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Les commentaires de Christian Delarue



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 20:55

    Il ne s’agit pas de prostitution mais d’exhibition pro. Rien de forcé : nul n’est contraint d’accepter le job. Certaines font cela sans problème d’autres non. Le problème retombe alors sur les conditions de travail. Y-a-t-il un encadrement sérieux sans harcèlement ? Pendant combien de temps faut-il se déshabiller en débitant des gloussements jouissifs ? J’espère que les 35 H hebdo sont un maxi sans heures sup !!!.



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 20:41

    Je me suis amusé un peu...
    Je ne suis pas pour la matraque ! Je suis pour le rapport de force contre les dominants, c’est tout différent. La matraque est policière et les armes à feu sont aux bandits. Moi je lis, j’écris, je parle dans un micro, etc....



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 14:13

    Le « carré républicain » : Liberté, Egalité, Adelphité, Laïcité *
    http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/le-carre-republicain-liberte-64065

    La fraternité renvoie aussi à la tolérance.
    RELIGION TOLERANCE ET LAICITE

    Avec la Révolution française la liberté de conscience est sortie gagnante de siècles d’intolérance. L’intolérance venait de la religion catholique. Elle n’autorisait pas la liberté de conscience. Elle tolérait parfois mais dans un monde d’intolérance. Un peu comme dans certains Etats musulmans aujourd’hui. Les combats ont donc perduré. Il ne faisait toujours pas bon de se déclarer protestant ou athée.

    La tolérance s’est néanmoins affirmée en France et dans d’autres pays. Mais il a fallu aller plus loin que la tolérance pour contenir l’emprise de la religion alors unique et sans concurrence. Les premiers pas de la laïcité furent posés vers 1880. Mais le changement qualitatif ne fût franchi qu’en décembre 1905 . Il se nomme laïcité. La laïcité n’a pas évacué pour autant la question de la tolérance. Elle lui a donné un champ. Dans ce champ de tolérance la bataille continuait. Il faut mesurer ce qu’est la tolérance par rapport à l’intolérance antérieure.

    La liberté de conscience est un droit alors que la tolérance n’est qu’une concession (1). Au tribunal de la conscience aujourd’hui personne ne siège. La religion n’est plus monopolistique pour imposer la bonne façon de penser et de se comporter. Non seulement elle a cédé à la relativisation et au doute radical mais de plus avec la mondialisation on a découvert qu’il y avait plusieurs dieux, plusieurs religions. Chacune dispose de ses rituels de ses gourous (masculins en général). Dans les grandes métropoles, le client en mal de consolation choisit son dieu sur un marché hétéroclite ou les sectes croisent les grandes religions. La tolérance fonctionne comme le blasphème dans la société civile mais pas au sein de l’Etat et de ses appareils . Dans la fonction publique la neutralité s’impose, ce qui annule la fonction de la tolérance comme celle du blasphème.

    La tolérance suppose la concurrence et le conflit entre les opinions donc le rapport de force. Ce n’est pas un long fleuve tranquille. Jean-Paul Sarte a écrit que " Réaliser la tolérance autour d’autrui, c’est faire qu’autrui soit jeter de force dans un monde tolérant. C’est lui ôter par principe ces libres possibilités de résistances courageuses, de persévérance, d’affirmation de soi qu’il eût eu l’occasion de développer dans un monde d’intolérance" (2 ) . Si un monde de tolérance n’est pas nécessairement un long fleuve tranquille - puisque la critique perdure ainsi que le blasphème - il faut bien penser qu’un monde d’intolérance est bien pire encore. Un monde d’intolérance est invivable puisqu’on y traque les mauvaises pensées et les écrits jugés illégitimes par les clercs de la religion. Bien souvent un monde de tolérance pratiquera la distance, la fuite de la rencontre d’autrui  ; le blasphème sera l’exception. A l’opposée, l’idée de laïcité suppose la suspension du conflit des croyances. C’est cette conception de pacification qui a été préconisée pour l’école avec la loi du 15 mars 2004 qui autorise les signes discrets mais pas les signes ostensibles. C’est là une avancée inestimable qui ne saurait être étendu à d’autres champs sociaux ; celui du travail privé qui pourtant pose problème.

    Avec Marcuse (3) certains propos deviendront intolérable. La liberté ne saurait cautionner l’oppression. En ce sens un mouvement de conscience s’est affirmer pendant plusieurs décennies et dans plusieurs pays pour condamner le racisme et le sexisme. D’un pays à l’autre les lois peuvent changer mais il demeure que certaines stigmatisations sont qualifiées de délits et sont sanctionnées pénalement.

