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Les commentaires de JC_Lavau



  • JC_Lavau JC_Lavau 22 juillet 2014 09:53

    Wow ! L’aveu que tu viens de faire ! Alors que vous êtes payés pour faire croire au peuple que vous comprenez tout, que tout est sous contrôle, et qu’il y aura bien cinquante millions de réfugiés climatiques en 2010, oups, en 2020, oups, en 2050, bref, qu’il faut abouler les pépettes aux détenteurs du pouvoir magique (un milliard d’euros pour Jean Jouzel et Valérie Masson-Delmotte, des goûts simples...) tu viens d’avouer que vous ne savez rien, que vous ne comprenez rien, et que vous avez d’excellentes excuses pour cela.

    Mais quand ton boss saura que tu viens de te couper ainsi, il va te flinguer !



  • JC_Lavau JC_Lavau 22 juillet 2014 07:50

    Les statuts de l’IPCC spécifient clairement ce que ce gang doit prouver aux peuples ébahis, médusés devant tant de science.
    Les statuts de l’IPCC spécifient clairement que ce sont les gouvernements qui dictent aux apparences de scientifiques ce qu’ils doivent trouver.

    En les arrosant d’argent public, Margaret Thatcher a bien spécifié aux carbocentristes qu’ils devaient prouver que CO2 = caca.

    Du reste quand elle s’est avisée que ses créatures carbocentristes ne racontaient que des conneries, qu’elle est devenue une des premiers climato-moins-crédules, elle n’a eu aucune influence, aucune. Ni avant, ni après, elle n’était la vraie patronne du truc ; elle avait juste pris le train en marche, puis était descendue en marche.

    Sûr sûr sûr, qu’on va leur faire confiance pour établir des moyennes honnêtes : s’ils le faisaient, honnêtement, ils perdraient aussitôt leur job...



  • JC_Lavau JC_Lavau 22 juillet 2014 07:31

    Salinité ? Connaissez-vous ce mot ? Connaissez-vous les lois de Raoult ?
    Ah oui c’est vrai, c’est encore une loi que les zécolos n’ont pas votée, et qu’ils aboliront dès qu’ils auront la dictature mondiale.
    Le principe de Carnot aussi, ils l’aboliront : trop réactionnaire pour eux !



  • JC_Lavau JC_Lavau 22 juillet 2014 07:21

    Oups ! Mal dit : le Gang n’a évidemment pas surfé sur le dos d’une vague, mais sur le flanc d’une vague.
    Corrigé :
    Fluctuations banales, le Gang Intergouvernemental d’Escrocs Carbocentristes a surfé sur le flanc d’une d’entre elles. Depuis dix-huit ans, le surf est terminé.



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 23:34

    Les fluctuations, ça flue et ça reflue. Même Pachauri a été contraint d’admettre devant la presse australienne, qu’il n’y a plus que dalle de réchauffement depuis dix-huit ans.
    Fluctuations banales, le Gang Intergouvernemental d’Escrocs Carbocentristes a surfé sur le dos d’une d’entre elles. Depuis dix-huit ans, le surf est terminé.



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 23:30

    Rappelez-nous, c’était quand déjà, cet optimum médiéval qu’il était si urgent de cacher par des truquages statistiques ?
    Et ça fait combien de temps depuis ?

    Midas, le roi Midas...



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 23:25

    Ah ! C’est embêtant, hein ! Tu n’arrives plus à disposer d’animaux naïfs, qui ne connaissaient pas tes trucs et tes ruses... Tout fout le camp, m’ame Michu !

    Dans le bon vieux temps, on parvenait à cacher aux peuples que Midas, le roi Midas, a des oreilles d’âne.
    A présent, les brins d’herbe en informent les brins d’herbe, qui informent les arbres, qui informent toute la forêt, qui informe toute la contrée :
    Le GIEC, le Gang Intergouvernemental, il est payé pour frauder et berner les peuples. Son problème, c’était de ne pas se faire pincer.
    Les activités du GIEC relèvent du Tribunal Correctionnel : diffusion de nouvelles fausses, dans le but d’en tirer un profit.

    L’IPCC (le même gang intergouvernemental, mais en anglais) a truandé les relevés de températures néo-zélandaises, et des météorologues néo-zélandais ont protesté.

    Ils ont truandé les relevés de températures russes, et des météorologues russes ont protesté.

    Ils ont truandé les relevés de températures scandinaves, et des météorologues scandinaves ont protesté.

