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Les commentaires de Cangivas



  • Cangivas 4 février 2011 14:37

    La gauche est tombée dans le piège tendu par la droite.

    Le patronat est favorable à l’immigration (augmentation de la demande intérieure - logements, BTP, distribution, ..., dumping social, etc.).

    La droite répond favorablement à cette demande.

    Au vu de certaines conséquences, le populo parfois s’interroge.

    La gauche explique au populo que s’interroger c’est le début du fascisme.

    La droite est moins radicale, le populo peut s’interroger (mais pas réfléchir - faut pas déconner - et droite et gauche sont d’accord sur ce point ... ça ferait le jeu du FN).

    La droite aura réussi l’exploit de servir le patronat contre le populo, de détourner le populo de la gauche et de couillonner le populo avec l’aide de la gauche.



  • Cangivas 13 janvier 2011 16:02

    La particularité de Zemmour est, me semble-t-il, d’être emblématique et le porte-voix des doutes et des changements qui traversent les sociétés européennes et pas seulement la société française (alors que certains lui reprochent d’être trop franco-centré ou franchouillard).

    Pour faire court :

    - l’idée (née du XXème siècle) que l’Européen, le Blanc, est responsable des plus grands malheurs s’est imposée progressivement et naturellement dans l’esprit des Européens au point d’être une évidence ;

    - les associations anti-racistes n’ont pas eu à se forcer pour enfoncer le clou : le Blanc est indiscutablement le bourreau, l’Autre est indiscutablement la victime. Elles n’ont pas intérêt à ce que cette norme soit remise en cause ;

    - or cette norme est remise en cause en Europe (même en Allemagne) - quasiment aussi progressivement et naturellement qu’elle s’y était imposée - pour des raisons internes mais aussi externes (par ex. : les Chinois ne sont pas plus humanistes que les Européens).

    Kelman, Eolas, Bilger peuvent renouveler leurs propos, ça n’affecte pas cette norme, cette vision historique.

    Zemmour, lui, a la possibilité d’aborder tous les sujets (un jour la Chine en Afrique, un autre les votations suisses, les banlieues, les cantines scolaires, ...) qui ensemble tordent le cou à cette norme.

    Bref, des 4, Zemmour est le plus actif et le plus représentatif de ce que redoutent les associations anti-racistes, à savoir le changement de norme en Europe.



  • Cangivas 25 septembre 2010 18:12

    En parlant de défigurer... les Etats-Unis n’ont toujours pas signé la Convention sur l’interdiction des mines antipersonnel.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Convention_sur_l%27interdiction_des_mines_antipersonnel

    Vous êtes bien gentils avec Obama, le modèle du progressisme, ancien (et futur ?) Prix Nobel de la Paix sauf qu’il y a beaucoup de beaux discours... mais peu d’actes.



  • Cangivas 5 septembre 2010 17:05

    J’ai du mal à exprimer ce que je ressens mais bon je vais essayer.

    Je comprends le succès des Quick halal (plus largement du halal mais aussi d’autres évènements et comportements, le ramadan, le voile, ...) ainsi :

    - une partie de la population ne se sent pas européenne, ne s’identifie pas à l’Europe (quand bien même ces personnes lui trouvent quelques avantages : libertés individuelles) comme peuvent l’être des Français, des Allemands, ..., lambdas (y compris d’origine extra-européenne), pro ou anti-UE ;

    - mais s’identifie à une autre famille, une autre civilisation pour utiliser un grand mot, sans pouvoir ou songer à retourner dans le pays d’origine de leurs ascendants (pour des raisons économiques, de niveau de vie et aussi de libertés individuelles, droits politiques, ...) ;

    Selon moi, ça dépasse le comportement communautaire classique.

    Au sens où il ne s’agit pas seulement de se rapprocher des siens mais dans le même temps de marquer ses distances avec les valeurs, us et coutumes de l’Europe où l’on se trouve bloqué.



  • Cangivas 25 décembre 2009 18:32

    Excellent article mais qui, ce n’est pas un reproche, pose plus de questions qu’il n’en résout.

    La question que je me pose est est-ce que la cause du comportement de Nora Berra (altercation avec Clément, rupture du jeûne en public) est d’abord d’ordre générationnel ou non ?

    Je veux dire par là que peut-être, plus que la religion en elle-même, elle défend ce qui est (ou était) précieux aux yeux de ses parents... et il est possible d’imaginer que les enfants (de Nora Berra) auront un rapport plus distant avec la religion de leurs grands-parents. 

    Ou est-ce que la cause est autre ? Par exemple identitaire (consciemment ou non)... le comportement de Berra pouvant être significatif de querelles - entremêlant identité, politique, géopolitique et religion - à venir.