    Christian Delarue

    1) Ces quelques lignes prennent ici ou là des propose de Patrick Thierry sur La tolérance, société démocratique, opinions, vices et vertus.
    2) Jean-Paul Sartre in L’être et le néant p 460
    3) Herbert Marcuse in Répressive Tolérance . A critique of pure tolérance

    *RACISME, ANTIRACISME ET TOLERANCE.*
    http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=40412



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 13:57

    disons pour ne pas fâcher « couvrechef porté constamment pour obéir a un précepte religieux » Certains donnent des références dans le Coran, d’autres les contestent mais dans les deux cas la commande est religieuse. Les références ne sont pas mon affaire. Je constate qu’il est porté été comme hiver sans jamais être enlevé. Cette rigidité montre assez une obeissance à un commandement supérieur.

    Il y a surtout l’argument répété de la respectabilité qui est pénible.



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 13:47

    Désolé pour les fautes.
    Je ne me souviens plus de quel parti était BHL. Pas trotskyste, maoiste je crois. Il a pu manier avec Glucksman la dialectique avec habileté, c’est cela que vous contestez. Vous avez raison pour l’un et l’autre car assez rapidement ils se sont mis à défendre bec et ongles l’indéfendable En 75 / 77 ils ouvrent les yeux et changent de camp mais avec la même tournure d’esprit : le campisme. Le succès issu de la navigation soutenue dans le sens du courant a fait le reste...



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 13:32

    Aron ! Respect.



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 12:39

    1977 il devient « nouveau philosophe » mais il épuise son talent et ne cesse de dégénérer. Comment ? Le fait qu’il devienne un « philosophe d’estrade et de plateaux », ( Bensaïd ) n’y est pas pour rien. Il faut ajouter qu’il est rester un stalinien reversé autrement dit un suppot qui a juste changer de camp. Cela est apparue quand il s’est mis à soutenir les pires atrocités perpétrées par les USA. Cet intellectuel déférent " ne perd pas une occasion depuis des années de manifester son respect pour toutes les formes de pouvoir, économiques, politiques et médiatiques, les autorités morales et religieuses, les croyances populaires et même, le cas échéant, les idées reçues. Un chien de garde à chemise blanche ouverte et poitrail velu.



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 12:26

    Trop de suicides, trop de misère, trop d’inégalité, trop de chômage... Le politiquement correct ne fonctionne qu’au profit de ceux d’en-haut - les Respectables - mais pas pour lle peuple . C’est fini ou presque ! La colère monte. Jean ZIEGLER évoque la haine du tiers-monde. Je répercute la haine des quartiers populaires. J’essaie de la canaliser vers des revendications . Mais il faut garder la charge. En-haut, ilsl doivent donc savoir que la matraque est aussi bonne pour eux et pas que pour le peuple ! Suis-je clair ou hypocrite.

    Les leçons de morale de ceux qui veulent karchériser les banlieues sont inopérantes puisqu’il s’agit de retourner le karcher pour les exproprier. Pour qu’ils laissent de la place pour tous, de l’argent pour tous, de la vie pour tous.

    Les mêmes stigmatisent à longueur de temps les habitants des quartiers et ne s’estiment pas coupable quand un dégénéré tire sur des arabes, des noirs ou des musulmans. Point de leçon de morale de ceux qui mènent la guerre des mots, des karchers et des matraques.

    Si le partage ne vient pas on ira le chercher. Vous voilà prévenu !



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 02:15

    RELIGION, TOLERANCE ET LAICITE

    Avec la Révolution française la liberté de conscience est sortie gagnante de siècles d’intolérance. L’intolérance venait de la religion catholique. Elle n’autorisait pas la liberté de conscience. Elle tolérait parfois mais dans un monde d’intolérance. Un peu comme dans certains Etats musulmans aujourd’hui. Les combats ont donc perduré. Il ne faisait toujours pas bon de se déclarer protestant ou athée. La tolérance s’est néanmoins affirmée en France et dans d’autres pays. Mais il a fallu aller plus loin que la tolérance pour contenir l’emprise de la religion alors unique et sans concurrence. Les premiers pas de la laïcité furent posés vers 1880. Mais le changement qualitatif ne fût franchi qu’en décembre 1905 . Il se nomme laïcité. La laïcité n’a pas évacué pour autant la question de la tolérance. Elle lui a donné un champ. Dans ce champ de tolérance la bataille continuait. Il faut mesurer ce qu’est la tolérance par rapport à l’intolérance antérieure.

