandes des dérogations.

    Donc obligation d’adopter l’euro, obligation d’adhérer à l’Espace Schengen et enfin finish le rabais britnnique qu’il n’aurait jamais dû obtenir.