    Pour la masse des Français (plus largement des Européens, notamment, avec des variantes suivant les contextes historiques), la laïcité c’est - tout naturellement - le fait que la société et les individus ne sont plus soumis à la religion et que ce fait est accepté. Me semble-t-il.

    La laïcité établit une distance entre la société et la religion.
    Distance qui ne signifie pas négation. Les cathédrales, les calvaires, les abbayes, telles célébrations, tels produits, ..., font partie du paysage au même titre que Lully, Versailles, Louis XIV, Vauban, etc.
    On peut apprécier ces derniers, s’en inspirer, célébrer tels aspects, sans être pour autant un nostalgique de l’Ancien Régime, de l’absolutisme ou que sais-je encore et vouloir leur retour.
    Même chose s’agissant de l’héritage, des traditions, ..., chrétiens.

    A cette distance avec le fait religieux qui caractérise selon moi la laïcité, s’oppose la vision de la laïcité par Nora Berra (sauf erreur de ma part Fadela Amara tient les mêmes propos) pour qui la laïcité c’est permettre la pratique de toutes les religions mais aussi leur visibilité, leur exposition de façons égales dans la société...
    ... avec comme conséquence la course à la démonstration tout azimuth et une concurrence religieuse ou à connotation religieuse féroce. A l’américaine.



  • Cangivas 17 décembre 2009 01:01

    JT de France 2 et France 3 du 3 janvier 2008 : http://www.dailymotion.com/video/x3zktm_voiture-propulsee-par-air-comprime_tech

    Ce qui est étonnant est que cela à l’air tout simple.

    Voiture peu chère à l’achat, puis 1 euro aux 100 km (si c’est réellement 1 euro, ça sous-entend que ça consomme peu d’électricité), etc.

    Même pas besoin de grosses usines. Les voitures étant assemblées chez les concessionnaires.

    Autre chose qui m’étonne... les véhicules présentés - c’est à dire que des véhicules qui ne rapportent rien en TIPP à l’Etat - sont immatriculés.






  • Cangivas 16 décembre 2009 22:05

    Réchauffement climatique ou pas, article pubblicitaire ou pas...

    .... ce que j’aimerais est que des spécialistes (d’Agoravox) se prononcent sur la voiture à air comprimé (innovation, si j’ai bien compris, que l’on doit à un Niçois) :

    http://www.mdi.lu/

    Est-ce une supercherie ou non ? Une fausse bonne innovation ?

    Cela dévore-t-il (pour obtenir l’air comprimé) de l’énergie (gaz, pétrole, charbon, nucléaire, ...) beaucoup ou pas beaucoup ?



  • Cangivas 15 décembre 2009 00:29

    Plus j’écoute Sabeg et plus j’ai l’impression qu’il a en tête un curieux modèle de société.

    Des religieux qui règnent sur les consciences et des élites qui règnent sur les affaires (politiques, économiques, ...).
    Les deux groupes étant associés pour garder les masses à distance afin de tranquillement prospérer à l’abri des contraintes démocratiques.

    Une sorte de mix islam/pc chinois/capitalisme us.



  • Cangivas 14 décembre 2009 13:40

    @Emile Red

    Ce que veut dire l’auteur est, me semble-t-il, que le fanatisme (même s’il défend une cause juste) nuit au raisonnement.

    Pour en revenir aux artistes, certains s’achètent une bonne conscience, disent moult conneries, invitent les autres à faire ce qu’ils ne font pas... et bingo, ils passent pour des modèles tout en améliorant leur CA.
    Si ça ce n’est pas du populisme...

    C’est dommage. Des types comme Renaud pourrait faire autre chose que de l’agitation et brasser du vent.



  • Cangivas 14 décembre 2009 12:52

    @Sisyphe,

    Pensez-vous vraiment que les entreprises de BTP (françaises, étrangères) s’opposeraient à ce que des milliers d’immeubles, des centaines de milliers de logements et bureaux soient - réchauffement climatique oblige - détruits... pour construire de nouveaux immeubles, de nouveaux logements et bureaux ?

    Bien sûr que non ! Pourquoi cracheraient-elles sur des milliards et des milliards ?

    La seule et unique question qui turlupine ces entreprises est : qui paye ?
    Elles travaillent pour l’heure à faire accepter dans les opinions publiques l’idée que c’est l’Etat qui doit payer. L’Etat, autrement dit les contribuables. Ce qui évitera de désigner d’autres responsables.

    Auparavant, pour reconstruire tout un territoire, il fallait une bonne guerre. Mais bon, une guerre en Europe... ce n’est pas demain la veille. Faut innover.

    Attention, je ne dis pas que l’écologie (pour faire court) est méprisable. Que des sols, des cours d’eaux, des rivages, ..., soient pollués ne me procurent bien sûr aucune joie.

    Je dis que : vous pensez que les milieux d’affaires veulent vous entuber... hé ben non, ils veulent que vous vous entubiez vous-même, volontairement et joyeusement.