    Ils ont truandé les relevés de températures rurales U.S. pour les calquer sur les bulles thermiques des villes, et des météorologues U.S. ont protesté.

    Ils ont truandé des masses de statistiques, et ça a fini par se savoir.

    Midas, le roi Midas...

    Un syndicat de la fraude que cet Intergovernmental Pack of Carbocentric Crooks, sous le contrôle de leurs corrupteurs en haut lieu. Deux d’entre eux, Jean Jouzel et Valérie Masson-Delmotte, candidats aux européennes du 25 mai, réclamaient « un milliard d’euros pour sauver le climat ».

    Ayons deux fois plus de courage politique qu’eux : réclamons deux milliards d’euros pour une planète sans dihydrure d’oxygène !



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 18:05

    Félicitations ! C’est bien l’original.

    Ce qui en revanche va probablement être impossible à trouver sur le Net, c’est l’article de Schrödinger donnant une résolution de cette équation de Dirac, pour l’électron libre, avec l’oscillation à vitesses successivement + c et -c, et à la fréquence 2mc²/h.
    Schrödinger, Sitzungsb. d. Berlin. Akad., 1930, p 418.
    Dirac l’a repris, en anglais, dans le §69 des Principles.
    Les articles de Schrödinger sont atrocement durs à trouver. Aucune chapelle de fidèles n’en prend soin.



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 15:37

    Contrairement à la vantardise d’Abragam, selon qui les mémoires originaux sont là pour ne plus être lus sauf par les historiens, et que les manuels suffisent, « puisqu’on a déjà tout très bien assimilé », il faut lire DIRAC dans le texte. Je n’ai pas le mémoire dans le périodique original, mais le chapitre XI « Relativistic theory of the electron », paragraphes 66 à 73, du manuel The Principles of Quantum Mechanics, chez Oxford Science Publications.

    Il me semble qu’il faut prendre le temps de se battre personnellement avec les quatre composantes, et les différentes projections possibles des matrices de Dirac. Je ne crois pas qu’un discours vulgarisateur puisse remplacer cela, c’est beaucoup trop novateur et bousculeur d’habitudes, et cela depuis 1928.

    Là non, les manuels ne suffisent pas, car bien que le prof soit juge-et-partie à l’examen, non, il n’est pas infaillible, non, il n’a pas forcément « tout bien assimilé », surtout si la novation fait conflit avec ce qu’il croyait savoir avant.
    Des expériences en fac, d’abord au Royaume Uni, refaites en France par Laurence Viennot, ont prouvé que dès qu’ils ne reconnaissent plus une situation scolaire, les deux tiers des étudiants en seconde année de Licence abandonnent la mécanique galiléenne et newtonienne qu’on leur a apprise, et retournent à une mécanique folklorique, pré-galiléenne.

    Au début de cet article, j’ai exhibé les preuves que même un prof de physique théorique aussi chevronné que Roland Omnès retourne à une quantique folklorique, anté-Dirac, dès qu’il ne peut plus baisser la tête et seulement calculer. Jean Bricmont aussi en lâche de consternantes, et lui non plus n’a pas d’excuses : il est professeur de physique théorique à Louvain.

    Il faut lire DIRAC dans le texte. C’était un homme d’une honnêteté, d’une rigueur et d’une subtilité exemplaires, même s’il a parfois raté la façon de transmettre, et de se confronter aux expériences.



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 09:24

    « il commence également bien avant leur fin »
    Merci de bien vouloir exhiber vos preuves éventuelles.



  • JC_Lavau JC_Lavau 21 juillet 2014 09:21

    Tiens ? Ça faisait quatre ans qu’on ne m’avait plus fait ce coup : le coup du discours tellement obscur, qu’il joue tout son rôle d’hypnose et d’intimidation.

    Le coup de la réémission, pour pouvoir fonctionner, exige des densités en CO2 qui n’existent pas sur Terre. Ça fonctionne sur Vénus, mais surtout grâce à l’acide sulfurique. La théorie de la réémission prévoit des « hot spots » en haute altitude équatoriale, qui ont été démentis par toutes les mesures.

    Dans ce genre des astuces hypnotiques, on admirera la maîtrise professionnelle, dénotant l’escroc professionnel, avec laquelle Joël a berné André Lichnerowiz en 1983 :
    http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Theorie_fondee_sur_l_hypnose.html
    http://impostures.deontologic.org/index.php?board=2.0



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 23:14

    Oh que non, que Gabriel Lafrenière ne m’intéresse pas, et depuis longtemps !
    En revanche j’admire et j’envie la qualité technique de ses dessins, même si je n’en approuve aucun.

