• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile

Les commentaires de Reinette



  • Reinette Reinette 26 juin 2007 16:47

    A l’auteur, la France de demain flex-sécurité-pour-les-patrons c’est celle d’aujourd’hui, c’est-à-dire embauches de salariés les moins chers possible (faut pas rêver...) !

    Pour vous, à 20 ans ?, ce sera la galère, à moins d’accepter un salaire de misère... bonne chance quand même.



  • Reinette Reinette 26 juin 2007 16:26

    Les plaintes des employeurs « importunés » par les contrôles des inspecteurs du travail.

    (Ces inspecteurs se voient flanqués d’un conseil national chargé de créer un « code de déontologie » et de « sanctionner, le cas échéant, les inspecteurs ne l’ayant pas respecté ». Ce conseil aurait notamment pour tâche de recueillir - et satisfaire - les plaintes des employeurs importunés par un contrôle.)

    (Sur les 35 membres qui composent ce Conseil, 8 seraient désignés par le patronat, 3 par le Premier ministre, un par chacun des 8 ministres de tutelle [1], 8 par les syndicats et 8 par les services de l’inspection du travail. Les membres désignés par le gouvernement et le patronat seraient donc majoritaires...)

    Q. : Existe-t-il un conseil national de la police qui serait composé pour partie de délinquants pour juger du travail et de la déontologie des policiers ?



  • Reinette Reinette 26 juin 2007 16:14

    (deux économistes totalement neutres de renom, MM. Cahuc et Kramarz ? ? ?) l’auteur.

    Voyons ça (WIKIPEDIA) :

    Pierre CAHUC : membre du CERCLE des économistes. Il est aussi professeur à l’Université Paris I-Panthéon-Sorbonne, professeur chargé de cours à l’École polytechnique et à l’ENSAE (École nationale de la statistique et de l’administration économique), membre du Conseil du CERC (Conseil de l’emploi, des revenus et de la cohésion sociale), chercheur à EUREQua, CREST-INSEE, CEPR (Londres), IZA (Bonn).

    (Le CERCLE des économistes est un CERCLE de réflexion fondé en 1992 à l’initiative de Jean-Hervé Lorenzi qui réunit actuellement trente économistes et universitaires ayant occupé ou occupant des fonctions privées ou publiques afin d’organiser un débat économique.)

    Le prix du meilleur jeune économiste 2007 : Le Prix 2007 du Meilleur jeune Economiste, a été remis par... M. Louis Gallois, coprésident d’EADS et président d’AIRBUS, en présence de M. Jean Girod, membre de la Commission des finances du SENAT, de Jean-Marie Colombani, directeur du Monde et de Jean-Hervé Lorenzi, Président du professeur à l’université Paris-Dauphine, président du Cercle des économistes, conseiller du directoire de La Compagnie financière (un VRAI CERCLE donc !!!)

    Francis KRAMARZ : est un économiste français né en 1958, directeur du département de la recherche au Centre de recherche en économie et statistique (CREST) et professeur chargé de cours à l’École polytechnique.

    Diplômé de l’École polytechnique (promotion 1976) et de l’École nationale de la statistique et de l’administration économique (ENSAE, promotion 1981), il est titulaire d’un doctorat de sciences économiques de l’Université Paris-X Nanterre obtenu en 1994.

    En 2005 : membre du Conseil d’orientation pour l’emploi créé par Jean-Pierre RAFFARIN.

    Totalement neutres, on vous dit !



  • Reinette Reinette 26 juin 2007 15:50

    CEUX QUI BOSSENT ONT ENCORE QUELQUES DROITS !

    Pour les connaître :

    COURS SUR LE DROIT DU TRAVAIL, rendez-vous tous les premiers lundis du mois à 19h à la BOURSE DU TRVAIL,

    à Paris : 67, rue de Turbigo



  • Reinette Reinette 25 juin 2007 17:06

    Tuer ses semblables n’est pas chose facile. À part quelques psychopathes les êtres humains répugnent à ce travail.

    Aussi, depuis la nuit des temps, les va-t-en-guerre ont cherché des solutions pour exciter leurs contemporains au meurtre.

    Dans ce domaine, si la religion a toujours donné de bons résultats, la science a également apporté sa contribution. Une interprétation raciste du darwinisme a donné des concepts laïques pour déshumaniser l’ennemi, l’assimiler à un animal nuisible. L’impie à convertir, le sauvage à civiliser, voilà qui est plus facile à tuer.

    Mais ces techniques empiriques ne peuvent satisfaire un vrai scientifique, il fallait rationaliser tout ça, bâtir une vraie science du meurtre. C’est fait, voici venue l’ère de la killologie.

