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Les commentaires de J.MAY



  • J.MAY J.MAY 12 juin 2019 08:17

    Secret de Polichinelle



  • J.MAY J.MAY 11 juin 2019 16:10

    @Coriosolite

    "C’est à dire ce qu’il reste d’une gauche non inféodée au libéralisme mais en perte d’influence au sein des classes populaires et concurrencée par les écolos au sein de la petite bourgeoisie de gauche".

    Je retiens volontiers cette partie de votre analyse.



  • J.MAY J.MAY 11 juin 2019 10:47

    Analyse exhaustive et objective. Du Elliot coutumier.

    Le « bashing » hystérique des commentateurs et autres éditorialistes patentés qui ressassent quotidiennement leur haine de LFI dans les lucarnes des médias mainstream et qui somment Mélenchon de s’éclipser méritait en effet d’être relevé.

    Quelques observations complémentaires :

    - Le départ de Girard ne tient pas tant, semble-t-il, à des dissensions idéologiques irréductibles, qu’au choix préférentiel de Méluche en faveur de Manon Aubry, qui au demeurant n’a pas démérité. 

    - L’organisation interne de LFI, que l’on dit « gazeuse », est sans doute « questionnable ». N’étant pas de ce sérail je ne saurais en débattre ou en juger.

    - Vu de l’extérieur (ce qui est mon cas), il apparaît assez clairement cependant que coexistent ou plutôt cohabitent chez LFI des courants de pensée, voire des idéologies assez « clivantes ».

    Résumons nous :

    LFI, minée par des contradictions idéologiques internes, comporte de brillantes individualités, mais elle résiste difficilement à la diabolisation constante et soutenue dont elle fait les frais de la part des médias dominants et de leurs chiens de garde.

    Sa ligne multipolaire est de moins en moins lisible. L’existence en son sein d’un courant communautariste, parfois proche de « l’indigénisme » effraie en outre le commun des électeurs « souchiens » ou s’honorant de l’être, qui rejoignent massivement par contre le  corps électoral du RN.

    Il n’est pas sûr, à ce propos, que crier au fascisme pour les détourner de MLP présente encore quelque efficience.

    Quant au gloubi boulga préconisé par Clémentine Autain et consorts, inutile de gloser longuement sur pareille juxtaposition de groupuscules cultivant des idéologies aussi divergentes sur l’Europe, le marché, le socialisme, la mondialisation, l’atlantisme, pour ne citer que les thèmes les plus déterminants.

     

     



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 21:16

    Je ne sais pourquoi Zemmour me fait penser à Torquemada. Ce n’est point tant une question de physionomie que sa manière de fulminer contre les morisques.



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 21:00

    Effectivement.



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 16:46

    @ l’auteur


    Finalement, au-delà des palinodies actuelles, le plus russophobe de nos récents dirigeants semble avoir été Hollande.

    La droite (dont il n’est cependant pas question ici de vanter les mérites) s’est montrée singulièrement moins russophobe, Sarkozy compris.

    Il est vrai que les prédécesseurs de Hollande avaient une vision géostratégique moins rudimentaire et obtuse que ce dernier, empêtré avec suffisance dans son diplôme de « young leader » (comme nombre de ses camarades du troupeau social-démocrate).

    Mais pour en revenir à D.DAY, reprenons ici l’extrait d’un commentaire déjà publié à propos d’un article voisin (6 Juin 1944, « Acte I » de la Société du Spectacle : Une boucherie stratégiquement utile ???) :

    Pour être totalement objectif il faut effectivement admettre que chacun des belligérants (côté alliés ou pseudo alliés) avait ses propres visées hégémoniques, ou de sauvegarde de ses intérêts nationaux, coloniaux, idéologiques ou impérialistes pour l’après-guerre.

    Chacun tentait donc de faire prévaloir ses objectifs et sa stratégie opérationnelle auprès des autres, souvent dans une sorte de « poker menteur », certains même côté occidental allant même jusqu’à envisager de négocier une « paix séparée » avec les nazis, voire de pactiser déjà en vue d’une issue favorable à leurs intérêts propres.

    Staline, pour sa part, après avoir constaté l’inanité d’un appel à la conscience soviétique pour sauver la Russie, s’est résolu à invoquer la défense d’une patrie russe multiséculaire.

    Le débarquement de Normandie s’inscrit donc dans cette confusion des intérêts et des visées.

    Cela n’enlève rien au demeurant au courage et au sacrifice des milliers et des centaines de milliers d’hommes (à l’Est plus qu’à l’Ouest) engagés dans cette tragique boucherie.

     



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 16:13

    @ l’auteur

    Votre article, exhaustif, utile et documenté, fait bien la part des choses.

    Pour être totalement objectif il faut effectivement admettre que chacun des belligérants (côté alliés ou pseudo alliés) avait ses propres visées hégémoniques, ou de sauvegarde de ses intérêts nationaux, coloniaux, idéologiques ou impérialistes pour l’après guerre.

    Chacun tentait donc de faire prévaloir ses objectifs et sa stratégie opérationnelle auprès des autres, souvent dans une sorte de « poker menteur », certains même côté occidental allant même jusqu’à envisager de négocier une « paix séparée » avec les nazis, voire de pactiser déjà en vue d’une issue favorable à leurs intérêts propres. 

    Staline, pour sa part, après avoir constaté l’inanité d’un appel à la conscience soviétique pour sauver la Russie, s’est résolu à invoquer la défense d’une patrie russe multiséculaire.