    Quel dommage, que ce talent ne serve qu’à un « théoricien » aussi hmm, tubé !



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 22:22

    Oui, j’ai bien fait un raccourci de langage. « Largeur » désigne bien l’encombrement spatial de la réaction, où je pense implicitement changement d’orbitale dans une molécule, ou création ou annihilation d’un plasmon en surface de métal, ou des réactions nucléaires.

    Quoique la poignée de mains puisse être extrêmement délocalisée - le rayonnement de fond de ciel à 2,735 K en est un exemple, à délocalisation longue de 14 ou 15 milliards d’années-lumière - quand elle aboutit, la réaction de changement d’état d’un truc matériel comprenant des fermions sera plutôt, voire tout à fait localisée.

    Contre-exemple typique : l’anneau d’hélium superfluide qui ne peut prendre que des vitesses de rotation discrètes, or c’est un objet macroscopique, certes petit, mais macroscopique. Bosonique, là est le secret.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 21:51

    Voir les diagrammes de Feynman :
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Diagramme_de_Feynman

    En théorie des graphes, « arc » et « arête » sont synonymes.
    « Apex » et « sommet » sont synonymes.

    Contrairement à l’usage qu’en faisait l’inventeur, je m’en tiens au premier ordre, suffisant dans l’état d’inachèvement où se trouve présentement la TIQM.

    Par exemple, l’état d’onde stationnaire où se trouve un électron d’une orbitale, d’un atome ou d’une molécule, est un tel arc, il relie la précédente réaction installant cet état, et la réaction suivante (ou annihilatrice) qui en créera un autre.

    Feynman et successeurs se satisfaisaient de ces petits morceaux de graphes, ouverts, avec au moins quatre demi-arcs, sans origine ou surtout sans destination. En théorie mathématique des graphes, cette licence est interdite : tout arc relie deux sommets, même s’ils sont confondus. En TIQM aussi nous refusons l’habitude d’artilleur : « je tire un photon, et comme je ne sais pas la fin de l’histoire, je prétends qu’elle n’en a pas, que ça ne compte pas ». Notre définition du photon prend bien le contre-pied de l’habitude susdite, anthropocentrique.

    C’est bien joli de se contenter d’une phénoménologie mathématique prédisant la dispersion de la durée de vie d’un état excité, il serait nettement plus physicien d’en faire la théorie physique, et de prédire si cette statistique ou sa valeur moyenne peuvent être influencées en variant quelque chose sur les absorbeurs de photons.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 17:52

    « vous parlez de cohérence spatiale, et je parle de cohérence temporelle, d’où l’apparente incompatibilité de nos 2 positions sur la cohérence d’un rayonnement thermique, êtes vous d’accord ? »

    Les deux sont rigidement liées entre elles, au moins en long, par la célérité de la lumière.

    En large, c’est une autre histoire, dont j’ai déjà donné la solution plus haut : largeur de l’apex réactionnel plus ampleur du fuseau de Fermat à cette abscisse là.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 17:46

    « la quantique copenhaguiste suppose un temps absolu, je suppose donc que découle de ce postulat une référence absolue de fréquence, non ? »

    Non plus. Parcourez les 1518 pages du Cohen-Tannoudji, Diu et Laloë : « fréquence » est un mot inconnu et interdit.

    « Que son nom ne soit plus ! » est le fondement (criminel, comme souvent les secrets de famille), de cette secte. La pathologie usuelle des secrets de famille, secte tétanisée sur leur secret inavouable depuis trois générations déjà.

    C’en est au point que quand ils doivent quand même traiter de l’équation de Dirac de l’électron et du Zitterbewegung qui en découle, aussi bien Albert Messiah que Wolfgang Greiner se retrouvent aussi embarrassés qu’une poule qui aurait trouvé un couteau.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 17:30

    "Dans le cas des phonons, je le vois clairement comme un artifice permettant de visualiser facilement un oscilateur non linéaire en le représentat sous forme d’une collision inélastique entre 2 corpuscules."

    Là ça n’ira vraiment pas, vous n’en retrouverez aucune de leurs propriétés.

    Vous en approcherez mieux en vous rappelant les démonstrations en amphi de méca, de propagation d’onde sur une échelle de perroquet.