    Dit autrement, les milieux d’affaires veulent le beurre, l’argent du beurre, le cul de la crémière... et surtout pas de procès, de mises en accusation, et être désignés comme responsables.

    Vous pouvez donc défiler 365 jours par an entre Bastille et République... cela les arrange (hors quelques lobbys).
    Tout comme les arrange le p’tit coup de pouce des artistes qui entre deux avions intiment l’ordre aux pauvres de devenir écolo-responsables.



  • Cangivas 7 décembre 2009 12:05

    @l’auteur,

    Il y a quelque chose que je ne comprends pas.

    Pourquoi placez-vous les religions, leurs valeurs, au dessus de toute critique ?

    Un système de valeurs, sacrées ou non, reste un système de valeurs avec lequel on peut être en désaccord, contre lequel on peut s’opposer.

    Pourquoi le caractère sacré d’une valeur offrirait-elle une dispense pour juger, critiquer, condamner cette valeur et s’y opposer ?

    Si une idéologie prônait la division de la société en deux groupes (d’un côté des maîtres, de l’autre des esclaves), vous condamneriez cette valeur et cette idéologie. Pourquoi en serait-il différemment si cette division était prônée par une religion ?

     

     


     



  • Cangivas 4 décembre 2009 13:41

    A l’auteur,

    On peut reprocher à un commerçant (plus généralement un individu) de vendre un produit ou un service soit de mauvaise qualité soit à un prix prohibitif soit de tromper l’acheteur soit de profiter d’un tiers.
    Il n’y a pas à reprocher l’acte de vente si la vente est, pour faire court, honnête.

    Et le vendeur n’a pas l’obligation d’épouser les idées, les centres d’intérêts et les attentes - autres que celles liées à la vente - de l’acheteur. Même chose dans le sens inverse.
    Vous pouvez vendre votre voiture à un communiste pratiquant la chasse et supporter de foot sans pour autant être contraint de prendre une carte au parti, une de chasse et une d’abonné.

    Vous blâmez le comportement des Suisses vis-à-vis des capitaux arabes.
    Il me semble qu’on pourrait plutôt blâmer le comportement de ces investisseurs arabes qui, au lieu d’utiliser leur fortune pour développer leur pays ou les pays du monde arabe, préfèrent placer leurs fonds dans des banques suisses ou prendre des participations dans des sociétés dans un but uniquement financier et spéculatif.

    Si demain vous préférez vous acheter une Ferrari au détriment de l’avenir de vos enfants, celui qui sera à blâmer sera non pas le vendeur (de la Ferrari) mais l’acheteur c’est à dire vous.



  • Cangivas 10 novembre 2009 18:26

    @sisyphe

    Le débat sur l’identité nationale amène, invariablement, à devoir traiter de la laïcité et à aborder le débat du rapport entre islam et laïcité.

    Ce dernier débat est un des rares qui emmerdent dans les grandes largeurs la gauche, tiraillée :
    - entre son progressisme sociétal (le différentialisme, le refus de la norme, pour simplifier) ;
    - et son rôle de conservateur des valeurs républicaines. 

    Bref, alimenter la chaudière du bordel, des lignes de fracture et des conflits au sein de la gauche plurielle, notamment.

    Plus que de reprendre des voix au FN, j’ai le sentiment que ce débat a été lancé par Sarko pour empoisonner la gauche, et ce durablement (bien au delà des régionales).

     



  • Cangivas 10 novembre 2009 15:37

    Il y a quelque chose que je ne comprends pas chez Lopez.

    A l’autre bout du monde (cf son émission « Voyage en terre inconnue »), il loue l’opiniâtreté, le courage, les efforts, le combat de populations attachées à préserver leur mode de vie, leur identité, leur culture, leur singularité et à les transmettre à leurs enfants.
    Populations qui ont aussi comme souci de trouver du travail sous une forme ou une autre (même si l’organisation du travail est différente, etc.), créer des richesses ne serait-ce qu’agricoles.

    Qu’on soit du Nord ou du Sud, nul ne peut faire l’impasse sur l’économie (quelque soit son niveau de complexité). Pour autant, cette contrainte n’efface pas d’autres aspects, notamment ceux que Lopez admirent chez ces populations.

    Mais revenu en France (ou en Europe), ce que Lopez loue ailleurs, il le trouve hors de propos ici. Là-bas les hommes sont complexes, ici il réduit les hommes à la consommation.

    Il y a une logique qui m’échappe.



  • Cangivas 13 juillet 2009 23:15

    Conférence gesticulée de Franck Lepage : http://www.alpesolidaires.org/incultures-conference-gesticulee-de-franck-lepage ... sur l’éducation populaire, le ministère de la Culture, Malraux, etc.