    La liberté de conscience est un droit alors que la tolérance n’est qu’une concession (1). Au tribunal de la conscience aujourd’hui personne ne siège. La religion n’est plus monopolistique pour imposer la bonne façon de penser et de se comporter. Non seulement elle a cédé à la relativisation et au doute radical mais de plus avec la mondialisation on a découvert qu’il y avait plusieurs dieux, plusieurs religions. Chacune dispose de ses rituels de ses gourous (masculins en général). Dans les grandes métropoles, le client en mal de consolation choisit son dieu sur un marché hétéroclite ou les sectes croisent les grandes religions. La tolérance fonctionne comme le blasphème dans la société civile mais pas au sein de l’Etat et de ses appareils . Dans la fonction publique la neutralité s’impose, ce qui annule la fonction de la tolérance comme celle du blasphème.

    La tolérance suppose la concurrence et le conflit entre les opinions donc le rapport de force. Ce n’est pas un long fleuve tranquille. Jean-Paul Sartre a écrit que " Réaliser la tolérance autour d’autrui, c’est faire qu’autrui soit jeter de force dans un monde tolérant. C’est lui ôter par principe ces libres possibilités de résistances courageuses, de persévérance, d’affirmation de soi qu’il eût eu l’occasion de développer dans un monde d’intolérance" (2 ) .

    Si un monde de tolérance n’est pas nécessairement un long fleuve tranquille - puisque la critique perdure ainsi que le blasphème - il faut bien penser qu’un monde d’intolérance est bien pire encore. Un monde d’intolérance est invivable puisqu’on y traque les mauvaises pensées et les écrits jugés illégitimes par les clercs de la religion. Bien souvent un monde de tolérance pratiquera la distance, la fuite de la rencontre d’autrui  ; le blasphème sera l’exception.

     A l’opposée, l’idée de laïcité suppose la suspension du conflit des croyances. C’est cette conception de pacification qui a été préconisée pour l’école avec la loi du 15 mars 2004 qui autorise les signes discrets mais pas les signes ostensibles. C’est là une avancée inestimable qui ne saurait être étendu à d’autres champs sociaux.

    Avec Marcuse (3) certains propos deviendront intolérable. La liberté ne saurait cautionner l’oppression. En ce sens un mouvement de conscience s’est affirmer pendant plusieurs décennies et dans plusieurs pays pour condamner le racisme et le sexisme. D’un pays à l’autre les lois peuvent changer mais il demeure que certaines stigmatisations sont qualifiées de délits et sont sanctionnées pénalement.

    Christian Delarue

    1) Ces quelques lignes prennent ici ou là des propose de Patrick Thierry sur La tolérance, société démocratique, opinions, vices et vertus.

    2) Jean-Paul Sartre in L’être et le néant p 460

    3) Herbert Marcuse in Répressive Tolérance . A critique of pure tolérance

    *RACISME, ANTIRACISME ET TOLERANCE.*
    http://bellaciao.org/fr/article.php3?id_article=40412



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 02:02

    Définition du classisme. 

    On trouve deux acceptions :

    1
    - Il y a d’une part le classisme comme mépris d’une classe sociale et par extrapolation mépris d’un membre haut placé dans une société hiérarchisée. Il s’agit d’un discours dévalorisant et d’une pratique politique à l’encontre d’une fraction du peuple avec parallèlement une protection de la classe dominante, des hauts dirigeants économiques et politiques.

    2
    - Il y a aussi le classisme comme abréviation indistincte de ce que l’on nomme de façon plus précise domination, oppression et/ou exploitation issue des rapports sociaux de classes.
     

    Le classisme a donc deux acceptions l’une étroite qui le rapproche du racisme (stigmatisation, mépris, exclusion) et l’autre plus générale qui donne un nom à un rapport social emprunt d’une certaine dureté sous le capitalisme dominant. Le terme classisme est apparu dans le langage altermondialisme pour égrener aisément des formes transversales d’oppression au niveau mondial tel le sexisme, le racisme, le fondamentalisme-intégrisme, le communautarisme, le nationalisme, et le classisme.




  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 00:36

    C’est l’aspect le plus critiquable effectivement.



  • Christian Delarue Christian Delarue 9 février 2010 00:33

    CM
    Et si la jeune musulmane du NPA expliquait ce qu’elle en retient... voilà qui ne manquerait pas d’intérêts.



  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 21:32

    Grodé,
    Il faut rire à cette vanne ressassée ? !



  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 21:26

    La loi du 15 mars 2004 s’applique uniquement dans les écoles à des fins de pacification. Il faut éviter les blasphèmes ou le devoir de tolérance trop lourd à porter face à l’exhibition des signes religieux. Cette loi qui autorise les signes discrets mais interdit les signes ostensibles ne vaut que pour les collèges et lycées.