    Le débarquement de Normandie s’inscrit donc dans cette confusion des intérêts et des visées.

    Cela n’enlève rien au demeurant au courage et au sacrifice des milliers et des centaines de milliers d’hommes (à l’Est plus qu’à l’Ouest) engagés dans cette tragique boucherie.



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 12:19

     « Il y a pire que de ne pas être informé, c’est penser l’être »


    Voici une autre vision du Débarquement de Normandie qui contrebalance utilement la « geste » chantée « ad nauseam » par les médias mainstream.

    En ce sens, l’existence d’une presse alternative révèle toute sont utilité.



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 10:01

    Pertinente analyse de la dérive du PS vers une une « social-démocratie » de plus en plus engluée dans une sorte de social-libéralisme. 

    Lorsque l’on a pour seule boussole la loi du marché et pour idéologie dominante une gestion « soft » du capitalisme, peut-on encore parler de « socialisme » ?

    Ajoutons à cela un tel asservissement à l’atlantisme que l’on peut légitimement s’interroger sur les causes et les fondements, voire sur les inspirateurs de cet assujettissement.

    Le P.S est mort . Nous n’irons pas pleurer sur sa tombe.



  • J.MAY J.MAY 10 juin 2019 09:22

    Il y a les prophètes et il y a la traduction concrète de leurs théories par leurs épigones, leurs disciples et les « masses » acquises ou converties à leurs théories, leurs préconisations et leurs exhortations.

    Dans cet ordre d’idées, la mise en application de la pensée de Proudhon et de la pensée de Marx ne plaide pas, loin de là, en faveur de cette dernière.



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 21:30

    @Fanny

    Votre analyse est pertinente sur bien des points.
    https://www.kalinka-machja.com/



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 21:26

    p@V_Parlier

    Par rapport à la problématique des rapports entre l’Ukraine et la Russie, étant moi-même en partie d’origine ukrainienne par mon père, je m’efforce tout de même de conserver une relative objectivité.
    Il est en tout cas certain que dans un premier temps les Allemands ont été accueillis presque comme des libérateurs par une partie de la population.
    Par la suite, les Ukrainiens ont vite déchanté, et le peuple ukrainien, vite édifié par la barbarie allemande, s’est partagé entre collaborateurs et résistants.
    CF. https://www.kalinka-machja.com/



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 21:13

    @Séraphin Lampion

    Je ne suis pas certain que les lendemains du Brexit ( pratiquement acquis) et ceux d’un éventuel Frexit aient les mêmes conséquences, notamment par rapport à la subordination aux E.U.
    Pour le reste, je partage assez votre point de vue.



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 13:08

    Description exhaustive et pertinente, même si elle est cruelle, sinon de l’Europe, du moins des institutions européennes et de leurs « managers ».

    A l’issue (ou au sortir) d’une telle lecture, on se prend à rêver de Frexit pur et simple.

    Ceci dit, ceux qui ont voté l’ont fait essentiellement, voire uniquement, pour exprimer des choix internes à la sphère française. 

    Quant à l’abstention, elle constitue une forme de protestation autant qu’une forme de désintérêt.



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 10:17

    @Eric F

    Je me suis contenté de signaler une contribution relativement « modérée » par rapport au D.DAY.

    Une version plus « engagée » ou plus « partisane » aurait été celle de Philippe Migault dans RT France : " Libération de l’Europe : le devoir de mémoire ne saurait être sélectif ".

    Je me propose d’ailleurs de la transcrire sur : https://www.kalinka-machja.com/

    Cordialement



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 09:15

    Durant la seconde guerre mondiale, l’Ukraine, comme la France, a connu à la fois collaboration et résistance.

    Il est vrai que dans le cas de l’Ukraine, le souvenir de l’holodomor était encore vivace. Une partie des Ukrainiens ont même considéré, dans un premier temps, les Allemands comme des libérateurs.

    https://www.kalinka-machja.com/



  • J.MAY J.MAY 8 juin 2019 09:01

    Tout compte fait, en termes d’objectivité, il me semble préférable de m’informer sur l’HISTOIRE, et notamment sur les péripéties héroïques ou dramatiques du D.Day à partir des données rapportées sur le site Herodote.net <[email protected]>

    [...] Le Débarquement soulagea incontestablement les Soviétiques, qui avaient rejoint trois ans plus tôt les Britanniques dans la guerre contre Hitler et en supportaient l’effort principal. Il hâta sans conteste de plusieurs mois la capitulation de l’ennemi commun. Mais les véritables tournants de la Seconde Guerre mondiale furent les batailles d’El-Alamein, Stalingrad et Koursk, au demeurant beaucoup plus meurtrières que le Débarquement lui-même. Après ces victoires des Britanniques et des Soviétiques, la chute du nazisme ne fut plus qu’une question de temps.



  • J.MAY MAIBORODA 6 juin 2019 15:15

    Les commentateurs ne semblant se bousculer (pour l’instant), je vous sais gré de rappeler ce que fut 14-18.



  • J.MAY MAIBORODA 5 juin 2019 17:07

    @MAIBORODA

    Je parle évidemment de la seconde partie, celle qui concerne votre belle-mère, et dans laquelle vous maniez l’humour un peu à la manière d’un célèbre film sur la déportation ( la vie est belle).



  • J.MAY MAIBORODA 5 juin 2019 15:32

    Et moi qui allais à mettre un cierge devant la statue de Saint Bruno pour sa grande clairvoyance en matière de prédation !

    Voilà que Victor ayoli m’en dissuade !