    Du même auteur : http://www.monde-diplomatique.fr/2009/05/LEPAGE/17113 ... de l’éducation populaire à la domestication par la « culture »



  • Cangivas 1er janvier 2009 01:12

    @Rage

    Certes, l’analyse de Todd est excellente. Et j’y souscris.

    Sauf que Todd ne va pas au bout de certaines de ses conclusions ni n’aborde certains aspects au risque de révéler quelques contradictions ou des solutions qui l’effrayent.

    Par exemple :

    1/
    Le fait est qu’aujourd’hui les moyens de communications et de télécommunications permettent à qui à une certaine fortune ou/et un certain savoir de passer les frontières avec une facilité déconcertante même pour un adolescent.
    Pour y investir son argent, échapper (travail, etc.) à des réglements, ..., pour des raisons légitimes ou illégitimes, bonnes ou moins bonnes.

    Soit on met un terme à cette liberté, soit on souscrit à une vision mondiale (cf Attali). Dans les deux cas, c’est l’horreur.

    2/
    Todd est favorable au protectionnisme européen. Sauf que cette préférence européenne (sur les biens et marchandises) appelle une autre préférence (sur les individus).
     

    Todd craint, par la faute de Sarkozy, la mise en place d’une République non démocratique ou d’une République ethnique.
    Mais en fait, ce n’est pas Sarkozy le problème. C’est pire que ça.
    Et d’ailleurs si Sarkozy était le problème, hé bien le problème ne serait pas compliqué à résoudre.



  • Cangivas 26 décembre 2008 18:19

    S’agit-il pour l’Europe d’accueillir des prisonniers (qui demeureront détenus en Europe) ou des prisonniers libérés plus exactement devenus libres au moment même où ils quitteront Guantanamo ?

    Dans les deux cas, le procédé me semble curieux (et à dire vrai, je dirais que les Etats-Unis nous prennent pour des cons ), hormis s’agissant de tel prisonnier qui, devenu libre, refuserait tant de retourner dans son pays d’origine que de s’installer aux Etats-Unis.

    Le problème colombien et des Farc est quand même d’une autre nature.



     



  • Cangivas 26 décembre 2008 11:45

    Il y a quelque chose que je ne comprends pas.

    La nouvelle administration veut fermer Guantanamo. Soit. Et elle veut envoyer les prisonniers (tous ou certains, je ne sais) dans des centres de détention (sous administration américaine ou non, là non plus je ne sais pas) en Europe.

    Je ne comprends pas le raisonnement d’Obama. Est-ce parce les prisonniers en restant sur le sol américain (mais hors Guantanamo qui bénéficie d’un régime spécial) devraient être détenus (donc éventuellement bénéficier de mesures de libération) suivant la loi américaine commune ?

    Cette histoire est quand même tordue. 
    Obama souhaite que l’Europe maintienne des prisonniers en détention suivant la seule volonté d’une administration américaine qui, compte tenu des lois américaines, ne pourrait pas continuer à détenir ces mêmes prisonniers sur son propre sol.



  • Cangivas 22 décembre 2008 16:15

    Je n’ai pas dit que les Etats-Unis et Bush en particulier étaient exempts de reproches. De surcroît, je ne suis pas américanolâtre et le rêve américain me laisse de marbre.

    Je dis qu’il faut prendre le problème dans le bon sens si on veut qu’il y ait résolution.

    Que je sache, par exemple proclamer du matin au soir que Bush est un con fini, ça n’a pas fait progresser (ou alors si peu) l’Europe politique (diplomatique, militaire, etc.).

    Les Chinois, eux, ne balancent pas leurs chaussures sur le président américain du moment... ils les fabriquent pour le marché américain.

    La symbolique a quelques limites... Quant au "grand pas pour l’humanité", c’est à pisser de rire.





  • Cangivas 22 décembre 2008 15:26

    J’ai le sentiment qu’on valorise le geste de ce journaliste comme en son temps celui de Kroutchev à l’Onu en 60.

    Certes le symbole est fort mais il ne saurait masquer une vérité cruelle : le nombre d’individus préférant conserver leurs chaussures aux pieds et quitter, hier les pays du bloc soviétique, aujourd’hui ceux du monde arabe pour des destinations plus accueillantes.

    Le geste n’est pas dérisoire, il trompe son monde.

    Plus que sur la tronche du président américain, c’est sur celles des dirigeants arabes que ce journaliste devraient lancer ses chaussures. Evidemment, ça devient plus risqué, l’Irak n’étant la Suède par exemple.

    Même constat ailleurs. Quand les Etats-Unis s’autorisent à intervenir (militairement, politiquement) dans les Balkans, le problème n’est pas les Etats-Unis mais l’UE, ses dirigeants (et aussi les peuples).

    A se tromper - sciemment ou non - de cible, on s’interdit de s’attaquer à la racine même du problème et d’espérer résoudre celui-ci dans les meilleurs délais.