    Dans les entreprises privées, les commerces et dans la rue mais pas dans la fonction publique vous pouvez porter kippa et voile. Vous pouvez aussi recevoir des remarques non injurieuses mais critique. La société civile n’est pas un long fleuve tranquille. La laicite protège l’Etat du religieux mais pas la société civile.



  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 21:18

    La LCR était trotskyste et in fine marxiste-révolutionnaire mais pas le NPA. Le NPA déploie une conception matérialiste du monde mais il n’en fait pas une doxa. L’idéalisme échevelée n’est pas de mise.

    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php?article1005


  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 21:12

    @ l’auteur,

    Vous dites : " C’est bien de l’Islam et le rapport qu’ont les Français avec cette religion dont il est question ici. Rien de moins." Effectivement.

    C’est pour cela que cette candidature est une rupture dans le paysage politique. Pour partie elle affirme ce que bcp souhaitait : on peut être musulmane et vouloir une perspective d’ émancipation. Pour partie et dans le même mouvement cela pose des questions mais plus subtiles que les coups portés à la kalachnikov sur le NPA ;

    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php?article1005


  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 20:52

    J’ai lu un autre document qui divisait la société en trois couches et qui démontrai que le gros de la couche moyenne baissait. Je n’ai pas le lien sous la main ! Tant pis.

    L’approche « prolétaire » face au marché et non dans la production relativise les notions de salaire moyen et salaire médian qui masque le fait qu’avec 1600 euros par mois on est dans le rouge à la fin de mois. On l’est avec bcp plus sans faire d’excès ;

    Ce la montre ce que Michel Husson démontre depuis longtemps en terme de partage salaires-profit. Les premiers baissent depuis plus de 15 ans et dans quasiment tous les pays. La finance libérée dans le milieu des années 80 aspire son surproduit sur le travail sans faiblir.



  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 20:34

    Ce n’est pas le premier rapport sur le racisme sur internet . Celui-ci bénéficie de ce qui a déjà été produit mais va plus loin encore. Ce rapport du MRAP est d’excellente facture. Il a fallu bcp de temps pour rechercher les sites, faire les copies d’écran, les répertorier, etc...
    C’est un rapport qui est consulté par la police, les tribunaux, les journalistes. Il est améliorable. D’autant que le web bouge rapidement.



  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 19:42

    Petite contribution à l’attention de l’auteur et des agoravoxmen et women

    Une musulmane d’émancipation du NPA dans le Vaucluse.

    Le positif et le négatif : contribution au débat sur l’ambiguïté de l’affichage sexo-religieux au NPA

    http://amitie-entre-les-peuples.org/spip.php?article1005





  • Christian Delarue Christian Delarue 8 février 2010 19:01

    La religion, la consolation et l’émancipation.

    La religion tient un discours de consolation aux personnes en détresse. Tout un chacun peut à un moment de sa vie subir une période de doute voire de détresse. Une longue maladie peut surgir. Un athée recherchera de l’aide auprès d’amis, et en cas de besoin de professionnels donc des personnes compétentes ayant une longue expérience des défaillances similaires. L’athéisme est une négation de Dieu, et par cette négation, il pose l’existence de l’homme disait Karl Marx

    La science accumule les expériences et les validations théoriques pour avancer alors que la religion ne fait que répéter la même chose. Elle n’a pas d’histoire, elle n’est que répétitions idéologique des mêmes dogmes . Pour ces personnes l’adjonction d’un discours fondé sur des citations et des extraits des textes sacrés ne sera d’aucun effet. Au lieu de proposer de compter sur soi, sur ses propres forces résiduelles la religion propose de s’en remettre à Dieu ou à un de ses porte-parole selon la religion.

    Pourquoi a-t-elle du succès ? En période de faiblesse la religion a des chances de pouvoir imposer ses croyances et ses dogmes. La religion est plus forte pour consoler. Elle n’émancipe pas elle console. Et cela peut convenir aux victimes diverses. En fait, plus le parcours pour gagner de la puissance d’agir de façon autonome semble long et plus la tentative du chemin de traverse de la consolation pourra séduire. C’est un chemin qui ne mène nulle part mais pendant des siècles la plupart des individus soumis aux forces de la nature et de la pauvreté ne pouvaient qu’implorer la pitié divine. Pour se soigner vraiment, les humains ne peuvent compter que sur leur force et sur l’aide d’amis et de professionnels . Il reste aux athées à mieux développer leur sens de la solidarité.

    Christian Delarue