    Autre analogie valide : les vagues imprimées par les risées sur le champ de blé. Chaque tige de blé est l’analogue d’un des ions du cristal. Le phonon est une onde mécanique partagée sur beaucoup d’ions du cristal, et qui a une excellente périodicité spatiale, au contraire des risées qui courent sur le champ de blé.

    Un cristal est nécessairement passe-bas à phonons ; il existe dans chaque direction cristallographique une fréquence de coupure. Si une collision de phonons produit un vecteur d’onde qui excède la cellule de Brillouin dans le réseau réciproque, l’échantillonnage retranche une maille, et le phonon est retourné. C’est cela l’Umklapp. Sans l’Umklapp les propriétés de la chaleur et des phonons seraient incompatibles.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 16:42

    « sur la prise en compte des absorbeurs et le caractère relativiste de votre approche »
    En non relativiste, il n’existe aucune référence absolue des énergies, seule compte une différence d’énergies.
    Problème : en quantique et depuis Planck et de Broglie, toute énergie se traduit en fréquence. Donc en quantique non relativiste, toutes les fréquences ne sont considérées qu’à une constante additive près, inconnue.
    Or cette constante additive est énorme comparée aux fréquences optiques, voire UV et X...
    Il n’y a de fréquences définies intrinsèquement que dans le cadre relativiste de la thèse de Louis de Broglie, 1924, révisée Dirac 1928. Léger détail qui change tout.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 16:33

    « Pour une source thermique on aurait donc un temps de cohérence proche de zéro, d’où on en déduirait des photons bien ponctuels. »
    Certainement pas.
    Young et Fresnel ne disposaient en leur temps que de sources thermiques, notamment de la lumière solaire. Et pourtant ils obtenaient bien des interférences, ce qui borne inférieurement la longueur de cohérence de chacun de ces photons : une dizaine de longueurs d’onde, soit déjà une longueur minimale de l’ordre de 5 µm.
    D. Sivoukhine ne donne pas de date pour les expériences d’interférences à grande différence de trajet optique, il ne donne que la valeur record obtenue en source thermique monochromatisée : 1 mètre, en lumière visible, soit deux millions de longueurs d’onde, ou temporellement deux millions de périodes. Page 224, Cours de physique générale ; optique 1ère partie. 1ère édition : 1984.

    Il faut relire les deux articles d’Einstein de 1916 et 1917. Dans le premier, il présente ce qui est resté comme les « coefficients d’Einstein ». Strahlungs-Emission und Absorption nach der Quantentheorie. Verh. der D. Physikal. Ges. 18 (1916) 318. Sur le Net je n’ai trouvé qu’un scan de qualité atroce, mais on doit le trouver en français sur papier dans l’édition non complète mais choisie, par F. Balibar. http://www.amazon.com/Oeuvres-choisies-Quanta-Albert-Einstein/dp/2020100274

    Celle-ci est bien meilleure : http://nausikaa2.rz-berlin.mpg.de/digitallibrary/digilib.html?fn=permanent/einstein/cw/081_1916/pageimg/&pn=7&ws=1.5

    Le second est en traduction anglaise dans le Van Der Waerden, pages 63-77 : On the quantum theory of radiation. Einstein démontre que pour la compatibilité stable entre la statistique des vitesses selon Maxwell-Boltzmann, et le spectre du corps noir connu expérimentalement et calculé par Max Planck, tout photon doit emporter exactement la quantité de mouvement h.\nu/c. Première publication à Zürich en 1916.
    http://books.google.fr/books?id=8KLMGqnZCDcC&pg=PA63&ots=h9g_x_ptxu&dq=%22the+formal+similarity+between+the+chromatic%22&sig=rrtVd32EsQTQUsYae3hRnkunW0I&redir_esc=y#v=onepage&q=%22the%20formal%20similarity%20between%20the%20chromatic%22&f=false
    Dans les deux articles, il s’agit de rayonnement thermique et incohérent (au caractère bosonique près), et de photons ayant une durée certaine pour flatter les susceptibilités de résonance de l’atome, par battement entre un état final possible, et un état initial. C’est bien l’article de 1916 qui contenait le germe théorique de l’effet laser.



  • JC_Lavau JC_Lavau 20 juillet 2014 13:58

    120 g de glucose par jour font 458 kcal = 1 918 kJ.
    24 h font 86 400 secondes.
    120 g glucose/jour font 22,2 W.
    La donnée initiale est incluse dans un cours de physiologie orientée sur les soins aux diabétiques.

    Merci Rita de bien vouloir mettre fin à vos délires autoritaristes.