@Armelle
( petite erreur d’inattention, pas grave, mais devenue bien trop fréquente partout :
on ne dit pas " s’être faite baisée
« mais : »s’est fait baiser« )
Il serai intéressant de prolonger votre réflexion comme il se doit : si »Le pouvoir c’est l’argent
« , alors reste à savoir ce qu’est l’argent !
Lorsqu’on remarque, avec les (très) anciens, que la monnaie ne repose que sur un rapport de confiance (même si souvent ce rapport est fort peu conscientisé / qui sait, aujourd’hui encore, comprendre le »rendez à Cécar ce qui est à César« ? ...),
on peut dès lors dépasser le faux problème pour envisager des réactions constructives. Les rapports de confiance dépendent eux-mêmes complètement des consensus reconnus concernant les diverses consciences individuelles et collectives !
Les techniques actuellement de mise pour tenter d’évaluer, conscientiser, mesurer ces consciences sont malheureusement archaïques et fort critiquables (sondages, référendums, votations, élections). Se contenter s’espérer que des »représentants« (ou pire un incarneur !) tienne »ses« ’ engagements ne serait qu’un lapsus révélateur d’une complicité avec cette mascarade de visée citoyenne !
Un nouveau paradigme est esquissé par le remue-méninges du »ramène ta Fraise" : Kdo Fraises ...
@Yann Esteveny
.. et un auto-diagnostic incertain, ça peut entrer dans les critères de confiance ? : https://youtu.be/EHk1S-Aedic
@confiture
voire : cet auto-diagnostic ! https://youtu.be/EHk1S-Aedic
@not-Captain Marlo
« Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genou » — Etienne de La Boétie.
@Captain Marlo
Que vous ne soyez pas capable de comprendre ce que j’ai écrit, ou que vous fassiez seulement semblant, finalement peu importe : inutile d’insister, vu !
@Captain Marlo
— c’est une perspective de ressenti ou traduction des faits ... qui n’engage en fait que ceux qui ne la dépassent pas !« ... l’UE s’est débrouillée pour que les centres décisionnels soient complètement à l’abri de l’avis des citoyens ... »
@Tashrin = « ...J’y crois plus... »
— alors vous êtes déjà vaincu avant le vrai début des difficultés à affronter
Des gens ayant des optiques aussi différentes qu’un Condorcet et qu’un JJ Rousseau n’ont pourtant pas complètement perdu du temps (vu l’impact de leurs célèbres écrits) lorsqu’ils ont envisagé, d’un côté une approche mathématique des techniques de scrutin (dont, notamment, le « théorème du jury) , et, d’autre part l’essai (pur exercice intellectuel) du Contrat social ...
@suispersonne = ».. que seul le tirage au sort peut être démocratique«
Il me semble que le mot »seul" est de trop. Quand (par exemple) Montesquieu a dit : « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ; le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie » il n’a pas dit que ce soit la seule approche démocratique possible ; pas plus qu’il n’a établit que cette approche soit, en fait, démocratique ...
@tashrin
« Reforme institutionnelle / représentativité démocratique » ?
— Cordialement, sans acrimonie aucune, votre intéressant et pertinent propos, dont la conclusion se termine par :
« lorsque l’on aura touché le fond on fera un truc intelligent »
m’inspire toutefois ces remarques qui se veulent constructives :
@Captain Marlo
Hé oui, les Institutions actuelles sont vérolées ! au point de ne plus être légitimes.
Si jamais certains tiennent à penser que le pass waxxinal , tout comme l’ex-pass-sanitaire ne soient pas obligatoires, cela ne peut être que parce que les Français n’ont plus d’Institutions (pas plus que de Président de la République) !
@véronique
Désolé, mais lorsqu’une autorité impose une contrainte à ceux qui n’obtempère pas à son injonction, il reste incohérent de prétendre que cette injonction ne soit pas obligatoire : selon l’acception de ce mot en langage courant !
Je reste convaincu que même la moindre des contraintes (genre : empêcher de pouvoir prendre un verre dans un café — même à ceux qui, quoi qu’il en soit, n’en auraient jamais eu envie) rend une injonction obligatoire.
Si le Conseil, voire, plus tard la Justice, utilisent une acception différente, non indiquée dans les dictionnaires usuels, du mot « obligation », la moindre des politesses, et surtout un sens minimal du respect dû aux Français, serait de signaler quelle langue ils parlent, et à partir de quels dictionnaires, tout citoyen (censé ne pas ignorer la loi) est censé pouvoir comprendre LEUR langage !
L’interprétation du Conseil, voire, éventuellement, de la Justice, n’est ni divine ni immuable : le Conseil, ou la Justice, peuvent certes abuser à une époque donnée, mais, surtout dans une prétendue « démocratie », ces institutions doivent pouvoir évoluer (en se renouvelant, ou pas ...) et surtout se conformer à la Volonté générale qui, elle, est censée être appréciée de façon consensuelle par la population !
@Mélusine ou la Robe de Saphir.