    Aux USA, et ailleurs, des psychologues travaillent à reformater les cerveaux récalcitrants, pour programmer un quidam à tuer automatiquement dans certaines situations. Ils proposent déjà à l’armée et à la police des méthodes pour améliorer le taux de « tuerie ». Mais leur science rencontre encore des résistances, des adeptes sont persécutés et la killologie a déjà ses martyrs.

    ...Comme Steven Green, un GI de 21 ans. Décrivant ce qu’il a ressenti en tuant un Irakien à un check point, il a déclaré : « En fait c’était rien. Ici, tuer les gens c’est comme écraser une fourmi. Je veux dire, vous tuez quelqu’un, et c’est comme : « bon, allons chercher une pizza ». »

    Au lieu de le féliciter, l’armée l’envoie en cour martiale pour une bavure bénigne : le massacre d’une famille irakienne, dont une fillette de 14 ans violée avant d’être zigouillée.

    Ayant triomphé des archaïsmes, les killologues en feront peut-être le Galilée de leur science : « Et pourtant il tue. »



  • Reinette Reinette 25 juin 2007 16:29

    « Dans le secret de la sécurité » est le titre d’un documentaire inédit de Jacques Cotta et Pascal Martin.

    (Il y serait question de la politique judiciaire et policière conduite par Messieurs Perben et Sarkozy.)

    FRANCE 2 a préféré programmer ce documentaire dans la nuit du vendredi 30 septembre au Samedi 1er octobre 2005, à 1h30 du matin.

    (Seuls les téléspectateurs insomniaques - et quelques autres... - pourront donc s’informer sur une « question de société » qui nous concerne tous. Le service public mépriserait-il la « première préoccupation des Français » ?)

    A moins que le contenu n’ait indisposé nos fins programmateurs.[1] A une heure moins tardive, en effet, il convient de ne diffuser que des programmes familiaux comme le « Sarkozy-Show » par exemple.

    Ah ! Le dur labeur des programmateurs ! Dans un article publié sur le site « Pour une information pluraliste et impartiale » sous le titre « Une réponse à Sarkozy à 1h30 du matin ... », Christophe Miqueu, entre autres bonnes questions, pose celle-ci :

    « Est-il aujourd’hui impossible à la télévision de traiter avec recul et sérieux la réalité du ministre de l’intérieur Nicolas Sarkozy ? ». Et de rappeler ceci : « Une dépêche AFP datée du 26 septembre 2005, 22h44, rapporte en effet que le sénateur PC des Hauts-de-Seine, Roland Muzeau s’est adressé à Patrick de Carolis, le PDG de France télévision, pour réclamer la diffusion d’un documentaire produit par Serge Moati, intitulé « Sarkozy mot à mot », achevé depuis avril dernier. »

    Et c’est la mine réjouie que les dirigeants de France Télévisions pourront regarder à une heure convenable ces journalistes de France Télévisions qui, bon gré mal gré, se prêtent à toutes les opérations de communication des ministres de la police et de la justice. Tous ces journalistes savent que les déplacements « sous l’œil des caméras » ont surtout pour objectif... d’attirer les caméras. Tous savent, qu’ils le subissent avec entrain ou rechignent malgré tout, qu’informer sur ces déplacements au nom du « problème de l’insécurité », c’est en vérité alimenter la mise en forme médiatique de l’insécurité et, en suivant les ministres (avec un faible pour Sarkozy ...), se montrer non seulement suiveurs, mais suivistes.

    Tout cela nous vaut de bien beaux reportages sur l’insécurité à 20h. Sur France Télévision comme ailleurs, l’indépendance commence à 1h30 du matin et s’achève au lever du jour.

    [1] Un article du supplément TV du Nouvel Observateur (daté du jeudi 22 septembre 2005) laisse entendre, dans une présentation du documentaire que celui-ci ne recycle pas vraiment la vulgate politico-médiatique du moment. On y lit notamment cette appréciation iconoclaste : « En devenant une obsession médiatique, politique et populaire, le thème de l’insécurité risque de causer de vrais dégâts. »



  • Reinette Reinette 21 juin 2007 16:51

    JOURNALISTES PRÉCAIRES

    En 1998 paraissait le livre Journalistes précaires, ahurissante plongée dans les ateliers de confection médiatique coordonnée par Alain Accardo.

    7 ans plus tard (2005), le nombre de précaires munis d’une carte de presse était passé de 5 000 à plus de 6 000, sans compter les innombrables journalistes non encartés qui zigzaguent entre Assedic, débrouille et tafs alimentaires.

    Alors que la lanterne des citoyens ne s’éclaire quasiment plus qu’à la lumière des Lagardère, Dassault, Bouygues ou Rothschild...