Le déclencheur décisif du constat d’hypnose a été cette histoire de gamin qui, avec ses tongs de Spiderman, serait tombé d’un étage (ou de deux , on ne le sait toujours pas !) et qui se serait miraculeusement raccroché au rebord d’un balcon sans une égratignure ! ...
@Arogavox
correctif : "... un contexte d’oppression généralisée, couplée à une longue dérive
..."
@Adèle Coupechoux
Non seulement le conseil constitutionnel n’est plus crédible, mais il a factuellement fauté au point de ne plus être légitime !
Le fumeux tour de passe_passe rhétorique par lequel d’aucuns prétendent « non-obligatoire » ce pass waxxinal ne peut arriver à faire illusion actuellement en France que par un contexte d’oppression et généralisée, coulée à une longue dérive de l’état psychologique de la population française.
(cf Bertrand Russell : ’ La logique est la science qui fonde les idées vraies, la psychologie la science qui explique les idées fausses. ’
)
Si les Français n’étaient contraints à ces « waxxinations » que par l’interdiction d’aller commander un seul Spritz dans un bar, cette seule contrainte officiellement établie suffirait à rendre ces « waxxinations » OBLIGATOIRES !
Que l’actuelle institution française Justice, emploie (peut-être ? — n’étant pas juriste je m’en tiens ici à une hypothèse légitime) un vocabulaire spécifique, malheureusement non précisé ni traduit en français-courant dans les communications des média, voilà un tout autre problème. Si dans ce ’Français-parallèle’, spécifique aux affaires juridiques, le mot « obligatoire » peut être compris AUJOURD’HUI selon une acception contraire à celle du Français courant, alors ce n’est qu’une question de contexte et d’époque. Car, la Justice et son vocabulaire ne sont pas immuables et doivent ne pas l’être : ils doivent sans cesse évoluer en fonction de l’évolution constante de la Volonté générale.
Qui nous dit que, dès demain, le sens courant du mot « obligatoire » ne sera pas rapidement rétabli, même dans le langage judiciaire ?!
@Bruno Hubacher
La question que je pose est avant tout celle d’une nécessité incontournable de cohérence.
Comment « s’organiser localement » si , à un autre niveau, de fait, on ne sait « s’adapter » qu’en transigeant avec l’incohérence ?
A noter aussi que, contrairement aux lois, la morale ne saurait être décrétée pour une collectivité : son appréciation ne peut être qu’individuelle.
Si ma morale s’oppose à une loi, je peux effectivement me désolidariser du consensus cautionnant cette loi, et faire sécession : en ce cas je ne désobéit pas puisque, dans mon contexte « hors la loi » cette loi n’existe plus ! Mais je ne peux vouloir à la fois faire semblant de rester inséré dans le consensus validant cette loi, et désobéir sans afficher mon refus de cautionnement.
Par contre, je resterai réservé quant à la possibilité, pour quiconque, de ’simplement’ changer son mode de vie ... ( Certaines responsabilités, ne serait-ce que morales, peuvent, dans certaines situations, contraindre à supporter ce que l’on subit ).
@Bruno Hubacher
Votre conjecture ne serait-elle pas à double tranchant lorsque vous supposez que :
"En ce qui concerne le statut de victime, chacun est libre de se considérer comme tel ou, au contraire, comme acteur.
« ?
Au passage, le contexte d’application de cette conjecture n’est ici pas clairement défini.
Mais soit ! examinons cette conjecture de façon théorique pour tout contexte possible.
Pour que quelqu’un puisse se considérer comme non victime, il est nécessaire qu’il ne subisse rien de la part d’autrui.
Si, par exemple, la violation d’une loi met un individu mal à l’aise. Cet individu peut certes ’choisir’ de s’adapter à cette gène et peut réussir à ne plus ressentir ce mal à l’aise ; ou, en tous cas, il peut se contenter de ne pas faire valoir un »statut de victime". Mais il n’empêche qu’en regard du droit cet individu doit être considéré par ses concitoyens comme victime de cette violation de loi.
Quiconque espérerait que cet individu se considère comme non victime et même comme acteur, espérerait en fait que cet individu devienne complice de la violation de loi !
Si, par contre, il n’y a aucune violation de loi, pour éviter toute complicité coupable il faut que cette absence de violation soit prouvée !
« Faire trainer ... » ?
Il se peut en effet que la notion de « ma^tre des horloge » nécessite en effet une gestion fine du timing des événements , MAIS :
Le gouvernement Covideux et tous ses complices (faux ’contre-pouvoirs + fausse ’Opposition’) devraient déjà se considérer « échec et mat » si jamais la planète entière n’était pas gravement pervertie car : - soit la dite ’pandémie’ se termine d’ici quelques quelques semaines, selon le très probable schéma observé à propos du variant le mieux étudié (i.e. : des variants de moins en moins nocifs même s’ils peuvent être plus transmissibles) ... Et alors les véritables scientifiques et médecins pourront mieux concentrer leur travail sur l’analyse rigoureuse et systématique de ce qui s’est passé, et sur l’observation implacable des conséquence ... avec procès à la clef - soit la dite ’pandémie’ reprend de la virulence par une cause mystérieuse que l’on ne saurait deviner aujourd’hui. Mais alors, tous ceux qui ont déjà aujourd’hui considéré cette reprise comme inéluctable - au point d’avoir rendu obligatoire une expérimentation hasardeuse et fort controversée - sont déjà fort suspects de cacher au public des risques majeurs, et seraient demain les premiers suspects de légitimes hypothèses concernant l’assurance mystérieuse qu’ils auront montrée : ils ne pourraient pas non plus échapper à plaintes contre X. Malheureusement, la planète Terre risque tout de même d’être corrompue à un point inimaginable par les esprits droits. Pour échapper aux procès, rien ne nous garantit que certaines perversités ne soient pas capables de favoriser une ou d’autres émergences de chaos ...