    « En termes d’aggravation continue... On pouvait s’y attendre, étant donné que les causes fondamentales du phénomène de précarisation du travail salarié ne sont pas plus combattues dans la presse qu’ailleurs. Le phénomène étant approuvé, justifié et encouragé aussi bien par nos dirigeants politiques que par nos économistes les plus autorisés, au nom de la mobilité, de l’ouverture et du changement exigés par la modernité, on ne voit pas pourquoi les entreprises de presse comme les autres se priveraient de ce bon moyen d’accroître leur rentabilité. » Alain Accardo

    Malgré les soucis matériels et les humiliations, le journaliste précaire se sent rarement du même monde que les intérimaires du bâtiment ou les caissières en CDD. L’illusion d’appartenir à une profession prestigieuse lui permet de se sentir différent, de rester corvéable et de ne pas regimber contre sa condition.

    Il est certain que la forte attraction que le journalisme exerce, notamment sur les jeunes, est liée au prestige qu’il possède aux yeux du grand public, lequel n’en connaît d’ailleurs que la vitrine la plus illuminée et la plus fallacieuse.

    Dans une société structurée par des rapports de domination, les dominés des uns sont les dominants des autres, d’où l’extrême difficulté de fédérer les dominés, spécialement ceux de la petite-bourgeoisie qui préfèrent être inférieurs chez les bourgeois qu’à égalité avec les prolos, alors même qu’ils sont victimes de cette nouvelle forme de prolétarisation objective qu’entraîne souvent la précarisation du travail, même dans le tertiaire.

    La précarisation des journalistes n’est pas seulement imputable aux grands groupes de presse et d’armement, qui après tout n’ont jamais caché leur amour du tiroir-caisse.

    Elle se pratique aussi dans des journaux ou chez des producteurs qui se revendiquent de gauche et dénoncent la précarité chez les autres.

    Exemple : l’éviction par Daniel Mermet de deux journalistes en CDI qui refusaient le statut de pigiste auquel l’animateur voulait les rétrograder.

    Même remarque pour Le Monde diplomatique, réputé pour le tarif cassé auquel il paie ses précaires, ou pour Charlie Hebdo, qui ne tolère que des bons soldats.

    Beaucoup de pigistes expliquent d’ailleurs qu’il est particulièrement pénible de travailler pour un taulier de gauche, que ce soit en termes de revenus ou de despotisme.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:31

    QUESTION :

    Comment accepter les résultats des présidentielles, avec SARKOZY gagnant...

    Si le référendum (constitution européenne) avec 55% pour le NON est mis à la poubelle... par ce même SARKOZY ? ? ?



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:22

    QUESTION :

    Comment respecter les résultats du vote présidentiel, avec SARKOZY gagnant,

    Si le NON (55%) à la constitution européenne est mis à la poubelle par ce même SARKOZY ? ? ?



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:20

    UN an avant les élections présidentielles, souvenez-vous que TOUS les médias* (tv, radios, journaux, mensuels, etc...) nous ont martelé le cerveau avec DEUX candidats possibles.

    SARKO ET SEGO ont fait la UNE de tous les journaux... pendant des mois.

    Nous n’avions alors pas d’autre choix : ou SARKO ou SEGO. (deux Ouiouistes donc).

    Les autres candidats étaient des « petits-candidats » !

    *(Les « intello-ouiouistes » à l’assaut de l’Élysée omniprésents pendant toute la campagne, penseurs à gages et lobbyistes déguisés en experts, se sont assurés que les élections ne tourneraient pas à leur désavantage.)

    QUESTION :

    Comment respecter les résultats du vote présidentiel, avec SARKOZY gagnant,

    Si le NON à la constitution européenne est mis à la poubelle par ce même SARKOZY ???



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:08

    1 - CES FATS QUI NOUS INFORMENT :

    Quand ils cessent un instant d’exiger du peuple qu’il se serre la ceinture, les éditorialistes de la presse parisienne détaillent leurs souffrances - dîners gastronomiques, cocktails mondains, polémiques sur le caviar - dans des ouvrages à diffusion restreinte.

    2 - LES RENDEZ-VOUS DE L’ARGENT :

    Initialement créés pour populariser des travaux universitaires, les « Rendez-vous de l’Histoire » de Blois n’offrent plus au public qu’une parade d’intellectuels médiatisés et de journalistes à gages. Tous étaient prêts pour le thème de cette année : « L’argent, en avoir ou pâs ».

    3 - LES MAGAZINES AU CHEVET DES « SUPER-RICHES » :

    Fascinée par les nababs et les chapeaux de marquises, la presse s’élève contre les injustices qui frappent les milliardaires : impôts, ostracisme, déracinement, paupérisation.

    Sortez vos mouchoirs en soie !

    4 - « COMMENT LE DEPENSER ? »

    Plus affriolants que le supplément « Style » de Libération, plus ruineux que le cahier « Montres » du Monde, plus distingués que le « Spécial Noël » du Nouvel Observateur, les suppléments du Financial Times répondent à l’appel angoissé du pays : comment dépenser ses millions ?