Merci à l’auteur pour ses rappels de logique limpides et implacables.
Malheureusement, le mal qui ronge particulièrement trop de nos concitoyens risque bien de relever plus de dérives concernant la psychologie que de questions sanitaires.
Le logicien Bertrand Russel disait :
« La logique est la science qui fonde les idées vraies, la psychologie la science qui explique les idées fausses. »
@alinea
Bien entendu que chacun n’a pas à s’en laisser compter pour apprécier sa propre « réalité ».
C’est bien pour cela que lorsqu’on prétend vouloir respecter les autres (cf idéal démocratique) il ne saurait être question de prétendre détenir une Vérité, morale, éthique, des valeurs absolues, ou un Intérêt Général dans un absolu.
D’ailleurs c’est aussi pour cela que tout le monde ne reconnaît pas toujours tous ceux qui sont dits (ou se disent) « les experts » ...
@alinea
"En attendant cette religion-ci, avec tous ses adeptes fait autant de mal sinon plus que les autres avec les leurs.
«
— alors, »il suffisait d’apprendre des formules pour en être, et respecté !
« ? ... ça je n’en suis pas convaincu.
»la vie, d’une manière générale, et c’est bien tout ce qui nous importe, non ?«
— je resterai réservé sur ce point de vue. Tout dépend de ce que l’on entend par »la vie". Une définition consensuelle de ce mot n’est pas aussi évidente qu’il pourrait sembler ...
Déjà ne serait-ce que bien des anthropologues, ou des philosophes, ont envisagé la vie du groupe, de l’espèce ... sans même parler des différentes approches religieuses ... Existerait-il un ’Absolu’ irréfutable permettant de mettre d’accord le Monde entier sur ce qui importe le plus ?
@alinea
Par contre, je crains fort que « cette religion-ci » ne suscite en fait aucune négation : du simple fait que ses adeptes ne sont même pas conscient d’être des adeptes, en CROYANT n’avoir aucune religion !
(i.e. : « cette religion-ci » risque bien ainsi d’être moins riche en conscience que les religions qui s’assument elles-mêmes !)
Je ne suis pas convaincu, aussi, que (dans quel absolu ?) chacun porte en soi l’intérêt général d’une quelconque communauté humaine (y compris de la plus grande communauté imaginable : l’humanité). Un seul contre-exemple suffit à comprendre cette réticence : disons qu’un barbouze infiltré dans un pays ennemi ne porte pas en lui l’intérêt de ce pays infiltré ...
Je tiens à souligner que, le fait que l’Intérêt général ne puisse que découler de la Volonté Générale, est un truisme qui montre que cet Intérêt général ne pourra jamais être « calculé » ni mathématiquement, ni par une quelconque Intelligence Artificielle, ni sur la base d’une prétendue « éthique » sortie du chapeau de vaniteux autoritaires !
( Par exemple, remarquer que même un critère de survie, ne peut justifier un prétendu raisonnement prétendant déterminer un Intérêt Général . Lorsque la Garde Impériale avait prononcé le mot de Cambronne, il eût été à côté de la plaque d’essayer de leur faire croire que leur supposé Intérêt Général eût été d’accepter leur reddition )
@Jean Keim
« Personne ou si peu ne s’en émeut » ? !
bis repetita :
Les fondements de la politique jupiterieuse se résument factuellement à des flux d’injections et de déjections !Avons-nous encore le droit d’espérer que cette dérive ne reflète pas les fondements culturels de toute la ou toutes les générations auxquelles appartiennent nos actuels ’Représentants’ français ?!
Car ces orgueilleux commettent autant un contre-sens profond sur la notion de pouvoir politique, que sur la notion de science.
Comment ne pas s’effarer du risque qu’ils aient ’pédagogisé’ ces contre-sens aux générations suivantes ?! Ils n’ont pas (encore ?) compris que la notion d’Intérêt Général ne peut être envisagée qu’après celle de Volonté Générale, dont elle ne peut que dépendre ! Voilà pour le contre-sens politique.
La Science (supposée savoir calculer un Intérêt Général ?!) ne peut par ailleurs, en aucun cas, prétendre se fonder sur une éthique ou une morale, dans un absolu décrété de façon arbitraire par ... qui ?
Cette double nullité (voire noyade négative) sur le plan politique autant que ’scientifique’ ne con-duit qu’à une irresponsabilité indigne, huée heureusement par une proportion grandissante de ’Gaulois réfractaires’ !
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