    ========================

    Les notables qui cadenassaient la IIIe République étaient appelés « grands électeurs ».

    Aujourd’hui, les journalistes ont pris leur place : avant chaque scrutin, ils pré-sélectionnent des candidats agréés par la classe dirigeante.)



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:05

    Journalistes embrigadés

    Comme en Corée du Nord, SARKOZY mobilise des journalistes pour chanter ses louanges.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:03

    Journalistes embrigadés

    Comme en Corée du Nord, SARKOZY mobilise des journalistes pour chanter ses louanges.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:02

    Journalistes embrigadés

    Comme en Corée du Nord, SARKOZY mobilise des journalistes pour chanter ses louanges.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 17:01

    Journalistes embrigadés

    Comme en Corée du Nord, SARKOZY mobilise des journalistes pour chanter ses louanges.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 16:58

    1 - CES FATS QUI NOUS INFORMENT :

    Quand ils cessent un instant d’exiger du peuple qu’il se serre la ceinture, les éditorialistes de la presse parisienne détaillent leurs souffrances - dîners gastronomiques, cocktails mondains, polémiques sur le caviar - dans des ouvrages à diffusion restreinte.

    2 - LES RENDEZ-VOUS DE L’ARGENT :

    Initialement créés pour populariser des travaux universitaires, les « Rendez-vous de l’Histoire » de Blois n’offrent plus au public qu’une parade d’intellectuels médiatisés et de journalistes à gages. Tous étaient prêts pour le thème de cette année : « L’argent, en avoir ou pâs ».

    3 - LES MAGAZINES AU CHEVET DES « SUPER-RICHES » :

    Fascinée par les nababs et les chapeaux de marquises, la presse s’élève contre les injustices qui frappent les milliardaires : impôts, ostracisme, déracinement, paupérisation.

    Sortez vos mouchoirs en soie !

    4 - « COMMENT LE DEPENSER ? »

    Plus affriolants que le supplément « Style » de Libération, plus ruineux que le cahier « Montres » du Monde, plus distingués que le « Spécial Noël » du Nouvel Observateur, les suppléments du Financial Times répondent à l’appel angoissé du pays : comment dépenser ses millions ?



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 16:54

    Les notables qui cadenassaient la IIIe République étaient appelés « grands électeurs ».

    Aujourd’hui, les « journalistes » ont pris leur place : avant chaque scrutin, ils pré-sélectionnent des candidats agréés par la classe dirigeante.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 16:44

    Les notables qui cadenassaient la IIIe République étaient appelés « grands électeurs ».

    Aujourd’hui, les journalistes ont pris leur place : avant chaque scrutin, ils pré-sélectionnent des candidats agréés par la classe dirigeante.



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 16:41

    1 - CES FATS QUI NOUS INFORMENT :

    Quand ils cessent un instant d’exiger du peuple qu’il se serre la ceinture, les éditorialistes de la presse parisienne détaillent leurs souffrances - dîners gastronomiques, cocktails mondains, polémiques sur le caviar - dans des ouvrages à diffusion restreinte.

    2 - LES RENDEZ-VOUS DE L’ARGENT :

    Initialement créés pour populariser des travaux universitaires, les « Rendez-vous de l’Histoire » de Blois n’offrent plus au public qu’une parade d’intellectuels médiatisés et de journalistes à gages. Tous étaient prêts pour le thème de cette année : « L’argent, en avoir ou pâs ».

    3 - LES MAGAZINES AU CHEVET DES « SUPER-RICHES » :

    Fascinée par les nababs et les chapeaux de marquises, la presse s’élève contre les injustices qui frappent les milliardaires : impôts, ostracisme, déracinement, paupérisation.

    Sortez vos mouchoirs en soie !

    4 - « COMMENT LE DEPENSER ? »

    Plus affriolants que le supplément « Style » de Libération, plus ruineux que le cahier « Montres » du Monde, plus distingués que le « Spécial Noël » du Nouvel Observateur, les suppléments du Financial Times répondent à l’appel angoissé du pays : comment dépenser ses millions ?

    (Les notables qui cadenassaient la IIIe République étaient appelés « grands électeurs ». Aujourd’hui, les journalistes ont pris leur place : avant chaque scrutin, ils pré-sélectionnent des candidats agréés par la classe dirigeante.)



  • Reinette Reinette 20 juin 2007 16:27

    Comment le PS a « réformé » les services publics

    Dans son programme présidentiel, le Parti socialiste promettait des « services publics confortés ». !

    Pour mémoire :

    Souvenons-nous comment la gauche plurielle, entre 1997 et 2002, a démembré France Télécom, La Poste ou la SNCF, ouvrant ainsi un boulevard aux politiques raffarino-villepino-sarkozystes.